Voile - Championnats d'Afrique : l’Algérie glane 6 médailles et 2 billets pour les JOJ

La sélection algérienne de voile (messieurs/dames) a décroché six médailles (3 or, 1 argent et 2 bronze) aux Championnats d'Afrique 2017 des séries RSX et Bic-techno, clôturés dimanche en Egypte, obtenant au passage deux qualifications aux prochains jeux Olympiques de la jeunesses (JOJ), prévus en 2018 en Argentine.

Après les médailles d'or de Hamza Bouras en RSX (seniors) et celle d'Imad Brighet en Bic-techno, la jeune Lina Aït-Ali Slimane a bonifié la moisson algérienne par une troisième breloque en vermeil, également dans la série Bic-techno.  Elle rejoint ainsi son compatriote Brighet dans la short-liste des véliplanchistes africains qualifiés pour les JOJ de 2018, à Buenos Aires. 

Les trois autres médailles algériennes dans cette compétition, disputée du 28 novembre au 3 décembre, ont toutes été décrochées dans la série Bic-techno, à commencer par l'argent d'Islam Bennaga, puis le bronze de Rami Boudrouma et Ikram Abid.

La Fédération algérienne de voile (FAV), qui a engagé un total de dix athlètes dans cette compétition, avait annoncé avant le départ en Egypte que son objectif était de remporter les quatre titres mis en jeu, mais elle s'est finalement contentée de trois.

Le 4e titre espéré a été manqué par le jeune Ramzi Boudjaâtit, qui a concouru chez les moins de 19 ans en RSX. Les trois autres internationaux algériens engagés dans cette compétition sont Imad Boussaha chez les garçons et chez les filles Naïla Rezouani et Djihane Maïti.

Sources : http://www.radioalgerie.dz/news/fr/article/20171203/127581.html

Port de plaisance d’El Aouana (Jijel) Les travaux de bitumage achevés

Cette infrastructure est réalisée dans un double objectif : contribuer au développement de la pêche et promouvoir les activités de plaisance dans cette région à vocation touristique.

Longtemps à la traîne, les travaux d’achèvement du port de pêche et de plaisance d’El Aouana ont été relancés par la pose du bitume sur le terre-plein de cette infrastructure, réalisée dans le double objectif de contribuer au développement de la pêche et de promouvoir les activités de plaisance dans cette région à vocation touristique. Il faut rappeler que beaucoup d’encre a coulé au sujet de ce projet, lancé en 2008 par un groupement d’entreprises portugo-brésiliennes, pour un délai qui n’excédait pas les deux ans et pour un montant initial de quelque 400 milliards de centimes.

D’un retard à l’autre pour des raisons multiples, ce projet a fini par prendre les contours d’une infrastructure qui ne s’achève pas. Et voilà qu’après presque dix ans d’un chantier qui arrive à son terme par cette étape du bitumage, il reste pourtant quelques travaux à accomplir pour permettre sa mise en service. Et cette mise en service ne peut être effective que par la préparation des conditions de son ouverture, notamment par la mise en place de certaines commodités indispensables pour les activités de plaisance.

Il faut rappeler qu’il est encore prévu de réaliser, à cet effet, des cafétérias, des restaurants et un parking sur son espace. Sur sa fiche technique, le port de pêche et de plaisance d’El Aouana présente les contours d’un bassin de 8 ha de son plan d’eau est un terre-plein de 5 ha avec une jetée ouest de 366 mètres et une jetée est de 348 mètres.

Sa mise en service lui permettra de recevoir 210 embarcations entre chalutiers, sardiniers et petits métiers, en plus des unités de plaisance. Sa réception, qui se fait attendre, est de nature à donner un nouveau souffle au tourisme, encore à son état rudimentaire, dans cette région, où l’on compte aussi des projets touristiques qui sont en cours de réalisation dans le cadre d’investissements privés dans la ZET d’El Aouana.   

Sources : http://www.elwatan.com/regions/est/jijel/les-travaux-de-bitumage-acheves-04-12-2017-357963_130.php

ARRIVEE DU VOILIER ECOLE EL MELLAH AU PORT D'ALGER


Pêche et aquaculture: Sortie du premier catamaran fabriqué en Algérie

TIPASA- Le premier catamaran fabriqué en Algérie par une société mixte algéro-française et destiné au secteur de l'aquaculture marine, un navire jusque-là importé de l'étranger, a été inauguré jeudi à Bouharoun (Tipasa) par le ministre de l'Industrie et des Mines Youcef Yousfi.

Ce catamaran, fabriqué par la société Piriou-Algérie, créée en 2015 entre le groupe français Piriou, en tant que technologue, et l'entreprises algérienne CCNBH (chantier de construction et réparation navale de Bouharoun-ex Ecorep), filiale du groupe mécanique AGM, a été construit pour le compte d'un investisseur privé dans l'aquaculture maritime de la wilaya de Chlef, en l'occurrence M. Zellal Mohamed.

"Je suis très fier de ce navire que j'ai acquis auprès de Ccnbh-Piriou en déboursant 61,6 millions de DA seulement alors qu'il fallait auparavant dépenser 500.000 d'euros en moyenne pour l'acquisition du même navire", a déclaré cet investisseur à la presse lors de la cérémonie d'inauguration.
En plus, l'entretien et la maintenance seront assurés par la société constructrice elle-même, "ce qui me fera gagner du temps et des devises puisque la maintenance se faisait jusque-là à l'étranger", a-t-il soutenu.

Les responsables de la société ont fait savoir que le taux d'intégration de ce catamaran, fabriqué en aluminium, avoisine les 70% hors moteur.

C'est "un projet important qui entre dans le cadre du programme du Gouvernement et des instructions du président de la République pour la diversification de l'économie et de l'industrie nationale. Il fera économiser au pays des importations de navires payées chèrement en devises", a déclaré M. Yousfi en faisant savoir que Piriou-Algérie allait se lancer dans la fabrication d'autres types de navires.
Ce projet "nous offre une réponse locale à la forte demande sur les catamarans", s'est réjoui à son tour le secrétaire général du ministère de l'Agriculture, du développement rural et de la pêche Kamel Chadi en faisant savoir qu'à moyen terme le secteur a besoin de 190 catamarans destinés à  l'aquaculture marine.

La société mixte se lancera prochainement dans la fabrication sur le site de Bouharoun d'une nouvelle gamme d'embarcations de pêches et de servitudes portuaires (remorqueurs), en acier et en aluminium, sous le label Piriou, un leader européen en la matière.
Cette gamme est composée de trois principales familles d'embarcations de taille allant de 16 à 40 mètres, ont expliqué les responsables de la Ccnbh. Il s'agit de navires de pêche et d'aquaculture marine, de remorqueurs, de barges de maintenance et antipollution en plus d'embarcations de 5 à 12 mètres en fibre de verre.

A titre d'exemple, la Sonatrach s'apprête à faire plusieurs commandes auprès de la Ccnbh-Piriou pour la construction d'un navire remorqueur, pour un montant de 423 millions de Da, d'un bateau de maintenance en acier d'un coût de 1,46 milliard de DA et d'une barge antipollution en acier pour 1,13 milliard de Da.

La construction d'embarcations en acier, actuellement importés, permettra de réaliser un taux d'intégration de 40% (hors moteur) dès la première année pour atteindre 70% avec l'utilisation de moteurs marins de fabrication locale.

Piriou Algérie assurera également la réparation, l'entretien et la maintenance du parc d'embarcation de pêche au niveau national dès le deuxième semestre de 2018. Elle prendra en charge également les arrêts techniques des embarcations et des remorqueurs y compris les thoniers.

Créée en janvier 2015, avec un capital social de 312 millions de DA répartis selon la règle 49-51% et des investissements de 2,2 milliards de DA, cette société mixte devra employer 500 personnes à moyen terme.

Sources : http://www.aps.dz/economie/66454-peche-et-aquaculture-sortie-du-premier-catamaran-fabrique-en-algerie

Algérie-Préservation des cétacés: Oran accueillera en novembre la 4ème la conférence de l’organisation internationale ACCOBAMS

La 4ème conférence biennale des parties de l’Accord sur la conservation des cétacés de la mer noir, de la méditerranée et de la zone atlantique adjacente (ACCOBAMS) se tiendra à Oran du 11 au 13 novembre prochain, a appris, mardi l’APS, du directeur général de la pêche.

Cet important évènement, qui porte sur la préservation des mammifères marins comme les baleines et les dauphins, sera organisée, parallèlement à la tenue du Salon international de la pêche et de l’aquaculture, au Centre des conventions  Ahmed Benahmed  d’Oran, a précisé M. Taha Hammouche.
L’annonce de cet évènement , faite sur le site internet d’ACCOBAMS, qui indique que  cette 4ème conférence est organisée dans le but de faire le point sur l’état des connaissances disponibles sur les cétacés dans le Sud de la Méditerranée, d’identifier les lacunes ainsi que de stimuler le  développement d’actions de conservation et de collecte de données en vue de promouvoir la mise en £uvre de l’Accord ACCOBAMS.
L’organisation régulière des conférences de l’ACCOBAMS, permet aux spécialistes de cétacés actifs au sud de la Méditerranée d’échanger leurs expériences et leurs données, souligne-t-on de même source, ajoutant que c’est également l’occasion pour ces experts de se concerter sur les approches et priorités pour une meilleure connaissance des populations de cétacés dans cette zone de la Méditerranée où les données restent encore rares et fragmentaires.
Cette Conférence est également destinée à impliquer le milieu universitaire et à sensibiliser les futurs acteurs et décideurs aux problématiques liées au domaine marin, a-t-on encore noté.
Plusieurs thèmes seront au programme de cette conférence comme les interactions entre les cétacés et les activités humaines, le suivi des populations et des échouages, les habitats critiques pour les cétacés, les plans de conservation des espèces, les échanges d’information et la photo-identification.
Un atelier de formation d’observateurs de mammifères marins (MMO) et d’opérateurs de surveillance acoustique passive (PAM) sera organisé au cours du dernier jour de la Conférence, a-t-on encore fait savoir.
L’ACCOBAMS est un accord intergouvernemental et un outil juridique basé sur la coopération visant à conserver la biodiversité, en réduisant les menaces qui pèsent sur les cétacés et en améliorant l’état des connaissances sur ces animaux.
Il s’agit d’un accord qui émane de la volonté des pays membres (29 pays européens, méditerranéens, asiatiques et arabes dont l’Algérie), de préserver toutes les espèces de cétacés et leurs habitats dans l’aire géographique de l’Accord, en imposant des mesures plus restrictives que celles définies dans les textes précédemment adoptés.

Sources : http://www.toutdz.com/algerie-preservation-des-cetaces-oran-accueillera-en-novembre-la-4eme-la-conference-de-lorganisation-internationale-accobams/

Emigration clandestine: 286 personnes sauvées au large des cotes algériennes

ALGER- Les unités des Garde-côtes des Forces navales de l’Armée nationale populaire (ANP) ont procédé, durant les dernières 48 heures, au sauvetage de 286 candidats à l’émigration clandestine à bord d’embarcations de fortune, indique samedi un communiqué du ministère de la Défense nationale MDN).

"Dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine, les unités du Service national de Garde-côtes des Forces navales de l’Armée nationale populaire ont procédé, durant la période allant de jeudi 16 au samedi 18 novembre 2017, à l’interception et sauvetage, d’un nombre total de 286 citoyens algériens candidats à l’émigration clandestine à bord d’embarcations de fortune", note la même source.

Sources ; http://www.aps.dz/algerie/65819-lutte-contre-l-emigration-clandestine-286-personnes-sauvees-au-large-des-cotes-algeriennes

Le film documentaire « Les maisons de la mer » de Hamza Mendil, rafle la palme de Bronze au Festival mondial de l’image sous marine de Marseille

Le film documentaire algérien « Les maisons de la mer » de Hamza Mendil, a remporté hier soir samedi, la palme de Bronze, catégorie PRO au Festival mondial de l’image sous marine et de l’environnement « Aquatic » de Marseille, nous apprend Emir Berkane, Porte-parole du Réseau PROBIOM, le Réseau algérien pour la protection de la biodiversité marine.

« Cette participation est la première de l’Algérie au Festival qui existe depuis 1974. Le film en lui même est le premier film documentaire sous marin 100% algérien », ajoute Emir Berkane qui précise que ce film co-produit par l’Association Hippone Sub de Annaba et la société de production algérienne NEPHRONS GP, a été financé par le programme FEM/SGP/PNUD des Nations-Unies et réalisé par le jeune réalisateur algérien Hamza Mendil.

Le long métrage de 54 minutes, raconte la formidable histoire des premiers récifs artificiels de Annaba, immergés en mai 2016 grâce à la collaboration de la société civile avec les Ministères de la Pêche et de l’Environnement, les Gardes-Côtes, les professionnels de la pêche et les scientifiques de l’Université de Annaba. Ce projet a été mené à son terme malgré d’énormes difficultés administratives notamment quand il fallut obtenir les autorisations nécessaires à l’immersion des cinq modules du récif.

Sources : http://casbah-tribune.com/2017/11/05/film-documentaire-maisons-de-mer-de-hamza-mendil-rafle-palme-de-bronze-festival-mondial-de-limage-marine-de-marseille/

Les passagers du carferry Tariq Ibn Ziad rentrent sur Alger aujourd’hui

Tôt ce matin, le carferry Tariq Ibn Ziad s’est amarré au port d’El Ciuda à Palma de Majorque.  

Il a été rejoint par le carferry « El Djazair II» devant rallié Marseille à Oran pour rapatrier les passagers se trouvant à bord. Les passagers sains et saufs sont rentrés à Oran, aujourd’hui vers six heure du matin. Des bus ont été mis à la disposition des voyageurs pour rejoindre Alger.

La compagnie a de suite procédé à l’indemnisation des passagers victimes de l’incident de samedi à hauteur de 3 500 dinars chacun.

Pour rappel, un incendie s’est déclaré à bord du navire Tariq Ibn Ziad dans la nuit de samedi à dimanche alors que le bateau se trouvait au large de Palma de Majorque ravageant une trentaine de véhicules se trouvant à bord du carferry Tariq Ibn Ziad qui assurait la liaison Marseille à Alger. L’on ne déplore toutefois aucune victime.  

L’incendie qui s’est propagé rapidement a été maîtrisé grâce à l’intervention rapide et efficace de l’équipage entraîné, faut-il le reconnaitre,  à intervenir dans des situations d’extrême urgence. Les causes restent toutefois encore inconnues. Selon certaines indiscrétions, l’incendie a été provoqué par « des produits pyrotechniques  se trouvant à bord d’un des véhicules ». Une information à prendre avec toutes les précautions d’usages et que l’enquête diligentée à cet effet, ne manquera sans aucun doute pas de déterminer.  

Sources : http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/transport/les-passagers-du-carferry-tariq-ibn-ziad-rentrent-sur-alger-aujourd-hui-13-11-2017-182225_294.php

Ravagé par un incendie/ Le ferry Tariq Ibn Ziyad a évité de justesse une véritable catastrophe

Un incendie s’est déclaré, samedi, à bord du ferry Tariq Ibn Ziyad qui assurait la liaison Marseille (France)-Alger. Aucune perte humaine n’est à déplorer. Cependant, des dégâts matériels importants ont été enregistrés.

En effet, l’incendie se serait déclaré dans un véhicule pour se propager dans la soute du navire ravageant près d’une quarantaine de véhicules. Le célèbre ferry Tariq Ibn Ziyad comptait 472 passagers à son bord. Ce denier a dû changer de cap pour se diriger vers le port espagnol de Gandia afin d’éviter toute perte en vie humaine, rapportent diverses sources, citant le Groupe de transport maritime algérien (GATMA).

Toujours selon les mêmes sources, un autre navire a été mobilisé depuis le port d’Oran pour transporter les passagers.

Sources : http://www.algerie-focus.com/2017/11/ravage-incendie-ferry-tariq-ibn-ziyad-a-evite-de-justesse-veritable-catastrophe/

Association Green Bike à Annaba Des bénévoles au secours de la plage du «Lever de l’aurore»

Après une saison estivale ratée, causant plus de tort que de bien à Annaba, les jeunes de l’association Green Bike ont, encore une fois, organisé une campagne de bénévolat pour nettoyer l’une des plus belles plages de la ville.

Ils étaient nombreux, mardi, sur la plage El Nasr (ex- «Lever de l’aurore») à participer à cette action, louable à plus d’un titre pour dire «NO» aux pollueurs et à l’incivisme des personnes qui portent atteinte à l’environnement de la wilaya.

«Cette plage était dans un état lamentable. Outre les déchets ménagers et autres détritus hétéroclites, des centaines de bouteilles de vin et de canettes de bière vides jonchaient le sable du ‘‘Lever de l’aurore’’, offrant un paysage lugubre. Notre association s’est ébranlée pour venir à son secours, au grand bonheur de ses habitués. Faut-il rappeler que cette plage entame la corniche de Annaba, très aimée par les habitants et surtout les pêcheurs ?», se plaint l’un des jeunes animateurs de cette opération citoyenne.

Il a fallu aux nombreux participants plus de quatre heures pour redorer le blason terni de ce lieu touristique. Une opération, au terme de laquelle, pas moins de 60 sacs ont été remplis de déchets ramassés sur le sable de la première plage de la corniche annabie. «Ce qui met du baume au cœur, c’est la participation spontanée des passants des deux sexes à cette noble action. Cela témoigne du soutien des habitants de la wilaya de Annaba, portés à la protection de l’environnement pour faire de leur chef-lieu une ville propre», estiment les bénévoles de cette jeune association.

Rappelons que Green Bike est un club, dont les adhérents sont des amateurs de bicyclette. Ses membres organisent périodiquement des sorties en petite reine, notamment au niveau de la corniche, dont l’action principale est le nettoyage des plages. Il est devenu célèbre à travers la Toile lorsqu’à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, qui coïncide avec le 5 juin de chaque année, il s’est engagé à mener une campagne de nettoyage pendant les 30 jours de Ramadhan. Relevé, le défi a entraîné depuis, une contagion dans le milieu associatif et même public, où régulièrement des actions analogues sont organisées çà et là à travers la wilaya de Annaba.   

Sources : http://www.elwatan.com/regions/est/annaba/des-benevoles-au-secours-de-la-plage-du-lever-de-l-aurore-28-10-2017-355562_133.php

Meeting National de Sauvetage à Sig

La fédération renoue avec les compétitions de sauvetage par ce premier Meeting National de Sauvetage Aquatique dont l’organisation a été confiée à la Ligue de Mostaganem. 
Cette discipline sportive spectaculaire a malheureusement été abandonnée depuis 10 ans alors que c’est le Sauvetage compétitif qui a donné ses premiers titres à la toute jeune Algérie indépendante car, rappelons-le, notre nation a été vice-championne du Monde en 1964.
Ce vendredi sera consacré à des exhibitions et à l’entrainement des athlètes à des épreuves que la plupart vont découvrir. Les démonstrations seront assurées par Mr Djamel Derbali, président du Comité National de Sauvetage. C’est le samedi 21 octobre 2017 qu’aura lieu le Meeting qui promet d’être spectaculaire car, malgré le caractère amical de cette compétition, les ligues ont engagé leur meilleurs éléments dans cette rencontre pour soutenir le lancement de cette discipline.
Il faut signaler que c’est la ville de Sig (wilaya de Mascara) qui abrite cette compétition en raison de l’indisponibilité de la piscine olympique de Mostaganem mais aussi en raison de la bienveillance des cadres de la DJS de Mascara qui ne ménagent aucun effort pour accueillir comme il se doit cette première compétition de Sauvetage.
Ce Meeting marque une nouvelle ère pour le Sauvetage aquatique et pour la fédération car c’est une discipline qui pourra se développer même dans les wilayas de l’intérieur.

Sources : Fassas

BOUMERDÈS Des enfants à la découverte des biens enfouis dans les fonds marins

Plus d’une vingtaine d’enfants de différentes  régions de Boumerdès ont bénéficié, hier, samedi, d’une visite exploratoire de la côte et des fonds marins du littoral de la ville de Dellys. Equipés de matériel de plongée et accompagnés de plongeurs professionnels, ces enfants dont la moyenne d’âge est de 12 ans, ont eu  l’opportunité de découvrir les vestiges archéologiques et culturels enfouis à travers les civilisations dans les fonds marins de la côte de Dellys, au titre d’une manifestation visant la préservation des richesses culturelles dont regorge la région. La manifestation, initiée par l’association des activités subaquatiques Delphine de Dellys, avec la collaboration conjointe du Musée public national maritime, de la Fédération algérienne de sauvetage, de secourisme  et des activités subaquatiques et de la direction de la culture, a permis aux enfants de se faire une idée sur l’intérêt de préservation de ce patrimoine marin et de son importance au plan touristique notamment. L’opportunité a donné ainsi lieu à l’animation, par des spécialistes du  Musée public national maritime, d’interventions sur ce riche patrimoine enfoui sous la mer et le moyen de le préserver, avant de programmer des sorties dans les nombreux sites de la côte de Dellys, où les enfants ont eu droit à des exercices théoriques sur la plongée, suivis, pour certains d’entre eux, par des exercices d’application. Au terme de la visite, des cadeaux et autres brochures d'information ont été offerts aux enfants.

Sources : https://www.liberte-algerie.com/actualite/des-enfants-a-la-decouverte-des-biens-enfouis-dans-les-fonds-marins-279714

عين تموشنت: انتشال جثة شاب من البحر

انتشل صبيحة اليوم السبت، غطاسو حرس السواحل التابعين للمجموعة الإقليمية لحرس السواحل لبني صاف في عين تموشنت بالتنسيق مع نظرائهم من الحماية المدنية، جثة الشاب بشير بن عمور البالغ 29 سنة، من عرض البحر على بعد حوالي ميلين بحريين من شاطئ تارقة في ولاية عين تموشنت، باستعمال زورق نصف صلب، حيث كان عالقا ما بين الصخور.
  الضحية دخل البحر صبيحة يوم الجمعة، وقد حاول بعض أصدقائه إنقاذه في البداية غير أن اضطراب البحر حال دون ذلك، لتنطلق عملية البحث من قبل غطاسي الحماية المدنية، الذين وجدوا صعوبة بسبب انعدام الرؤية، وقد تنقل العشرات من شباب حي الزيتون إلى الشاطئ لتدعيم عملية البحث عنه.حيث تم انتشال جثته ونقلها من قبل عناصر الحماية المدنية إلى قسم حفظ الجثث بمستشفى أحمد مدغري بعين تموشنت.

Le chiffre en hausse: 127 personnes mortes par noyades en 2017

127 personnes sont mortes par noyades, dont 74 cas ont été enregistrés sur des plages interdites à la  baignade. C’est ce qu’a indiqué le bilan de la protection civile dans un bilan rendu public.

Selon le sous-directeur des statistiques et de l’information auprès de la (DGPC), le colonel Farouk Achour, cette année a connu une augmentation du  nombre des victimes de noyade comparativement à l’année 2016 qui était de 124 cas de décès. Pour les 53 cas des personnes décédées noyées dans les plages surveillées, 35 victimes ont été déplorées pendant les heures de surveillance et 18 autres hors heures de surveillance.

Le chiffre des personnes sauvées d’une noyade certaine a augmenté d’un peu  plus de 48.000 cas enregistré en 2016 à plus de 53.000 durant l’été de cette année. Une saison estivale marquée également par près de 80.000 interventions sur les plages,  plus de 20.000 personnes soignées sur place et 4.917 personnes évacuées  vers les centres de santé.

Le même bilan a relevé également que deux personnes mortes et 13 autres blessés dans des accidents en mer causés par des engins nautiques, tels que les jet-skis.

Sources ; http://www.lesechosdalger.com/chiffre-hausse-127-personnes-mortes-noyades-2017/

LA MISSION DURERA QUATRE JOURS Un Groupe naval de l'Otan fait escale au port d'Alger


Le premier Groupe naval de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (Otan) “SNMG-1” a accosté hier au port d'Alger pour une escale de quatre jours, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). “Dans le cadre de la coopération militaire avec l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord, le 1er Groupe naval de l'Otan ‘SNMG-1’ a accosté le port d'Alger pour une escale qui durera quatre jours”, a précisé la même source. Lors de cette escale, une délégation du Groupe naval “sera reçue par le chef d'État-major du commandement des Forces navales et des exercices d'interdictions maritimes seront exécutés par le 1er Groupe naval de l'Otan ‘SNMG-1’ et deux unités flottantes de nos forces navales”. À noter que le Groupe naval de l'Otan “SNMG-1”, sous commandement norvégien, est composé de cinq unités. Il s'agit de frégates norvégienne, portugaise, espagnole et hollandaise d’un ravitailleur allemand.

Sources ; http://www.liberte-algerie.com/actualite/un-groupe-naval-de-lotan-fait-escale-au-port-dalger-279433

L'impôt sur la fortune à partir de 50 millions DA


Le conseil des ministres réunis ce mercredi sous la présidence du chef de l'Eat a adopté les porjets de textes législatifs portant loi de Finances pour 2018, règlement budgétaire 2015 et un projet de loi sur le commerce électronique.

 Outre des nouvelles taxes imposées pour les carburants et le tabac, le projet de loi de Finances prévoit, comme annoncé la semaine dernière par le Premier ministre, un impôt sur la fortune. Celui-ci sera appliqué à partir de 50 millions de dinars.

Les biens fonciers construits et non construits, les droits réels immobiliers, les biens mobiliers, les véhicules privés cylindré supérieur à 2000 cm3 (essence) et cylindré supérieur à 2200 cm3 (gasoil), les motos dépassant 230 cm3, Yachts et bateaux de plaisance, aéronefs de plaisance, les chevaux de course, les œuvres et tableaux artistiques dont le coût dépasse les 500 000 DA, les bijoux, les pierres précieuses, l’or et les métaux précieux sont concernés par cet impôt. Lequel sera appliqué, après déclaration des concernés chaque 1er janvier, à un taux proportionnel de de 50 000 001 DA à 100 000 000 DA un impôt de 1% sera appliqué, de 100 000 001 DA à 200 000 000 DA (1,5%), de 200 000 001 DA à 300 000 000 DA (2%), de 300 000 001 DA à 400 000 000 DA (2,5%), plus de 400 000 000 DA (3,5%).

Le projet de loi dispose que les concessionnaires sont tenus de transmettre au fisc les noms, prénoms et adresses de leurs clients ayant acquis un véhicule touristique dont le prix est supérieur à 10 millions de dinars (1 milliard de centimes). Idem pour les bijoutiers qui doivent informer l’administration fiscale sur les achats de bijoux de luxe. L’administration douanière sera mise à contribution puisqu’il lui sera demandé des informations détaillées sur les importations, par des particuliers, de voitures dont le prix dépasse les 10 millions DA, les Yachts et bateaux de plaisance, les caravanes, les chevaux, les aéronefs touristiques, les bijoux et pierres et métaux précieux.

A travers cet impôt, l’Etat compte faire entrer dans les caisses 3 250 000 DA, cela en plus des 2 000 000 DA qui concernent l’impôt sur le patrimoine. Soit un revenu global de 5 250 000 DA.

Sources ; http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/finance-assurances/l-impot-sur-la-fortune-a-partir-de-50-millions-da-04-10-2017-181898_290.php

Hisser la flotte navale aux rangs de "la modernité et de l’efficacité opérationnelle"


ALGER - Le général de Corps d'Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'Etat-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a souligné samedi à Alger la volonté du Haut Commandement de l’Armée à hisser la flotte navale nationale aux rangs de la "modernité, du progrès et de l’efficacité opérationnelle", indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN) rendu public à l'issue de sa visite au Commandement des Forces navales.

"C’est dans cette optique que ces efforts ont été consentis, et pour cette fin que nos Forces Navales se renforcent, aujourd’hui, par ce bâtiment chasseur de mines + El Kasseh-1+, une réalisation qui rejoint parfaitement notre objectif ultime, hisser notre flotte navale aux rangs de la modernité, du progrès et de l’efficacité opérationnelle, sur la base d’une composante humaine qualifiée, scientifiquement, techniquement et technologiquement, en accord avec les missions qui lui sont assignées, capable d’exploiter les équipements modernes mis à sa disposition, déterminée à accompagner notre flotte navale à gagner l’enjeu de la disponibilité permanente et de la puissance dissuasive, afin de s’acquitter de ses missions avec l’efficacité requise, en coordination totale avec les autres Forces, consolidant sa présence permanente et efficiente au sein du bassin méditerranéen, réaffirmant ainsi sa place méritée, dont notre Pays jouit dans cette zone stratégique".

Sources : http://www.aps.dz/algerie/63435-hisser-la-flotte-navale-aux-rangs-de-la-modernite-et-de-l-efficacite-operationnelle-gaid-salah


UN SARDINIER CHAVIRE AU LARGE DU PORT DE BOUZEDJAR (AÏN TÉMOUCHENT) Un mort et un disparu


Dans la matinée d’hier un sardinier, parti du port de Bouzedjar, a chaviré au large, en pleine mer, avec à son bord 13 marins pêcheurs. Selon nos informations, les gardes-côtes et la Protection civile qui ont utilisé de gros moyens dans l’opération de sauvetage, dont un hélicoptère, ont réussi à secourir 11 marins pêcheurs. Malheureusement, l’un des marins âgé de 43 ans, originaire de Boutlélis (Oran), a perdu la vie. Son corps a été déposé à la morgue de l’hôpital d’El-Amria alors qu’un autre est toujours porté disparu.
À l’heure où nous mettons sous presse, les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver le marin disparu. Une enquête a été ouverte par les services habilités pour connaître les raisons de cet accident d’autant que la mer était calme.

Sources ; http://www.liberte-algerie.com/actualite/un-mort-et-un-disparu-278131

BÉCHAR Ouverture de la première base nautique du sud du pays



La première base nautique dans le sud du  pays sera ouverte en octobre prochain à Béchar à la pratique des sports nautiques et de voile, selon le directeur du secteur de la jeunesse et des sports de cette wilaya. Cette nouvelle infrastructure sportive et de loisirs de jeunes, implantée au lac du barrage de Djorf-Ettorba, sera ouverte officiellement au début  d’octobre prochain dans le but de promouvoir et de développer la pratique des différentes disciplines sportives nautiques, et sera dédiée aux loisirs de la population, surtout en période estivale. Cette base nautique, dont les travaux ont été lancés en 2015 et nécessitaient un investissement public de 54 millions de dinars, sera un centre de développement des activités sportives de la planche à voile, la voile légère, la plongée sous-marine, la pêche sportive ainsi que d’autres sports nautiques et leur vulgarisation auprès des amateurs et des jeunes de la région.

Sources ; http://www.liberte-algerie.com/actualite/ouverture-de-la-premiere-base-nautique-du-sud-du-pays-278051

Le commandant des forces navales inspecte le bâtiment de débarquement et de soutien logistique "Kalaat Beni Hammad"


ALGER- Le commandant des Forces navales, le  général-major Haouli Mohamed Larbi, a inspecté jeudi à l'Amirauté (Alger), le Bâtiment de débarquement et de soutien logistique "Kalaât  beni hammad", après sa participation à l'exécution, du 5 au 21 septembre, de la dixième (10) édition de l'activité de coopération opérationnelle "Raïs Hamidou-2017" dans le bassin occidental de la mer Méditerranéenne, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). 

Cette activité, qui s'inscrit dans le cadre de l'échange des expériences  et du renforcement de la coopération militaire entre nos Forces navales et  la marine française, "vise à renforcer la coordination opérationnelle dans  le domaine du contrôle et de la sécurité maritimes, à travers l'échange des  connaissances en vue de permettre le développement des capacités  d'interopérabilité et de réactivité entre les deux parties lors des  situations de crises (pollution, activités illicites, incidents en  mer...)", précise la même source.

Cet exercice "s'est déroulé en quatre (04) étapes, avec deux escales au niveau des ports de Toulon en France et d'Alger, incluant des exercices  tactiques au large de la zone s'étendant des côtes algériennes jusqu'aux  côtes françaises", souligne le communiqué. 

Ces exercices "sont dédiés à l'évaluation des connaissances acquises par  les unités engagées dans un exercice dont le scénario consiste en  l'interception d'un navire menant des activités illicites, en plus d'un  exercice de recherche et de sauvetage en mer, sous la conduite du Centre  national des opérations de surveillance et de sauvetage relevant du Service  national des garde-côtes au commandement des Forces navales", conclut le communiqué du MDN.

Sources : http://www.aps.dz/algerie/63100-le-commandant-des-forces-navales-inspecte-le-batiment-de-debarquement-et-de-soutien-logistique-kalaat-beni-hammad

Mort suspecte de mérous sur les plages d’Ain el Turck et Bousfer


Des pêcheurs activant sur les côtes de la corniche oranaise ne cessent de signaler, depuis quelques jours, la découverte de mérous morts sur les plages d’Ain el Turck et Bousfer, a révélé jeudi à l’APS le secrétaire général de l’association écologique Barbarous.

La découverte d’une trentaine de mérous morts a été signalée jusqu’à présent à l’association. Celle-ci a récupéré un échantillon de ces poissons morts de « manière suspecte » pour les faire analyser par un laboratoire spécialisé dans les sciences de la mer au niveau de l’université d’Oran, a précisé Amine Chakouri.

« La mort des mérous, jugés comme baromètre de la salubrité de la mer, est inquiétante », s’est alarmé M. Chakouri.

Contacté par l’APS, le directeur général de la pêche, Taha Hamouche, a indiqué que des scientifiques du laboratoire spécialisé dans l’analyse des poissons et leur milieu seront dépêchés à Oran pour tenter de déterminer les causes de la mort de ces poissons.

Pour le directeur général de la pêche comme pour le SG de l’association Barbarous, il est prématuré d’avancer pour le moment une quelconque cause de la mort de ces poissons. Celle-ci peut avoir de multiples raisons comme la pollution ou une épidémie virale.

Le même phénomène a été observé au Golfe d’Annaba en 2012, avec la découverte de centaines de mérous morts sur la plage de Draoueche. Le rapport de l’analyse biomoléculaire avait confirmé la thèse de la maladie virale, rappelle-t-on.

Par ailleurs, Amine Chakouri a tiré la sonnette d’alarme sur les risques de voir des pêcheurs peu scrupuleux mettre en vente des mérous retrouvés morts ou pêchés mourants près de la surface. Ceci peut constituer un danger réel sur la santé du consommateur, a-t-il mis en garde

Sources : http://www.algerie-eco.com/2017/09/21/mort-suspecte-de-merous-plages-dain-el-turck-bousfer/

Les Sablettes durant les week-ends Un cadre agréable pour la détente et la promenade


Les familles algéroises sortent de plus en plus, notamment aux Sablettes, où elles trouvent un cadre agréable pour la détente et la villégiature.

La promenade des Sablettes fait partie de ces nouveaux endroits qui attirent un nombre impressionnant de visiteurs, avides de distractions et de plaisance.

Elle constitue, en l’absence d’espaces de détente dans la capitale, une  véritable soupape de décompression. En dépit des travaux qui s’y déroulent toujours, les visiteurs passionnés de nature y affluent en grand nombre, particulièrement durant les week-ends, où ils occupent la partie ouverte au public. Cette dernière s’étend sur plusieurs centaines de mètres et offre toutes les commodités dont ils ont besoin. Entre le bruit des vagues, qui viennent mourir sur le rivage, et les carrés de végétation verdoyante, les randonneurs semblent arrachés, malgré eux, au tumulte de la ville et à ses tracasseries.

L’espace est un refuge tranquille aux abords d’une cité tentaculaire et bruyante. Une esplanade, grande de plusieurs centaines de mètres carrés, offre aux enfants un espace pour la pratique d’activités récréatives. Les adultes font du vélo dans un circuit prévu pour cela. Les plus enclins au repos se détendent sur l’herbe ou sous des niches en bois en forme de kiosque, qui les protègent des rayons du soleil. Les toboggans et autres équipements de puériculture sont pris d’assaut par les enfants, qui trouvent dans cet espace une liberté providentielle. Si la Promenade des Sablettes est devenue un lieu de prédilection pour les activités de loisirs, des jardins qui existent depuis fort longtemps sont laissés à l’abandon par les pouvoirs publics.

Le Parc zoologique de Ben Aknoun en est un exemple poignant. Le jardin est devenu, de ce fait, un lieu malfamé, où des délinquants de tous bords s’adonnent à la consommation de drogue et même à la prostitution. Cet espace dépend actuellement du ministère de l’Agriculture, qui, depuis des années, a démontré son incapacité à le gérer correctement. La wilaya d’Alger a formulé depuis quelques années son intention de le récupérer. Cependant, rien n’a été fait dans ce sens, et le parc continue de subir une dégradation affligeante. Par ailleurs, des espaces forestiers, pourtant aménagés à coups de milliards, sont boudés par le grand public. A l’est de la capitale, deux bois longtemps délaissés ont été réhabilités et aménagés, mais ne sont paradoxalement pas fréquentés par les familles. Des délinquants et des malfrats ont élu domicile dans ces bois avant d’être investis par les familles.

C’est un fait accompli, qui n’a pas suscité auprès des pouvoirs publics une quelconque disposition à vouloir corriger la situation. La Promenade des Sablettes est certes un projet intéressant et enthousiaste, mais ne doit en aucun cas être le seul et unique lieu du genre. Les habitants de la capitale ont besoin, plus que jamais de soupapes de décompression.

Les familles se sont longtemps cloîtrées dans leur maison. L’absence d’endroits où elles peuvent s’adonner aux plaisirs de la villégiature les a confinées, notamment durant la décennie noire, dans les espaces restreints de leur appartement et les murs protecteurs de leur cité.

Sources : http://www.elwatan.com/regions/centre/alger/un-cadre-agreable-pour-la-detente-et-la-promenade-14-09-2017-352630_148.php

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Boumerdès : 22 morts par noyade cet été


Pas moins de 22 personnes se sont noyées cet été sur la côte de la wilaya de Boumerdès, selon les chiffres communiqués par la Protection civile. C’est la première fois qu’un tel chiffre est atteint. Ainsi, on dénombre douze noyades rien qu’au niveau des plages gardées et dix au niveau de celles qui ne connaissent pas une couverture en maîtres nageurs. Certains pensent que l’augmentation du nombre de visiteurs, surtout durant les semaines de canicule, a rendu la tâche de la surveillance extrêmement difficile, avec une insuffisance des effectifs de la Protection civile. Certes, plus de 13 millions de personnes ont fréquenté les plages de Boumerdès, mais cela n’explique pas la hausse du nombre de noyés. Il  y a également le facteur de risques inutiles que prennent souvent de jeunes baigneurs, puisque la majorité des noyés ne dépasse pas la trentaine. D’ailleurs, le nombre d’interventions a été de l’ordre de 15 431, avec 12 414 sauvetages d’une mort certaine et  409 cas ayant nécessité des évacuations d’urgence vers des hôpitaux, selon le dernier communiqué de la Protection civile. A noter aussi le non-respect de la réglementation en vigueur et l’absence de contrôle, comme le prouve le malheureux accident qui a coûté la vie à un jeune homme de 20 ans, heurté mortellement par un jet-ski à Cap Djinet. 

Sources ; http://www.elwatan.com/regions/kabylie/boumerdes/boumerdes-22-morts-par-noyade-cet-ete-09-09-2017-352302_146.php

Traversée de la baie d'Alger en voiliers


Une journée portes ouvertes suivie d'une compétition de voiliers habitables a débuté hier. Organisé par la Fédération algérienne de voile, l'événement s'étale sur deux journées. Le premier jour, hier, c'était la journée des portes ouvertes au public à la plage et au port d'El Djemila (ex-la Madrague) pour faire découvrir aux jeunes et aux familles les secrets de la voile. La seconde journée, ce matin à partir de 10 h, laissera place à la compétition baptisée «La Traversée». Elle verra plusieurs voiliers parcourir la baie d'Alger d'un coin à l'autre. Une sortie en mer est aussi prévue pour les familles.

Sources ; http://www.lexpressiondz.com/article/0/0-0-0/275161.html

El Djamila (Alger)/ Le bateau-restaurant « Le Dauphin » entre en service


Le port de plaisance d’El Djamila (ex-La Madrague), dans la commune d’Aïn Bénian, à l’ouest  d’Alger, a vu, hier lundi, l’entrée en service du bateau-restaurant « Le Dauphin ».

Le « Dauphin » est d’une capacité de 300 places. Il effectue des balades en mer dans un rayon n’excédant pas les cinq miles. Sinon, il reste accosté au port, notamment lorsque les conditions météorologiques ne permettent aucune sortie.

En marge de la cérémonie d’inauguration de ce nouveau service, le ministre des Transports, Abdelghani Zaalane, qui était accompagné du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a déclaré que son département a délivré 11 agréments à des investisseurs dans ce créneau, dont cinq itinérants.

Il a également affirmé que décret exécutif n°25 de juin 2016, qui encadre cette activité, ouvre également la voie aux investisseurs en matière de transport urbain maritime, de pêche de loisir, de croisière et à différentes embarcations à moteurs. Il précise en outre que depuis l’ouverture du secteur, plusieurs dossiers sont en cours d’étude au niveau des commissions régionales centre, ouest et est.

Sources : http://www.algerie-focus.com/2017/08/el-djamila-alger-bateau-restaurant-dauphin-entre-service/

La ligne maritime Oran-Ain El Turk très prisée


Elle a fait sa première rotation le 05 juillet dernier, la navette maritime de transport de voyageurs du port d'Oran vers  Ain El Türck ne désemplit pas. 2000 passagers sont enregistrés par jour.

En moins de deux mois à peine, les habitants de l’Oranie  ont essayé et adopté avec satisfaction la virée Oran-Ain El Turk par la mer. Le directeur régional de "Algérie ferries" d’Oran note, dans une déclaration à l’APS  une fréquence de près de 2000 passagers par jour. Un engouement particulier des estivants qui ont trouvé en cette saison un moyen de détente et de loisir particulier surtout, comme souligné par ce responsable que les prix de la balade en mer sont abordables.

Les rotations, au nombre de dix quotidiennement, s'effectuent à bord de deux bateaux d'une capacité d'accueil de 330 passagers chacun affrétés à une compagnie italienne. Arrivé à Cap Falcon dans près de 40 Mn le trajet zoom sur la corniche oranaise peut constituer aussi une véritable alternative aux désagréments que subissent à chaque saison estivale les automobilistes et les visiteurs de la capitale de l'Ouest. Le tarif a été ramené à 200 dinars, initialement prévu à 250 dinars la place pour adulte et 100 DA pour un enfant, a beaucoup joué en la faveur de l’attractivité de la mise en exploitation de cette ligne qui a toutes ses chances de faire des émules, pourquoi pas sur tout le ruban côtier.  

L’opération qui prend fin juste après l’Aid qui coïncide avec la fin des vacances, le rendez-vous est pris pour la saison prochaine.

Sources : http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/transport/la-ligne-maritime-oran-ain-el-turk-tres-prisee-29-08-2017-181634_294.php

Plages de Sidna Youchaa et Barbadjan (Ghazaouet) «Baraka» et beauté cachée


A défaut d’infrastructures touristiques, la plage reste la seule destination qui attire le plus grand nombre d’estivants à la recherche d’un moment de détente, de calme et de repos, notamment en cette période de grandes chaleurs.

Dans la wilaya de Tlemcen, la plage de Sidna Youchaa, située à environ une quinzaine de kilomètres de Ghazaouet, demeure toujours un endroit presque «familial», accessible aux petites gens, et où le tourisme spirituel séduit encore. En effet, de par ses lieux de culte et de pèlerinage, la présence sur son territoire de plusieurs sanctuaires qui abritent des tombes de saints, la plage de Sidna Youchaa offre aussi un tourisme dans lequel les aspects religieux et spirituel ont une part importante.

Située en contrebas du mont de Trara, à environ 5 km de la commune de Dar Yaghomracen, dont elle est rattachée administrativement, cette station balnéaire  fascine aussi par son authenticité et sa simplicité. Si l’on vient d’Elbor, le chef-lieu de la commune, on emprunte une route étroite et sinueuse accrochée au flanc du mont de Trara.

Ce chemin escarpé, tapissé de goudron antédiluvien, serpente à travers une forêt de pins d’Alep et un couvert végétal constitué principalement de genévriers et de romarin. L’odeur fleurie et très prononcée de ces deux  plantes aux multiples vertus vous chatouille agréablement les narines.

La plupart des usagers de cette route, même si l’envie de faire trempette dans les eaux claires et limpides de Sidna Youchaa se fait pressante, ne s’empêchent pas de s’arrêter un instant pour récolter quelques branches de ces plantes médicinales recherchées pour leur efficacité contre plusieurs maux. Si l’on vient de Dar Bentata, c’est à Aïn Bentaghla qu’on fait une escale «thérapeutique» pour s’abreuver de ses eaux curatives, ou remplir gracieusement des jerricans et bouteilles pour la durée de la cure.

Aïn Bentaghla, cette source aux vertus miraculeuses, dont la réputation a dépassé les frontières de la région, ne désemplit pas en été comme en hiver. A longueur de journée, des hommes et des femmes venues d’un peu partout font la chaîne devant cette fontaine pour s’approvisionner de cette eau aux vertus thérapeutiques avérées.

Les habitants et les consommateurs de cette eau fraîche et légère sont unanimes à vanter son pouvoir miraculeux indéniable   pour soigner les reins. Les deux chemins se rejoignent au niveau du pont Erriat et ne forment plus qu’un seul qui mène vers la plage. Quelques mètres plus bas apparaît une immense échancrure qui semble séparer la montagne en deux blocs et où baigne une belle plage de sable et de galets, de près d’un kilomètre, bordée de hautes falaises basaltiques. Là, on a l’impression que la montagne s’est retirée humblement de part et d’autre pour laisser passer la mer. Sidna Youchaa a changé ! Les assauts incessants de la mer ont laissé des traces largement visibles sur les façades délabrées des maisons qui bordent la plage.

Certaines, carrément abandonnées, travestissent malheureusement la beauté du site. L’homme aussi, de par son négligence et son insouciance, a fortement contribué à la défiguration de cette plage, autrefois magnifique. La plage de Sidna Youchaa a perdu de son charme, et la belle réputation dont elle jouissait s’est quelque peu flétrie. Aussi, la plage s’est beaucoup rétrécie et les estivants trouvent d’énormes difficultés à dénicher une petite place pour y planter leur parasol. Du côté est émerge un nouveau port de pêche de grande envergure. Sur  la plage, les cafetiers se sont emparés des meilleurs endroits, en toute impunité, pour installer des tables et des chaises  qu’ils louent aux estivants. Par ailleurs, de grands espaces sont occupés par de petites embarcations de plaisance. Face à cette situation des plus regrettables, les estivants ne manquent pas d’exprimer leur déception. Ils dénoncent fermement ces comportements déplorables et inacceptables qui ne semblent nullement déranger ceux qui ont la responsabilité de veiller sur leur bien-être et leur confort.

Ils s’accordent tous à dire que «Sidna Youchaa n’est plus Sidna Youchaa que nous avons connu autrefois». Ils désapprouvent aussi le tapage nocturne récurrent qui caractérise les nuits à Sidna Youchaa, autrefois tranquilles et paisibles. En revanche, côté spirituel, les habitudes sont restées intactes. Heureusement d’ailleurs, cette compensation permet aux estivants d’apprécier un peu leurs vacances. D’autant plus que le tourisme spirituel ne cesse de faire de nouveaux adeptes. Beaucoup de jeunes se mettent aux pratiques ancestrales, à la recherche de la baraka. Ce dévouement frénétique pour les saints se manifeste par ces visites incessantes de leur tombeau.

Peu après 18 heures, quand la température est plus clémente, les habitués de Sidna Youchaa empruntent ce petit sentier étroit creusé à flanc du cap Lalla Setti pour rejoindre le tombeau de la Sainte femme et implorer sa baraka. Cette procession de femmes, d’hommes et d’enfants, qui semble accrocher à la montagne, est un rituel qui rassemble les habitués des lieux. Le mausolée de Sidna Youchaa, le saint-patron du village, est aussi très visité. Nombreux sont ceux qui s’intéressent à l’histoire de ce saint, notamment depuis qu’une équipe de journalistes de la Télévison des Emirats arabes s’est déplacée jusqu’au village du saint pour le besoin d’une émission intitulée «Les terres des prophètes».

Les reporters émiratis ont constaté que la tombe gigantesque de presque 10 mètres de Sidna Youchaa est similaire à celle de l’autre Sidna Youchaa, enterré en Jordanie. Les familiers des lieux se rendent aussi presque quotidiennement à Barbadjani, une plage encore à l’état sauvage, à l’abri des déprédations de l’homme, car on ne peut y accéder que par mer. Là, vous pouvez profiter d’un paysage époustouflant et des odeurs fraîches de la grande bleue. La petite plage de Barbadjani se niche à l’ombre d’une grande falaise abrupte. Au pied du mastodonte, une grotte très spacieuse s’enfonce dans ses entrailles.

A l’entrée de la grotte, sur une plateforme surélevée, des tabourets en pierre disposés en cercle laissent penser qu’il y avait une grande table ovale au milieu. En s’enfonçant davantage dans la grotte, on y voit des tunnels qui descendent verticalement, probablement du sommet de la montagne, jusqu’à la grotte. Selon le P/APC de Dar Yaghomracen, ces tunnels serviraient de conduits pour transporter le marbre de Ziaten vers la plage, rapidement et sans danger. Selon toujours  Boughazi Omar, cette éventuelle table, encerclée par des tabourets en pierre, servirait de base aux tailleurs de marbre. Des indices «archéologiques» qui témoignent de l’existence très ancienne d’activités commerciales et artisanales à Barbadjani. L’endroit est auréolé par une source d’eau douce où tous les visiteurs se désaltèrent. Ici aussi, le tourisme spirituel est très présent.

Cette grotte miraculeuse, très spacieuse, creusée dans la falaise, jouit d’un pouvoir miraculeux. Les femmes qui n’ont pas eu d’enfants s’y rendent pour demander la fécondité. Elles attendent à l’intérieur de la grotte qu’une goutte d’eau suinte de la roche et tombe sur leur tête. Et, de là haut, du point saillant de la falaise, Sidi Noun, le père de Sidna Youchaa, semble veiller sur cette belle et paisible plage qui nous offre un décor presque irréel.

Sources : http://www.elwatan.com/regions/ouest/tlemcen/baraka-et-beaute-cachee-31-08-2017-351902_139.php

VIRÉE SUR LES PLAGES DE BÉJAÏA Villégiature sur fond de nostalgie


De Sahel jusqu’à Beni Ksila, At Ksila en passant par Tazeboudjt, Boulimat, Aach Lvaz, Tala Yilef, Saket, Tighremt, Oued Dess, Cap Sigli et Aït Mendil, Larbi connaît toutes les plages et criques pour y avoir nagé, pêché et campé avec des amis du quartier.

Avec la canicule qui sévit depuis son arrivée de France, Larbi n’a qu’une envie : aller à la plage et faire découvrir la côte Ouest à sa fille de 10 ans, Fifi. Il l’a appelée ainsi en mémoire de sa grand-mère maternelle, qui décédera un mois après son départ en France pour y tenter sa chance à la fin des années 1980. De Sahel jusqu’à Beni Ksila, At Ksila, en passant par Tazeboudjt, Boulimat, Aach Lvaz, Tala Yilef, Saket, Tighremt, Oued Dess, Cap Sigli et Aït Mendil, Larbi connaît toutes les plages et criques pour y avoir nagé, pêché et campé avec des amis du quartier. Il faut dire qu’il avait fait toute la côte Ouest à pied en poussant jusqu’à Azeffoun avec son ami d’enfance, Méziane, qui va arriver, lui, du Québec dans 48 heures. Les deux compères avaient tout préparé depuis les fêtes de fin d’année où ils s’étaient retrouvés à Malaga en Espagne. Larbi, qui a des origines andalouses, a voulu faire découvrir l’Andalousie à son ami d’enfance et plus particulièrement à sa fille, qui commence à poser des questions et à s’intéresser à l’histoire de la famille ; son aïeul, cadi, juge et jurisconsulte, avait été appelé par Nacer Ibn Hamad pour y exercer cette fonction et y enseigner à l’université de Béjaïa durant son règne, le règne des Hammadites s’entend. Un souverain issu de la dynastie hammadite, qui règna sur le Maghreb central (Algérie) de 1062 à 1088. Pour Méziane, c’est aussi humer l’air méditerranéen et profiter d’un peu de soleil ; au Québec, sa ville d’adoption, le froid est glacial. Bien qu’il vienne de France, de Grenoble plus précisément, Larbi fuyait aussi le froid qui y sévissait en cette période de l’année. Leur projet : sillonner à nouveau la côte ouest de Bougie de leur enfance après avoir visité, dix jours durant, toute l’Andalousie et ses principales villes, Cordoue, la Province de Grenade mais cette fois-ci, non pas avec des sacs à dos comme ils l’avaient fait dans leur jeunesse, mais en voiture. Et avec les épouses et leurs deux enfants ; Méziane a un garçon, Jugurtha.

Un été chaud et humide
Larbi, qui doit attendre encore l’arrivée de son ami, a eu le temps de prendre la température. Il en a profité pour rendre visite à la famille et fait en sorte de ne pas être pris de court les derniers jours. Mais devant la canicule, qui sévit, accentuée par une série d’incendies, il ne sait plus quoi faire. Tout le monde semble logé à la même enseigne. Son oncle, âgé de 83 ans, lui a assuré qu’il n’avait jamais connu un été aussi chaud et aussi humide. “Prendre sa douche, ne sert strictement à rien puisque de toutes les façons, nous allons transpirer comme des b…” Le Grenoblois a décidé d’emmener sa fille aux Aiguades, histoire de lui faire découvrir la plage où il avait appris à nager avec les copains du quartier. Vers 15h30, il prend sa voiture. Mais il s’est vite rendu compte qu’il aurait fallu venir à l’aube. Sur la route des Oliviers d’où il est arrivé, le va-et-vient des voitures est incessant. Il constatera aussi qu’il n’est pas le seul émigré à prendre sa voiture, une Renault Espace. Les véhicules immatriculés en France ont été particulièrement nombreux cet été. Et on y vient de toutes les wilayas du pays quoique le gros des estivants ait choisi, semble-t-il, Jijel. En arrivant aux Aiguades, Larbi a renoncé à descendre à la plage tellement elle grouillait de monde. Impossible de se frayer une place. Ils se sont désaltérés en buvant l’eau fraîche des fontaines avant de rebrousser chemin. La mer, ce sera un autre jour.
Et en compagnie de Méziane, dira en kabyle le paternel à sa petite fille. Les deux amis d’enfance se sont fixé rendez-vous. À 8h30, le véhicule de Larbi stationne devant la maison parentale du Québécois. Ils avaient convenu d’abord de n’emmener que les enfants. Histoire de faire face à tous les imprévus. Mais ils se sont ravisés à la dernière minute. Sur la route, le trafic est des plus denses. Les véhicules légers y côtoient tout au long de la RN24 des camions de gros tonnage. “Il faut s’armer de patience les enfants ; on risque de passer un peu de temps sur la route”, dira Larbi aux occupants de l’arrière, qui avaient les yeux braqués sur leurs tablettes.

Les collines gagnées par le béton
Et à mesure qu’avance le véhicule après avoir entamé la descente après l’embranchement menant vers le village Iazouyen, le décor ne laisse pas indifférents les deux jeunes enfants ; les femmes constataient le changement à vue d’œil. Ils découvrent de très jolies montagnes même si le béton grignote sur la verdure. Mais plus le véhicule avance, plus le décor est amoché ; des montagnes et des collines sont “dénudées” de part et d’autre de la route par des explosifs, utilisés par les deux carrières d’agrégats pour venir à bout de roches résistantes. Coup de massue : une décharge publique – la fameuse décharge dite de Boulimat ­­— où sont brûlées les ordures ménagères de la ville. Et tout au long de la route, des deux côtés de la chaussée, des ordures et des bouteilles d’alcool vides. Larbi et Méziane se demandent si c’est une bonne idée d’avoir fait venir les enfants. Les adultes encaissent mieux. En arrivant aux environs de Sahel, ils tournent à droite pour descendre vers la plage de Galets. Ils ont vu pousser des maisons et des blocs de béton. En voyant les collines dégarnies, les deux “touristes” comprennent qu’une nouvelle ville est en train de naître sous leurs yeux. Ils décident d’aller à Tazeboudjt quoiqu’ils appréhendent de trouver le même décor là-bas aussi. Les constructions du versant de droite rejoignent celles de Sahel. En reprenant la RN24, ils décident d’aller directement à la plage de Boulimat.
La mer est belle, d’un bleu, qui tranche avec la côte Est. En face, apparaît l’Île aux Pisans. Ils s’arrêtent pour la contempler et la photographier. Larbi a assuré aux enfants que lorsqu’il était adolescent il avait réussi, avec ses camarades du quartier, à l’atteindre à la nage. Mais le retour ils l’ont fait en barque, confiera-t-il. “Les deux hommes à bord nous ont épargné de faire le retour à la nage. Il faut dire que nous étions exténués.” En descendant jusqu’à la plage, Méziane, qui n’est pas revenu au pays depuis 25 ans, n’en croyait pas ses yeux. Le béton est partout. La plage a été réduite à sa plus simple expression. Ils décident de poursuivre leur périple. Et de faire une halte à Saket. Ils passent par Lâch Lvaz et Tala Yilef. Les touristes découvrent le nouveau port de pêche. “On s’y arrêtera au retour, a promis Larbi aux enfants. Cela vaut le détour.” Après s’être arrêtés à Saket pour prendre des rafraîchissements, ils ont décidé de rejoindre Tighremt. Sur place, ils décideront dans quelle plage ils iront se baigner.

Quelques havres de paix
Mais aussi bien à Tighremt qu’à Timridjine – un peu plus loin — les plages sont noires de monde. “C’est le week-end, forcément il y a plus de monde”, dira Larbi. Finalement, c’est à Oued Dess que les six vacanciers ont planté leurs deux parasols. Ils ont hésité à s’arrêter un peu avant à la plage de Tardemt. Sur place, plusieurs familles sont essaimées sur la grande plage. C’est après plus de deux heures de route, ponctuées par des arrêts, que les quatre touristes piqueront une tête. Les enfants sont aux anges. La beauté du site. Hormis les baraques en bois où on y vend un peu de tout l’endroit est plus ou moins épargné par le béton. Mais jusqu’à quand ? Sur les hauteurs, on voit le village de Souk el-Djemaa. Larbi a promis de les emmener un autre jour. Et de visiter, dans la foulée, Cap Sigli, Aït-Mendil, At Ksila jusqu’à Azeffoun en passant par Aït-Chaffaa, Oulkhou où est enterré le journaliste Tahar Djaout. Occasion pour les deux amis de raconter à leur progéniture leur “expédition” à la fin des années 1980 lorsqu’ils avaient fait, à pied, toute la côte ouest jusqu’à la plage des Caroubiers à Azeffoun. “On avait des sacs à dos. La première nuit, on l’a passée ici même, à Oued Dess. On avait trouvé des copains, qui campaient. On a passé la soirée avec eux ; ils nous avaient invités à dîner. Le lendemain, vers 7 heures, nous avons repris notre marche. Lorsqu’il faisait chaud, nous nous arrêtions ; nous allions nager et en fin d’après-midi, nous poursuivions notre marche. Notre deuxième nuit, nous l’avons passée à Beni Ksila. Nous avons eu de la chance car nous avons rencontré des connaissances qui ont mis à notre disposition une tente. Nous étions leurs hôtes de la soirée.” À entendre leurs parents, les enfants considéraient leurs parents comme des stars avant d’émigrer tellement ils semblaient connaître de gens dans ce qui était alors un no man’s land. “Non pas du tout”, a rétorqué Méziane. “Nous avons eu de la chance de trouver des amis et des connaissances durant nos premières escales. À Aït-Chaffaâ, nous ne connaissions personne. Mais le soir, nous nous sommes mêlés aux campeurs ; nous avons dîné avec eux. Nous avons pris des photos. Idem au Petit Paradis, une jolie plage à découvrir. En ce temps-là, il y avait l’esprit de partage.” Et Larbi d’ajouter : “Nous nous étions fait des amis à Azeffoun. Nous avons eu droit aussi à une tente d’autant que ce jour-là, il y a eu un orage.”

Sources ; http://www.liberte-algerie.com/actualite/villegiature-sur-fond-de-nostalgie-276073

Le corps d’un jeune de 23 ans repêché à Azeffoun (Tizi Ouzou)


Le corps d’un jeune âgé de 23 ans, disparu en mer depuis lundi dernier à Azeffoun (60 kilomètres à l’est de Tizi Ouzou), a été repêché hier par les plongeurs de la Protection civile. La victime est originaire de la commune de Souamaâ, à une trentaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou. Les recherches engagées par les services de la Protection civile, avec notamment l’intervention des plongeurs de l’unité marine de Tigzirt, ont permis de retrouver le corps de la victime hier vers 9h45. La dépouille a été évacuée à l’hôpital d’Azeffoun, souligne un communiqué des pompiers. Il s’agit de la deuxième victime noyée en mer dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis le début de la saison estivale. Un homme de 38 ans s’était noyé le 15 juillet dernier à la plage non autorisée à la baignade de Tala N’Tikit dans la commune d’Aït Chafaâ, à 70 kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya.  

Sources : http://www.elwatan.com/actualite/le-corps-d-un-jeune-de-23-ans-repeche-a-azeffoun-tizi-ouzou-24-08-2017-351484_109.php

ALORS QUE L’ON A ENREGISTRÉ UN AUTRE CAS DE NOYADE À MAKOUDA La Protection civile n’a toujours pas retrouvé le corps d’un noyé à Azeffoun


Après la noyade d’un jeune citoyen survenue, avant-hier vers 15 h à la plage du Caroubier à Azeffoun, des plongeurs de l’unité marine de la Protection civile basée à Tigzirt se sont aussitôt rendus sur les lieux du drame mais toutes les recherches effectuées durant ces deux derniers jours n’ont pas permis de retrouver le corps de la victime et jusqu’à hier soir, les recherches étaient toujours en cours pour tenter de retrouver le cadavre de la malheureuse victime. Par ailleurs, l’on a enregistré un autre cas de noyade hier dans un retenue collinaire située dans la commune de Makouda où le corps inanimé d’un jeune citoyen de la région a été repêché par les plongeurs de la Protection civile de l’unité de Tizi Ouzou.

Sources : http://www.liberte-algerie.com/actualite/la-protection-civile-na-toujours-pas-retrouve-le-corps-dun-noye-a-azeffoun-275992

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