LE PROJET DE GARE MARITIME DE BÉJAÏA A COÛTÉ 470 MILLIARDS DE CENTIMES Du plomb dans les ailes de l’EPB

Les finances de l’Entreprise du port de Béjaïa, qui  a  dû  s’endetter lourdement  pour  réaliser  le  projet,  s’en  trouvent  sérieusement impactées, alors que le retour sur investissement n’est pas encore évident.

Le projet de la  gare  maritime  de  Béjaïa  a  coûté  plus  de  400 milliards de centimes à la trésorerie de l’Entreprise portuaire. Et l’étude technique de cette infrastructure, inaugurée en grande pompe en juin 2018 par l’ex-ministre des Transports et des Travaux publics Abdelghani Zaâlane, actuellement sous les verrous, avait coûté, quant à elle, pas moins de 70 milliards de centimes.

L’EPB, ce fleuron du transit de marchandises et des hydrocarbures, qui avait hissé le port de Béjaïa à la 2e place après celui d’Alger en termes de trafic de marchandises générales, est plombé par une dette, contractée auprès des banques, ont dénoncé des cadres syndicaux, qui observent que le remboursement de ce lourd investissement se répercute déjà négativement sur la santé financière de l’entreprise et, par conséquent, sur le paiement des salaires du personnel.

D’où le recours à des grèves cycliques. En effet, pour financer le projet de la gare maritime - un projet qui continue à faire couler beaucoup d’encre -, l’EPB a dû contracter une dette jugée “faramineuse” auprès des banques.

Conséquences, déplorent des cadres syndicaux mais aussi d’anciens cadres à la retraite, l’EPB ne serait plus en mesure de “financer de nouveaux projets ou de faire de nouvelles acquisitions en vue de renouveler ses équipements”. Pis encore, “cela a déteint aussi sur la maintenance desdits équipements et autres moyens de manutention”.

Ce que réfute la nouvelle direction, qui a estimé durant le mouvement de grève que “la part de marché du port de Béjaïa, en termes de trafic hors hydrocarbures, a évolué positivement, passant de 21,8% en 2019 à 22,63% en 2020 et de 13% en 2019 à 16% en 2020”. Alors qu’en ce qui concerne le trafic conteneurs, “le port de Béjaïa occupe ainsi la deuxième place en matière de traitement des conteneurs après celui d’Alger”.

Le trafic des marchandises générales durant l’exercice 2020 a atteint, quant à lui, 10 525 289 tonnes en augmentation de 0,58% par rapport à l’exercice 2019 ; le trafic de marchandises générales à l’export a réalisé, a indiqué un communiqué de la même direction, un record dépassant 1,066 million de tonnes, soit une hausse de 19%. 

Pour d’autres personnes impliquées dans le mouvement associatif notamment, le projet de la gare maritime a englouti plusieurs centaines de milliards de centimes. Toutefois, les dépenses faramineuses engagées dans le cadre dudit projet n’ont eu, “il faut le reconnaître, aucun impact positif ni sur l’EPB ni sur l’économie locale”.

La preuve, il n’y a eu “aucune incidence sur l'emploi dans la région”. C’est plutôt un “coup porté à la santé financière de l'Entreprise portuaire de Béjaïa” et à tout un secteur historique qui regroupe l’une des principales portes d’entrée dans la ville de Béjaïa, la porte Sarrasine en l’occurrence, et la muraille qui ont une valeur historique inestimable qu’il s’agissait plutôt de mettre en valeur au lieu de la rendre invisible.

Pour rappel, plusieurs condamnations à de la prison ferme ont été prononcées à l’encontre de plusieurs dirigeants de l’Entreprise portuaire par le tribunal de Béjaïa, a-t-on confirmé de source proche du dossier. Deux d’entre eux ont été condamnés à deux années de prison ferme ; un, à 18 mois ferme, alors que les membres de la commission des marchés ont été condamnés, eux, à une année de prison ferme.

Outre l’ancien DG de l’EP Béjaïa, Djelloul Achour, condamné à deux années de prison ferme, il y a l’ancien président-directeur général de l'EPE Batimetal Spa et ancien ministre des Transports, Boudjemâa Talaï, qui avait comparu par visioconférence en tant que détenu au centre pénitentiaire de Koléa.

L’architecte et responsable du bureau d’études Axxam, Nacer Boutrid, a été condamné, quant à lui, à 18 mois de prison ferme. À signaler que toutes ces personnes condamnées en première instance ont fait appel du verdict.

Sources : https://www.liberte-algerie.com/actualite/du-plomb-dans-les-ailes-de-lepb-362251

TIPASA Les marins du bateau “Raïs Djilali” retrouvés sains et saufs

 

Les quatre marins disparus ont été retrouvés sains et saufs au large de Damous (ouest de Tipasa) après de vastes opérations de recherche qui ont duré près de 48 heures, a-t-on appris auprès du directeur local de la pêche et des ressources halieutiques, Ahmed Tatbrit.

Contacté par l'APS, M. Tatbrit a précisé que le bateau de pêche Raïs Djilali a été retrouvé avec à son bord les quatre marins sains et saufs, à 52 mille marins au large des eaux territoriales de la côte de Damous. Les gardes-côtes de Cherchell ont procédé à l'évacuation des marins par hélicoptère, a encore précisé le même responsable. 

Pour rappel, le bateau Raïs Djilali a disparu mercredi après 24 heures de navigation. Dès le signalement de la perte de contact avec ce bateau, les services des gardes-côtes ont été mobilisés pour lancer une vaste opération de recherche. 

Sources : https://www.liberte-algerie.com/actualite/les-marins-du-bateau-rais-djilali-retrouves-sains-et-saufs-359104

IL EST EN CONSTRUCTION EN CHINE Un nouveau bateau de 1 800 places pour l’ENTMV


L’Algérie  va  bientôt  acquérir  un  nouveau  bateau  pour  le  transport  maritime international  des  voyageurs. Selon  notre source, ce  bateau qui  renforcera la flotte de l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) est doté d’une  capacité  de 1 800  places  et  pourra  transporter  entre 600 et 700 véhicules. 

En cours de  construction   en  Chine, ce  nouveau  pavillon  pourrait  entrer en exploitation  vers  la  fin  de  l’année  2021  pour  desservir, notamment, la  France et l’Espagne.  Pour  le  moment,  une  équipe  d’experts  est  sur  les  lieux  pour superviser  les  dernières   retouches,  notamment  les  commodités   adaptées aux  voyageurs algériens.

Sources : https://www.liberte-algerie.com/radar/un-nouveau-bateau-de-1-800-places-pour-lentmv-349283

MOSTAGANEM Réception d’un site marin pour l’amarrage des bateaux de pêche

Poursuivant son ambitieux programme d’investissement, la direction de la pêche et des ressources halieutiques de Mostaganem a réceptionné un nouveau site marin désigné pour l’amarrage des bateaux de pêche à la plage de Kharrouba, à quelques encablures de Mostaganem-ville, selon M. Zenasni, directeur de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya de Mostaganem. 

Soucieuse de l’amélioration continue de la qualité des services fournis aux clients, la direction de la pêche de Mostaganem poursuit son riche programme d’investissement par l’acquisition d’équipements de manutention très performants. Dans ce cadre, la wilaya a réceptionné ce site marin,  après l’achèvement des travaux supervisés par la direction des travaux publics de wilaya. Ces acquisitions qui viennent renforcer le parc de l’entreprise permettront d’améliorer les rendements de déchargement et le taux de disponibilité des engins de manutention dans l’objectif d’une meilleure prise en charge des besoins et des exigences des clients, ce qui permettra de préparer ce terrain pour l’amarrage des bateaux de pêche d’une longueur de 4,8 m, ajoute la même source. 

Cette nouvelle acquisition est dotée d’équipements de remorquage (3 remorqueurs-grues). La chambre de la pêche maritime et de l’aquaculture de la wilaya de Mostaganem sera chargée de la gérer et de l’exploiter. En outre, un programme interne sera mis en place pour la gestion de ce nouveau site qui devra accueillir 42 bateaux de pêche. La wilaya de Mostaganem dispose d’une façade maritime de 124,5 km, allant de l’embouchure de la Macta à l’ouest au cap Negrawa à l’est. Par l’étendue de son littoral et la diversité de ses ressources marines, la wilaya possède un véritable potentiel de production pouvant faire du secteur de la pêche un véritable moteur de développement économique et social. Mostaganem compte aussi trois infrastructures portuaires (Stidia, Mostaganem la Salamandre et Sidi Lakhdar) et une flottille estimée à 248 embarcations, dont 71 bateaux de pêche (sardinier), 47 bateaux de type Jiab et 81 bateaux à filet coulissant qui exploitent les espaces d’accostage des ports de Mostaganem. 

En outre, 776 autres unités de pêche récréative sont actives dans les sites de débarquement situés dans 9 plages.

Sources : https://www.liberte-algerie.com/ouest/reception-dun-site-marin-pour-lamarrage-des-bateaux-de-peche-361182

Port Centre d’El Hamdania, un projet qui pompe l’air des habitants de la région

L’œuvre destructrice du Mont Chenoua et de son environnement qui été entamée par la colonisation française en Algérie, risque d’être achevée par les chinois, avec le consentement des autorités algériennes.

En effet, le choix du site d’El Hamdania pour la construction du méga Port commercial de Cherchell, lequel va baliser la route de la soie au sud de la méditerranée, bouleversera profondément toute une région riche en trésors naturels, culturels et archéologiques…

C’est ce qu’explique M Abdellah Bendaoud, un fervent activiste du patrimoine culturel et naturel de la région du Chenoua, dont il est natif.  M Bendaoud dénonce un pouvoir brouillon et inconséquent dont la décision risque de porter atteinte à des sites mondialement classés, notamment le Mont Chenoua et ses prolongements naturels, à savoir la forêt et la plage du Rocher Blanc et les trois îlots, actuellement El Hamdania, ainsi que les luxuriantes forêts qui leurs sont attenantes.

« L’histoire est présente sur ce site qui se situe à son tour entre deux grands sites mondialement connus ; à savoir la capitale de la Maurétanie Césarienne et le site de Tipasa lequel est inscrit sur la liste du patrimoine mondial. », alerte M Bendaoud qui rappelle que cette région recèle de richesses qui peuvent constituer, en sus du potentiel visible, des contraintes certaines pour la construction du projet du port. « Le moindre coup de pioche, risque de révéler des vestiges inestimables, dont les valeurs ne pourraient qu’être incommensurables. Ce site n’est tout simplement pas fait pour abriter un port », poursuit M Bendaoud.

Il signale que le choix du site d’El Hamdania pour la construction du port a été fait d’une manière délibérée et précipitée sans qu’il y ait d’étude d’impact que ce soit sur l’environnement ou sur les territoires. Il rappelle à ce titre qu’en pareil cas les impacts sur les territoires sont prévus par la législation algérienne.  

« La projection du Projet du Port commercial sur le site du Rocher Blanc est en rupture avec les schémas de développement qui ont été approuvés par les pouvoirs publics. Notamment le schéma national pour le développement du tourisme. Cette rupture risque de provoquer, s’il elle ne l’a déjà fait, une atteinte à la mémoire des lieux. » Alerte M Bendaoud.

Le projet de construction du Port commercial Centre d’El Hamdania poursuit, selon de nombreux observateurs, le processus de prolétarisation de la paysannerie locale et engagé durant la nuit coloniale. Il est déjà question de libération d’emprise foncière pour de nombreux cultivateurs et éleveurs dans la forêt du Rocher Blanc. 

Sources :  https://maghrebemergent.net/port-centre-del-hamdania-un-projet-qui-pompe-lair-des-habitants-de-la-region/

Carburants: Naftal réceptionne un nouveau navire caboteur-ravitailleur

La Société nationale de commercialisation de produits pétroliers (Naftal) a réceptionné samedi au port d’Alger, un nouveau navire caboteur-ravitailleur, dénommé le « MT-Tolga », d’une capacité de 4.500 tonnes, destiné à approvisionner les navires nationaux et internationaux en carburants, notamment en haute mer.

L’objectif de cette nouvelle acquisition est « exclusivement » économique et vise le ravitaillement de navires nationaux et étrangers en mer Méditerranée et au-delà, a affirmé le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, lors de la cérémonie de réception de ce navire, qui a vu la présence de plusieurs ministres du gouvernement.

« Chaque année, 12.000 navires étrangers traversent les eaux territoriales algériennes sans qu’on en tire bénéfice économiquement », a fait observer M. Arkab, ajoutant que ce nouveau navire doit profiter au marché national, en assurant le transport des produits pétroliers du terminal d’Arzew vers l’Est du pays et depuis la raffinerie de Skikda vers les autres wilayas côtières.

Long de 83 mètres et doté d’une capacité de transport de 4.000 tonnes de fuel et de 500 tonnes de gasoil, le navire a été construit par un opérateur néerlandais au niveau d’un chantier naval chinois pour un coût total de 16,7 millions d’euros.

Deux autres navires d’une capacité de 2.500 tonnes seront également réceptionnés d’ici la fin du premier semestre de l’année en cours.

De plus, la société Naftal est en voie de finaliser un projet d’acquisition de trois autres navires devant capter davantage de navires transitant la Méditerranée, ce qui va lui permettre de hisser ses recettes en devises.

Intervenant lors de cette cérémonie, le PDG de Naftal, Kamel Benfriha, a relevé l’intérêt de cette nouvelle acquisition, affirmant que la société n’a pas renouvelé sa flotte depuis plusieurs années.

« Nos anciens ravitailleurs ne répondaient pas aux spécifications techniques pour approvisionner les navires en mer », a-t-il noté.

Grâce aux nouvelles acquisitions, l’entreprise Naftal prévoit de commercialiser près de 450.000 tonnes de carburant annuellement au profit des navires nationaux et internationaux, a souligné M. Benfriha, tout en mettant en avant l’avantage concurrentiel que possède la société en matière de la qualité du carburant, à savoir le fuel-BTS (qui possède une basse teneur en soufre), « très demandé » par les clients internationaux

Sources : https://maghrebemergent.net/carburants-naftal-receptionne-un-nouveau-navire-caboteur-ravitailleur/


 

Tlemcen: le port de "Sidna Youchaa" sera dédié à la pêche hauturière

TLEMCEN- Le ministre de la Pêche et des Productions halieutiques Sid Ahmed Ferroukhi a annoncé mardi à Tlemcen que le port de "Sidi Youchaa" (daira de Ghazaouet), sera dédié à la pêche hauturière.

Lors de sa visite à cette nouvelle infrastructure portuaire, située dans la commune de Dar Yaghmoracen (Tlemcen), le ministre a indiqué, qu’une étude sera incessamment lancée pour "adapter cette infrastructure en port de pêche en haute mer".

L’intérêt de l’étude est de donner des solutions adéquates pour permettre au port d’accueillir les grands bateaux de pêche au lieu des petits métiers, des chalutiers et autres prévus initialement dans ce projet, a-t-il fait savoir.

Le port de "Sidna Youchaa" était destiné aux activités de pêche avec une capacité de 295 embarcations. Réceptionné en 2020, le port devra connaitre la réalisation de nouvelles structures, telle qu’une halle à marée, des cases de pêcheurs, un bloc administratif, une station de ravitaillement ainsi que la réalisation d’atelier de réparation navale, fabrique de glaces outre des ateliers de ramonage.

Ecoutant les préoccupations des professionnels locaux, notamment celle liée à la possibilité d'exercer au niveau de cette nouvelle infrastructure, le ministre a instruit de créer une commission, composée de la direction de la pêche, des représentants des petits pêcheurs et les autorités locales afin de "recenser tous ceux qui activent dans ce secteur et de convertir leurs activités de plaisanciers à des marins pêcheurs professionnels".Il a insisté sur la formation des ces pecheurs.

La délégation ministérielle s’est rendue ensuite à l’école de pêche de Ghazaouet ou le ministre a procédé au lancement d’une session de formation initiée au profit de 25 stagiaires. Ces derniers receveront au terme de cette formation qui s'étalera sur six (06) mois, un certificat de capacité.

Le ministre de la Pêche et des produits halieutiques,qui a entamé sa visite à Tlemcen lundi, avait mis en avant l'importance de la formation et le professionnalisme afin de réguler l'activité de la pêche.

Sources : https://www.aps.dz/regions/116599-tlemcen-le-port-de-sidna-youchaa-sera-dedie-a-la-peche-hauturiere

Ports de pêche: installation de quais flottants pour faire face à la congestion

ALGER- La Société de gestion des ports de pêche (SGPP), a annoncé samedi dans un communiqué avoir procédé à l'installation des appontements (quais) flottants au niveau des 45 ports de pêche et de plaisance, en vue de faire face à une congestion et une forte saturation de leurs plans d'eau.

Lancé en début du mois en cours, ce projet consiste en la réalisation de 9.600 mètres linéaires de quai permettant l'accostage de près de 4.000 nouvelles embarcations de pêche et de plaisance, a précisé la même source.

Le budget alloué à cette opération qui sera réalisée entièrement par des compétences et capacités locales, en mutualisant les moyens nationaux disponibles (bureaux d'études et entreprises de réalisation), est évalué à un (01) milliard de dinars, a ajouté le communiqué.

Cette démarche constitue une première expérience en Algérie pour la conception et la fabrication de ce genre d'équipement à une échelle industrielle, ce qui a permis une économie en devise de 25 millions d'euros, souligne la SGPP.

Ce projet devrait permettre d'optimiser l'utilisation des espaces des ports existants, correspondant à la construction de six (06) nouveaux ports de pêche pour un budget global d'environ 50 milliards de dinars. En outre, la réalisation de ces ports devrait contribuer à la création de plus de 8.000 nouveaux postes d'emplois.

Filiale du Groupe Serport, la SGPP est une entreprise publique économique érigée en société par action (SPA) qui avait entamé ses activités en 2019. Celles-ci sont orientées principalement vers la remise à niveau, la modernisation et le développement des ports de pêche et de plaisance qui lui sont rattachés. La SGPP est présente sur les quatorze (14) wilayas côtières à travers une unité de gestion pour chaque wilaya.

Sources : https://www.aps.dz/economie/117122-ports-de-peche-la-sgpp-installe-des-quais-flottants-pour-faire-face-a-la-congestion

Skikda : Les planchistes ont le vent en poupe

Rencontrés à l’Hôtel de ville où ils tenaient un stand à l’occasion des célébrations de la Journée nationale de la commune, des membres du club sportif Ecole de voile et de sport nautique (EVSN) de Skikda se sont aimablement prêtés à un bref échange, histoire de mettre en lumière leurs jeunes athlètes qui font désormais partie du gotha sportif national.

«Trois de nos athlètes viennent d’être invités par la Fédération nationale de voile à prendre part à un stage bloqué pour préparer les joutes sportives des Jeux olympiques de Tokyo ainsi que les Jeux méditerranéens d’Oran», explique Amar Boudrouma, vice-président du club EVSN.

L’invitation faite aux planchistes skikdis n’est en somme qu’une juste reconnaissance à leurs talents et aux efforts consentis, des années durant pour faire de Skikda une ville phare de cette pratique sportive. «Nous avons de tout étoffé la composante de l’équipe nationale et aujourd’hui, cinq de nos jeunes athlètes font partie de l’équipe nationale, un honneur pour nos athlètes et pour notre ville», rajoute notre interlocuteur.

Ce dernier, et comme pour appuyer ses dires, citera de mémoire les différentes consécrations des planchistes skikdis au niveau international.

«Nous avons obtenu deux médailles lors des championnats arabes de 2018, trois autres médailles en Egypte, ce qui nous a permis de prendre part aux Jeux olympiques des jeunes en Argentine, en plus de trois médailles obtenues en décembre 2019 lors des championnats africains», rappelle-t-il.

Ces consécrations restent l’œuvre de plusieurs planchistes du club, dont Rami Boudrouma, Imad Brighet, Islam Bennagua et Sami Boudrouma.

Lors de l’exposition tenue à l’hôtel de ville, le stand du club, qui a attiré un public curieux et nombreux, les différentes distinctions, entre coupes et diplômes furent mis en évidence par d’autres sportifs du club, dont la jeune Chaïma Chaïeb, qui aspire, elle aussi, briller dans un club qui est en train de rappeler à la ville de Skikda l’épopée des anciennes gloires du handball qui représentaient l’ossature de la fameuse équipe nationale de la petite balle.


Sources : 


PORT CENTRE-EL HAMDANIA : VERS L’INTÉGRATION DES ACTIVITÉS DE CONSTRUCTION ET DE RÉPARATION NAVALES

Le Plan d’action relatif au développement de l’industrie nationale de la construction et de la réparation navales et des services de maintenance dans les ports de pêche a été présenté mercredi par le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.

« Le Gouvernement a entendu une communication présentée par le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques sur le Plan relatif au développement de l’industrie nationale de la construction et de la réparation navales et des services de maintenance dans les ports de pêche », lit-on dans le communiqué ayant sanctionné la réunion du gouvernement tenue en visioconférence et présidée par le Premier ministre Abdelaziz Djerad.

Ce plan d’action s’inscrit « en droite ligne avec les orientations du président de la République Abdelmadjid Tebboune données lors du Conseil des Ministres du 14 Juin 2020 », a ajouté la même source, précisant que le Plan a abordé « l’ensemble des données et des dispositifs à mettre en œuvre en cohérence avec les objectifs et les résultats projetés ».

Ainsi, le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques a présenté lors de cette réunion les axes principaux de ce plan.

Il s’agit d’un nouveau schéma de développement des capacités de réparation et de maintenance navales, d’une nouvelle stratégie pour la grande construction et la réparation navales appuyée par la création d’une nouvelle entreprise nationale spécialisée dans ce domaine, ainsi que le lancement du programme de construction et de réhabilitation des navires de pêche pris en charge par les chantiers navals et leur réseau de sous traitants au sein des toutes petites entreprises (TPE) et les petites et moyennes entreprises (PME).

Il est également question de l’amélioration de la disponibilité des pièces de rechange, de la régulation et le développement d’une capacité nationale de fabrication locale de ces pièces, ainsi que de l’intégration dans le futur projet du port centre Hamdania, des activités de construction et de réparation navales pour les grands navires de la flotte nationale et des navires en transit.

A l’issue du débat, le Premier Ministre a mis l’accent sur le volet de la formation dans le domaine de l’industrie navale, à travers notamment, l’élargissement des spécialités dispensées au niveau des universités et centres de formation et la création, en cas de besoin, de nouveaux instituts de formation dans ce domaine, a conclu le communiqué.


 

Un nouveau plan d’action pour développer la construction et la réparation navale examiné

 ALGER - Le Plan d’action relatif au développement de l’industrie nationale de la construction et de la réparation navale et des services de maintenance dans les ports de pêche a été présenté mercredi par le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.

"Le Gouvernement a entendu une communication présentée par le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques sur le Plan relatif au développement de l’industrie nationale de la construction et de la réparation navale et des services de maintenance dans les ports de pêche", lit-on dans le communiqué ayant sanctionné la réunion du gouvernement tenue en visioconférence et présidée par le Premier ministre Abdelaziz Djerad.

Ce plan d’action s’inscrit "en droite ligne avec les orientations du président de la République Abdelmadjid Tebboune données lors du Conseil des Ministres du 14 Juin 2020", a ajouté la même source, précisant que le Plan a abordé "l’ensemble des données et des dispositifs à mettre en œuvre en cohérence avec les objectifs et les résultats projetés".

Ainsi, le ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques a présenté lors de cette réunion les axes principaux de ce plan.

Il s'agit d'un nouveau schéma de développement des capacités de réparation et de maintenance navale, d'une nouvelle stratégie pour la grande construction et la réparation navale appuyée par la création d’une nouvelle entreprise nationale spécialisée dans ce domaine, ainsi que le lancement du programme de construction et de réhabilitation des navires de pêche pris en charge par les chantiers navals et leur réseau de sous traitants au sein des toutes petites entreprises (TPE) et les petites et moyennes entreprises (PME).

Il est également question de l’amélioration de la disponibilité des pièces de rechange, de la régulation et le développement d’une capacité nationale de fabrication locale de ces pièces, ainsi que de l’intégration dans le futur projet du port centre Hamdania, des activités de construction et de réparation navale pour les grands navires de la flotte nationale et des navires en transit.

A l’issue du débat, le Premier Ministre a mis l’accent sur le volet de la formation dans le domaine de l’industrie navale, à travers notamment, l’élargissement des spécialités dispensées au niveau des universités et centres de formation et la création, en cas de besoin, de nouveaux instituts de formation dans ce domaine, a conclu le communiqué.

Sources : https://www.aps.dz/economie/114811-gouvernement-examen-d-un-nouveau-plan-d-action-pour-developper-la-construction-et-la-reparation-navales

Mostaganem: incendie sur un bateau de pêche provoqué par une étincelle

Un incendie s’est déclaré sur un bateau de pêche au niveau du port commercial de Mostaganem provoqué par une étincelle lors d’une opération de maintenance, a-t-on indiqué dimanche auprès de la direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya, rapporte l’APS. « Le bateau de pêche, sous le nom de « Mimouna Rabha », a été touché samedi soir par un incendie partiel lors d’une opération de maintenance au niveau de l’abri de réparation navale du port commercial de Mostaganem », a précisé à l’APS le directeur de la pêche et des ressources halieutiques, Rahmani Toufik. Le bateau, propriété d’un opérateur de la wilaya d’Oran, est enregistré au port de Bouzedjar (Aïn Temouchent). Il était en phase de réparation après une collision avec un navire marchand, a-t-il précisé. L’incendie qui s’était déclenché lors d’une opération de découpage de certaines parties (de l’embarcation) par une machine, a causé des dégâts matériels ayant touché quelques parties du bateau sans provoquer de dégât humain, selon la même source. Un plan d’intervention a été mis en place, en coordination avec les unités de la protection civile et la capitainerie du port, ainsi que l’équipe des gardes côtes, a indiqué à l’APS le chargé de communication de la direction de wilaya de la protection civile, le lieutenant Mohamedi Mansour. L’opération d’intervention a duré 07H00 et s’est poursuivie jusqu’à 22H00. Trois unités de la protection civile ont été mobilisées, à savoir l’unité principale, l’unité du port, l’unité marine (4 camions d’extinction, un camion à échelle et une embarcation). De son côté, la brigade de la police des frontières maritimes du port a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cet accident.

Sources : https://www.reporters.dz/mostaganem-incendie-sur-un-bateau-de-peche-provoque-par-une-etincelle/

Mostaganem À quand la dépollution de la plage de Sidi el-Mejdoub ?

La mer à Sidi el-Mejdoub, la seule dans la commune de Mostaganem , offre un spectacle désolant au visiteur. Des déversements d'eaux usées en provenance des égouts affectent considérablement la santé du citoyen.

Il est vrai que de nombreux aménagements et travaux de digues maritimes ont été effectués sur cette plage que l’on appelait jadis «la baie des Corsaires», mais de nombreux riverains ne connaissent pas leur utilité.

La plage de Sidi el-Mejdoub reste une plage de proximité où la plupart des habitants des bas quartiers se rendent souvent à pied.

Cette plage, connue, de par son saint marabout, renferme de précieux souvenirs d’avant-l’indépendance. L'insalubrité de ce coin du littoral est un problème de santé national où l'argent manque pour acquérir le matériel nécessaire à l'épuration des eaux usées ménagères. Tout se jette dans cette plage. En dépit des efforts fournis par les associations et quelques bénévoles, le constat est accablant.

Cette côte mériterait sans nul doute un peu plus d’attention de la part des autorités publiques.

L’association Sidi el-Mejdoub a toujours dénoncé la lenteur des pouvoirs publics à réagir à ce massacre et le manque de moyens employés face à ce que les spécialistes considèrent comme le pire désastre environnemental survenu sur cette partie du littoral.

A. Bensadok

MOSTAGANEM Disparition d’un bateau de pêche et de plaisance

Un bateau de pêche et de plaisance, avec à son bord deux personnes, est porté disparu au large du littoral de Mostaganem, a-t-on appris le samedi 26 décembre du directeur de wilaya de la pêche et des ressources halieutiques. 

Toufik Rahmani a indiqué, dans une déclaration à l’APS, que le bateau, sorti en pêche régulière le vendredi à 23h depuis la plage Petit-Port de la commune de Sidi Lakhdar (50 km à l’est de Mostaganem), a été surpris par des conditions défavorables à la navigation maritime. Selon le même responsable, un plan opérationnel de recherche et de sauvetage a été activé samedi pour ratisser la côte-est de la wilaya de Mostaganem, mobilisant tous les moyens humains et matériels pour retrouver les deux personnes qui se trouvaient à bord de ce bateau.

Dans ce cadre, le groupement territorial des gardes-côtes a mobilisé quatre navires pour renforcer les moyens de la direction de wilaya de la Protection civile utilisant des embarcations semi-rigides, a-t-on fait savoir. 

En outre, plusieurs pêcheurs se sont portés volontaires pour participer aux opérations de recherche menées dans des conditions difficiles inadéquates pour la navigation, a-t-on ajouté. 

Sources : https://www.liberte-algerie.com/ouest/disparition-dun-bateau-de-peche-et-de-plaisance-351451

L’Armée réceptionne un nouveau navire de guerre



L’Armée nationale populaire (ANP) a réceptionné ce mardi un nouveau navire de guerre, annonce le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.

En effet, selon la même source, le navire de guerre dragueur de mines « Al Kassih-2 », a accosté, mardi, au quai nord de l’Amirauté, et ce dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’actualisation et de modernisation de la flotte navale Algérienne et afin de consolider le corps de bataille de l’Armée populaire nationale et des Forces navales, a précisé le MDN dans son communiqué.

« Le dragueur de mines « Al Kassih-2″ nouvelle génération, est le deuxième du genre réceptionné par l’Algérie, dans le but de sécuriser la navigation maritime et de défendre les navires de commerce contre les dangers des mines en temps de guerre ou de crise », a ajouté la même source.

Sources : https://www.algerie-eco.com/2020/12/15/larmee-receptionne-un-nouveau-navire-de-guerre/

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