Sauvetage de onze émigrants clandestins à Ain Temouchent (MDN)


ALGER- Onze (11) émigrants clandestins dont une  famille, composée de la mère et de ses deux enfants, ont été sauvés mardi  par des unités des Garde-côtes relevant de la façade maritime Ouest, suite  au chavirage de leur embarcation dans la willaya d'Ain Temouchent, indique  mercredi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.

"Dans le cadre de la lutte contre l'émigration clandestine, une unité des  Garde-côtes relevant de la Façade maritime Ouest (2e Région militaire) a  réussi, hier 30 mai 2017, une opération de sauvetage de onze (11) émigrants  clandestins, dont une famille composée de la mère et de ses deux enfants, suite au chavirage de leur embarcation de construction artisanale à 4 miles  nautiques au Nord-Ouest de Beni-Saf, wilaya de Ain Temouchent", précise la  même source.

Sources ; http://www.aps.dz/algerie/58405-sauvetage-de-onze-emigrants-clandestins-a-ain-temouchent-mdn

Skikda : Ouverture de 22 plages à la baignade


Près de 22 plages sont autorisées à la baignade dans la wilaya de Skikda, au titre de la saison estivale 2017, a-t-on appris en marge de la cérémonie d’ouverture officielle de la saison estivale.

Toutes les commodités en matière de sécurité, propreté et loisirs devant assurer bien-être et détente aux estivants ont été mobilisés, a-t-on précisé rappelant que la wilaya de Skikda avait accueilli la saison dernière six millions d’estivants. Le coup d’envoi de cette saison estivale a été donné depuis la plage pilote de Oued El Ksab, dans la commune de Flifla, située à l’est du chef-lieu de wilaya, en présence du chef de l’exécutif local, Mohamed Hadjar.

Pour cette saison estivale, 26 infrastructures hôtelières, totalisant plus de 2300 lits, proposent leurs services aux estivants de l’antique Rusicade, a-t-on détaillé au cours de cette cérémonie d’ouverture. Pour la saison estivale 2017, une vaste opération de réaménagement des plages a été enclenchée par les communes concernées, en collaboration avec les entreprises publiques spécialisées, a-t-on souligné, précisant que l’action s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale d’intégration des collectivités locales dans la dynamique du développement que connaît le secteur du tourisme.

Pour la sécurité des estivants, six postes de police, neuf autres de la Gendarmerie nationale, ainsi que 36 centres de la Protection civile seront mobilisés tout au long de la saison estivale. Pas moins de 1500 enfants et jeunes représentant 40 établissements relevant du secteur de la jeunesse et des sports (DJS) ont animé le traditionnel défilé annonçant l’ouverture de la saison estivale à Skikda.

Sources ; http://www.elwatan.com/regions/est/skikda/skikda-ouverture-de-22-plages-a-la-baignade-30-05-2017-346241_128.php

Après l’abandon de trois bateaux en Grèce Quatre navires de la CNAN vendus aux enchères en Malaisie


Après la vente du Blida, dans des conditions troublantes, et l’abandon en Pirée (Grèce) de Djbel Onk, Djbel Rafaa, Djbel Ksel,  voilà que quatre autres navires, le Nedroma, le Nmemcha, le Aïn Témouchent et El Hadjar, sont vendus aux enchères, en Malaisie.

Cette flotte avait été immobilisée par le groupe Pharaon, actionnaire à hauteur de 51% du capitale de IBC, une filiale de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), propriétaire des huit navires…

C’est à la suite d’un long contentieux que les autorités judiciaires malaisiennes ont fini par débouter la partie algérienne, représentée par le groupe Cnan. Comment en est-on arrivé à cette situation ? Tout a commencé avec l’arrivée, en 2007, de Ghaith Rashed Pharaon, un homme d’affaires saoudien, qui, grâce à ses connaissances assez bien placées, obtient 51% du capital de IBC (International Bulk Carriers), filiale du groupe Cnan, en contrepartie d’une promesse d’investissement de 50 millions de dollars dans le renouvellement de la flotte et son développement. Une fois les contrats signés, Pharaon prend possession des 8 navires composant la flotte de IBC, pour seulement 9 millions de dollars et met 5 millions de dollars sur les comptes de cette filiale, considérés comme un prêt remboursable sur une période de 5 ans, avec les revenus de l’affrètement de la flotte.

Deux ans plus tard, il cède l’exploitation de ces navires à la société Leadarrow, créée aux îles Caïmans par deux cadres de sa société CTI Group, avec un capital de 1000 dollars. L’exploitation devient de plus en plus coûteuse pour la trésorerie du groupe Cnan, contraint de payer les factures suspicieuses de réparation dans les chantiers roumains et grecs, pour uniquement le Nmemcha, le Blida et le Nedroma. De 3 millions de dollars, les factures atteignent 17 millions de dollars, alors que les 5 navires restants rapportent à Pharaon plusieurs dizaines de millions de dollars. Au milieu de l’année 2009,  alors que le montant payé par la compagnie avait déjà atteint 4 millions de dollars, l’ex-présidente-directrice générale du groupe Cnan exige des factures détaillées avant tout virement au profit de Leadarrow, mais CTI Group refuse, suscitant le blocage des paiements. Leadarrow dépose plainte auprès du tribunal maritime à Londres, et la bataille juridique dure plus de 16 mois, à l’issue desquels Cnan Group obtient gain de cause.

CNAN group n’avait pas à payer les réparations. Débouté, Pharaon saisit alors la Chambre internationale de commerce de Paris. Sa décision fait tache d’huile dans le milieu de l’arbitrage et Pharaon accapare trois navires. Cnan Group interjette appel, mais, toute la flotte qui lui a été confiée est prise en otage. S’appuyant sur cette décision, Pharaon va immédiatement saisir les navires Djbel Onk, Djbel Rafaa et Djbel Ksel, appartenant à IBC et amarrés en Pirée (en Grèce), par une décision de justice, non encore définitive. Au mois d’avril 2013, CTI demande au tribunal du Pirée d’ordonner leur saisie, de leur interdire d’appareiller et d’interdire tout changement de leur statut.

Au mois de novembre 2013, le tribunal du Pirée a ordonné la saisie conservatoire des trois navires et, en février 2014, il  a ordonné la suspension de la reconnaissance et de l’exécution de la sentence arbitrale CCI jusqu’à ce que la Cour d’appel de Paris rende sa décision sur le recours en annulation de cette sentence, tout en maintenant la saisie conservatoire des navires, qui sont depuis des mois en situation d’abandon. Pendant ce temps, Le Blida est déclaré en totale déperdition sans en aviser Cnan Group, pour empocher auprès des assurances plus de 4 millions de dollars et les quatre autres navires, Nmemcha, Aïn Témouchent, Nedroma et El Hadjar, sont désarmés et immobilisés en Asie par CTI Group. Il saisit le tribunal pour vendre la flotte et récupérer les 7 millions de dollars, plus les intérêts. Le tribunal ordonne l’interdiction d’appareiller et après une longue procédure judiciaire, la Cour fédérale malaisienne a décidé de débouter la partie algérienne, en autorisant la vente et le paiement des créanciers et de la société portuaire qui assurait le gardiennage des navires. La décision est définitive. C’était au mois de septembre 2016.

Le 1er février de l’année en cours, la Cour de cassation a annulé la décision du tribunal d’arbitrage et renvoyé l’affaire devant la même cour, autrement composée, pour être jugée de nouveau, alors qu’en Malaisie, les autorités judiciaires confirmaient la vente des quatre navires abandonnés dans leurs eaux territoriales. Très mauvaise expérience, le partenariat entre IBC, filiale du groupe Cnan, et CTI-Pharaon a causé de graves préjudices financiers au groupe Cnan, qui assiste impuissant à la déperdition de sa flotte maritime. Aujourd’hui, le décès de  Ghaith Rashed Pharaon ne fera que compliquer la situation, d’autant qu’à ce jour ni ses héritiers ni ceux de son associé dans CTI, un homme d’affaires jordanien également décédé, ne se sont présentés…

Sources ; http://www.elwatan.com/actualite/quatre-navires-de-la-cnan-vendus-aux-encheres-en-malaisie-31-05-2017-346291_109.php

TRAVERSÉE DE LA BAIE D'ALGER EN NAGE AVEC PALMES


Dans le cadre des festivités de la fête d'indépendance nationale, la FASSAS organise la Traversée de la Baie d'Alger en Nage Avec Palmes le samedi 15 juillet 2017.

La distance à parcourir est de 16 km. Chaque ligue pourra aligner 4 nageurs (si possible 2 garçons et 2 filles) et chaque "Corps Constitué" pourra participer avec 4 nageurs également.

La compétition sera ouverte à d'autres participants à condition qu'ils prennent en charge leur embarcation de sécurité et le barreur. Le départ se fera à partir du club Espadon.

Pour toute question, écrire à : sg.fassas@gmail.com

A VOS PALMES !

Sources : https://www.facebook.com/fassasofficiel/

PROTECTION CIVILE DE AÏN DEFLA Vaste opération de sensibilisation contre les noyades et les feux de forêt


Dans le but de faire face aux noyades dans les barrages et les retenues d’eau, et aussi contre les feux de forêt, phénomènes qui surgissent particulièrement durant chaque période estivale, la direction de la Protection civile de Aïn Defla organise, depuis la semaine dernière, une vaste opération de sensibilisation dans plusieurs communes de la wilaya. Selon des sources de cette institution, “la campagne en question concerne l’ensemble des secteurs dont la Conservation des forêts, les ressources en eau, le tourisme, la jeunesse et des sports, l’Office des établissements de jeunesse, l’éducation nationale et les services agricoles. Des sorties sur le terrain sont quotidiennement organisées en faveur des citoyens, dont des jeunes qui relèvent des secteurs que nous venons de citer, vers des lieux publics, et aussi vers les barrages de Sidi M’hamed-Bentayba dans la commune d’Aribe et celui de Ghrib à Oued Chorfa. Des explications, des conseils et des orientations concernant la manière de se comporter en cette période de chaleurs dans les forêts et devant les barrages et les retenues d’eau afin d’éviter le danger des noyades et les déclarations de feux de forêt sont fournis par des cadres de l’institution aux groupes de personnes qui nous accompagnent lors de ces sorties. Au moyen de cette campagne, nous voulons éviter des pertes humaines et des dégâts que nous avions subis durant les années précédentes chaque fois que l’été arrive”. Soulignons enfin que cette campagne de sensibilisation se poursuivra jusqu’à demain.

Sources :  http://www.liberte-algerie.com/centre/vaste-operation-de-sensibilisation-contre-les-noyades-et-les-feux-de-foret-270235

La plage de Mers El-Hadjadj fermée à la baignade


Mers El-Hadjadj, commune balnéaire à l’est d’Oran, reste fortement pénalisée, puisque la commission de wilaya du tourisme a encore confirmé son retrait des listes des plages autorisées à la baignade. Fermée depuis deux saisons, la décision serait motivée par les rejets compacts des déchets produits suite à “l’osmose inverse”, un procédé de la station de dessalement d’eau de mer, situé à Mers El-Hadjadj. Ce site touristique est brutalement agressé, depuis des années, sans qu’aucune voix ne s’indigne pour trouver une solution appropriée. L’interaction qui existe entre l’activité industrielle et l'environnement côtier doit impliquer un aménagement rationnel et respectueux, à même de concilier les domaines économiques et écologiques. Notons que la plage de Mers El-Hadjadj, qui réunit tous les contrastes et paysages reflétant la beauté naturelle du site, attirait des millions d’estivants chaque année.

Sources ; http://www.liberte-algerie.com/ouest/la-plage-de-mers-el-hadjadj-fermee-a-la-baignade-269594

Saison estivale: mobilisation de plus de 1600 agents saisonniers au niveau des plages d'Alger


ALGER- Plus de 1600 agents saisonniers seront mobilisés  pour veiller à la propreté et la surveillance des plages de la capitale  durant la saison estivale 2017, a-t-on appris mardi du wali d'Alger,  Abdelkader Zoukh.

"Outre 800 agents de la protection civile, 1650 agents saisonniers seront  mobilisés pour la propreté et la surveillance des plages  de la capitale  durant la saison estivale 2017 ", a annoncé M. Zoukh en supervisant les  préparatifs de la saison estivale 2017 au niveau de la plage Sidi Fredj  dans la commune de Staouéli.

Réitérant que accès aux plages de la capitale "sera toujours gratuit", le  wali d'Alger a fait état de l'aménagement de 14 parkings   d'une capacité  de 12000 véhicules.

De son côté, le coordinateur du programme des préparatifs de la  saison estivale 2017 au niveau de la Wilaya d'Alger, Soualmia Abderrahmane  a précise que 65 plages sont autorisées à la baignade dont 14 surveillées  24/24h et 7/7j par 465 agents, soulignant à ce propos que 22 plages sont  équipées de l'éclairage nocturne pour permettre aux estivants de profiter  des plages la nuit.

 Le même responsable a annoncé en outre la mise en place de 4 espaces de  jeux au niveau des plages de Sidi Fredj, El Bahdja et El Djamila ainsi que  des jeux aquatiques au niveau de la Sabelette, Sidi Fredj et El Djamila et  des espaces de services dont 90 douches.

Sources : http://www.aps.dz/regions/58100-saison-estivale-mobilisation-de-plus-de-1600-agents-saisonniers-au-niveau-des-plages-d-alger

La Corne d'Or renaît de ses cendres


Les complexes touristiques notamment ceux du secteur public n'arrivent pas encore à se placer par rapport aux choix des touristes nationaux ou internationaux.

 C'est en effet le cas de La Corne D'or de Tipaza, dont la moitié des bungalows est fermée depuis plus de 4 ans. Ce manque d’activité conjugué aux opérations de rénovation a fait perdre au complexe et au secteur du tourisme énormément d'argent. Mais avec l'arrivée de la nouvelle directrice de La Corne d'Or, il y a moins de 5 mois, la donne commence à changer. D'ailleurs, un programme très ambitieux a été mis en place et qui sera appliqué des ce mois de Ramadhan. 

La Directrice du complexe, Rofaida Maabout, rencontrée lors du Salon international du tourisme et des voyages (SITEV), a détaillé son programme. Elle a en effet, axé sur l'aspect culturel, qui selon elle, peut être très bénéfique pour attirer les touristes. Elle vise l'exploitation de ce que l'Algérie a en termes de potentialités touristiques, et mettre en parallèle des offres meilleurs que celles de nos voisins. «Notre objectif est de viser une clientèle internationale. Nous allons proposer des formules, des promotions, ainsi que des circuits selon les saisons et les événements culturels tout autour de notre site», a-t-elle dit.

« A mon arrivée au complexe, j'ai trouvé une soixantaine de bungalows sur une centaine, 3 restaurants sur 4, un théâtre de verdure fermés. Mais j'ai rouvert les 3 restaurants et le théâtre de verdure dans un délai très court.», a-t-elle dit et d'ajouter que son objectif est de diversifier la clientèle de La Corne d'Or, notamment celle venant de l'étranger.

Au niveau de ce complexe touristique public, la clientèle ne manque pas durant toute l'année, mais ce sont les mêmes clients qui viennent, souligne Mlle. Rofaida qui dira «lorsque nous améliorons les services nous attirons une autre clientèle très exigeante ce qui nous pousse à perfectionner davantage nos service et augmenter en parallèle nos tarifs».

Concernant le programme de cette saison, la directrice de La Corne D'or  prépare un projet ambitieux très vaste qui englobera tout territoire national et le départ sera de la ville de Tipaza. «Ma mission porte sur la réhabilitation, la rénovation et la modernisation du complexe, dont plus de la moitié des bungalows est en travaux depuis plus de 4 ans». Durant le mois de ramadhan, souligne notre interlocutrice, nous prévoyons un programme ftour et beaucoup d’activités cultuelles.

Sources : http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/tourisme/la-corne-d-or-renait-de-ses-cendres-24-05-2017-180874_359.php

Baisse du nombre de navires accueillis au Port d'Alger au 1er trimestre 2017


Le Port d'Alger a accueilli un nombre total de 500 navires au premier trimestre de 2017 contre 546 durant la même période de 2016, une baisse de l'ordre de 8,42%, apprend-on auprès de l'Entreprise du Port d'Alger (Epal).

Le mouvement de la navigation au cours du 1er trimestre 2017 a montré une prédominance des porte-conteneurs avec un nombre de 270 navires, soit 58% du nombre total des navires opérants, suivis des tankers à hydrocarbures qui ont affiché une proportion de 15%.

Par ailleurs, il est constaté que les marchandises débarquées (composées surtout des importations) ont représenté 83% du trafic total, en baisse de 1,7% par rapport aux trois premiers mois de 2016. Ceci s'explique essentiellement par un recul du volume des minéraux, des matériaux de construction et de produits pétroliers débarqués. Concernant les marchandises embarquées, elles ont marqué une hausse de 11,6%, en totalisant un volume de 512,5 tonnes.

Quant au transport maritime des voyageurs, il a été enregistré un transit, par la gare maritime du port d'Alger, de 27.444 passagers au 1er trimestre de l'année en cours contre 18.573 passagers à la même période de 2016, une hausse de près de 48%. Les véhicules accompagnés des passagers ont également affiché une forte augmentation en passant à 17.980 véhicules contre 11.752 véhicules, en rebond de 53% entre les deux périodes comparaison.

Baisse des séjours des navires en rade

Sur le plan de rendement portuaire, la durée d'attente moyenne des navires en rade au Port d'Alger s'est rétrécie en passant de 2,01 jours au 1er trimestre 2016 à 1,56 jours à la même période de 2017. Les navires qui ont enregistré le moins de séjours en rade sont les cargos (moyenne de 0,5 jour ), les porte-conteneurs de l'Entreprise du Port d'Alger (0,84 jour), les cimentiers (0,93 jour), les huiliers (1,43 jour), les porte-conteneurs de Dubai DPW (1,54 jour) et les bitumiers (1,7 jour).

Par contre, les plus longs séjours ont été marqués par les céréaliers (moyenne de 6 jours), les navires transportant les fers et tubes (4,4 jours), les butaniers (3,8 jours) et les pétroliers (2,9 jours). Pour ce qui concerne le séjour moyen des navires à quai, il a légèrement reculé en passant de 3,92 jours au 1er trimestre de 2016 à 3,51 jours au même trimestre de l'année en cours.

Les séjours à quai les plus courts ont été connus par les car-ferries (moyenne de 0,6 jour) et les huiliers (0,95 jour) et les porte-conteneurs de l'Entreprise du Port d'Alger (2,9 jours), alors que les navires qui ont séjourné à quai avec des durées longues sont essentiellement les navires transportant les verres et tubes (16 jours), les céréaliers (8,7 jours), les butaniers (5 jours), les porte-conteneurs de Dubai DPW (4,2 jours) et les navires de transport de bétail (3,9 jours).

APS

Rencontre sur le pescatourisme à Jijel Une activité d’appoint qui intéresse les pêcheurs


Une journée régionale d’information sur le pescatourisme (pêche touristique) a été organisée, hier, par la direction de la pêche, de l’aquaculture et des ressources halieutiques (DPARH) à la salle des conférences du Centre culturel islamique de Jijel, en présence du wali, du P/APW, du DG de la Chambre nationale de la pêche et de l’aquaculture, ainsi que du DG de la société d’assurances Le Mutualiste, filiale de la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA).

La rencontre, qui a rassemblé des professionnels de la pêche et des représentants du secteur des wilayas côtières de l’Est algérien, a été une occasion pour revenir sur les contours de cette activité d’appoint pour les pêcheurs soumis à diverses contraintes. Le wali de Jijel, Larbi Merzoug, affirmera attendre «l’adhésion des patrons pêcheurs du moment que les textes réglementaires sont là» en faisant référence au décret exécutif 16-203 du 25 juillet 2016, fixant les conditions et les modalités d’exercice des activités de transport maritime urbain et de plaisance maritime.

Pour Fouad Guenatri, cadre à la DG de la pêche et de l’aquaculture au ministère, «la production mondiale a atteint ses limites, notamment en mer Méditerranée», précisant que la production nationale fluctue autour de 120 000 tonnes pour des besoins se situant autour de 200 000 tonnes, d’où les projets d’aquaculture marine et d’eau douce pour combler ce déficit.

Il annoncera qu’un texte relatif à l’installation de récifs artificiels de restauration de la ressource et de protection de sites maritimes d’intérêts halieutique, attendu depuis des années, est en cours d’adoption. Ce qui permettra de lutter contre la pêche illicite. Il indiquera que le pescatourisme, qui consiste à embarquer des passagers à bord de navires armés et équipés pour la pêche, n’est pas une reconversion, mais une diversification des activités à même de constituer une amélioration du revenu des pêcheurs, en diminuant l’effort de pêche.

La directrice de la DPARH, Nadia Ramdane-Fetoussi, est revenue sur l’historique de cette activité de pescatourisme, de l’Italie en 1992 à la France, avant d’intéresser le Parc national de Taza au début de cette décennie, en faisant de Jijel le siège du projet pilote en Algérie.

Un impact social

Pr Saïd-Chawki Chakour de l’université de Jijel s’est penché sur l’impact social du pescatourisme. L’historien Sofiane Abdelatif, de l’université de Guelma, a planché quant à lui, sur l’approche entre la pêche, l’homme et la terre, en esquissant un aperçu historique de la relation des gens de la région avec la mer depuis les temps reculés, notamment à Chabae (Ziama Mansouria), Igilgili (Jijel) ou encore Toncha près de Oued Z’hor.

La rencontre a vu la signature d’une convention entre la société d’assurance Le Mutualiste et la Chambre de la pêche et de l’aquaculture de la wilaya de Jijel pour développer les assurances complémentaires auprès des pêcheurs. Pour les pêcheurs présents, avec qui nous avons discuté, certains problèmes plombent leur activité.

A ce propos, Amar Boudergui, patron pêcheur, nous parlera de la pression de la banque pour le remboursement des crédits dans une conjoncture difficile caractérisée par une raréfaction de la ressource, la cherté du carburant, contrairement aux autres pays où ce produit est subventionné pour la pêche.

Notre interlocuteur estime que la banque doit octroyer un différé de remboursement du crédit lors de la période de repos biologique qui dure 4 mois et durant laquelle les bateaux restent à quai. Plus encore, il estime que le repos respecté par les chalutiers, ne l’est pas par les pêcheurs aux trémails, qui, ajoutera-t-il, détruisent la ressource en phase de reconstitution.  Une constatation vérifiable sur toute la côte jijelienne parsemée tout au long de l’année de filets près du rivage, qui font que le pêcheur occasionnel à la ligne ne trouve plus que quelques poissons accrochés à quelques hameçons.     

Sources :   http://www.elwatan.com/regions/est/jijel/une-activite-d-appoint-qui-interesse-les-pecheurs-25-05-2017-345923_130.php

Crash d’un hélicoptère à Tipaza : trois officiers tués


Tois militaires sont décédés, dimanche soir, dans le crash d’un hélicoptère appartenant à la marine algérienne, a annoncé le ministère de la Défense nationale dans un communiqué publié dans la nuit de dimanche à lundi.

« Lors d’une patrouille de nuit sur l’axe Blida-Tipaza, un hélicoptère de sauvetage relevant des forces navales a fait l’objet d’un crash, ce dimanche à 21h40, après avoir percuté des lignes électriques de haute tension aux environs de la commune de Hamr El Aïn, dans la wilaya de Tipaza, causant le décès des membres de son équipage, composé de trois officiers », précise le MDN.

Sources ; https://www.tsa-algerie.com/crash-dun-helicoptere-a-tipaza-trois-officiers-tues/

SKIKDA : Deux enfants âgés de 11 et 12 ans meurent noyés


Deux enfants, A. N. et A. A., âgés respectivement de 11 et 12 ans, habitant à la cité Allaoua-Taghane, dite Barrot, sont morts noyés à la plage Ben M’hidi, jeudi dernier, à Skikda. Un troisième enfant qui les accompagnait a été sauvé, quant à lui, in extremis par des citoyens qui étaient sur place. Selon des témoignages, le premier enfant a été emporté par une mer qui était agitée ce jour-là. Le deuxième s’est noyé en essayant de porter secours à son ami. Les deux enfants, bien que repêchés par les éléments de la Protection civile, décéderont une fois arrivés à la polyclinique de la ville de Filfila.

Sources : http://www.liberte-algerie.com/actualite/deux-enfants-ages-de-11-et-12-ans-meurent-noyes-269783

1ere manche du championnat régional de la ligue d'Alger de la Pêche Sportive en Apnée


À bord d’un navire militaire à Jijel Balade en mer pour des enfants aux besoins spécifiques


Le remorqueur des hautes mers,  El Moussaned, à bord duquel ils ont pris place, a d’abord viré en direction de Djen Djen, avant d’effectuer un tour vers la baie ouest de la ville, pour ensuite retrouver son bassin d’accostage.

Une trentaine d’enfants handicapés mentaux du centre psychopédagogique des 40 hectares et de l’annexe pour enfants autistes de la ville de Jijel ont été conviés à une balade en mer, à l’initiative du commandement des forces navales de la Façade maritime Est relevant de la 5e région militaire, jeudi dernier. Accompagnés de leurs encadreurs et des officiers de la base navale, ces enfants ont pu profiter de moments agréables durant cette promenade de plaisance.

Le remorqueur des hautes mers, El Moussaned, à bord duquel ils ont pris place a d’abord viré, à sa sortie du port, en direction de Djen Djen, avant d’effectuer un tour vers la baie ouest de la ville de Jijel pour ensuite retrouver son bassin d’accostage. Avant cette sortie, des tee-shirts et des casquettes à l’effigie de la Marine nationale ont été offerts à ces enfants par le général Maâlaoui Salah, commandant de la Façade maritime, lors d’une réception qui leur a été offerte.

Selon une déclaration remise à la presse, cette initiative s’inscrit dans le cadre de «la politique de communication et de solidarité du haut commandement de l’ANP, qui a permis à ces enfants de monter à bord d’un navire militaire et d’effectuer une promenade de plaisance dans les côtes de Jijel».

Saluant pour sa part cette initiative, un responsable du centre psychopédagogique a fait part de son bonheur de voir ces enfants profiter de cette balade «dans un cadre convivial, grâce, a-t-il loué, au précieux concours des forces navales». Dajlil, Hani, Hicham, Djamel, ainsi que tous les autres enfants qui étaient de la partie dans cette agréable sortie, ont, à leur tour, manifesté toute leur joie de se retrouver en mer à bord de ce bateau.

Le remorqueur El Moussaned est l’une des trois unités flottantes du même type, acquises par les forces navales auprès de la Norvège, qui constituent la flotte de ces navires des Façades maritimes de Mers El Kébir et Jijel. Sa mission principale est le sauvetage et l’assistance en haute mer pour des interventions de secours et de lutte contre la pollution.     

Sources ; http://www.elwatan.com/regions/est/jijel/balade-en-mer-pour-des-enfants-aux-besoins-specifiques-13-05-2017-345069_130.php

Concours National de Pêche Sportive Wilaya de Jijel


ÉCHOUAGE D'UNE BALEINE A BORDJ EL KIFFANE


Préparation de la saison estivale Les directives du wali de Tipasa ignorées


La bureaucratie s’érige en maître des lieux.

Le 26 décembre dernier, le chef de l’exécutif de la wilaya de Tipasa avait instruit les chefs de daïra des communes côtières afin qu’ils prennent leurs dispositions pour une meilleure gestion de leurs patrimoines respectifs, notamment la location des campings, des plages, des parkings, conformément aux cahiers de charges.

Le Directeur de l’administration locale (DAL) de la wilaya avait été saisi, pour suivre l’opération. Ce travail devait être terminé le 31 mars 2017. Alors que la saison estivale approche à grands pas, les directeurs concernés affichent une étrange ignorance des directives du wali, sachant qu’elles vont dans le sens des orientations du ministre de l’Intérieur et donc du gouvernement.

La bureaucratie s’érige en maître des lieux. Un échange de courrier incompréhensible est effectué entre la daïra et l’APC de Tipasa, d’une part, et d’autre part, entre la daïra de Tipasa et les directions de l’administration locale et la direction du tourisme. Le cahier des charges est enrichi par la daïra de Tipasa et la délibération établie par l’APC avait été approuvée, afin de mettre en adjudication dans la transparence les patrimoines concernés.

La direction des Domaines de la wilaya avait saisi l’APC de Tipasa pour lui préciser les estimations financières. Incroyablement, en raison des connivences et moult complicités, la DAL et la direction du tourisme entravent la procédure engagée, pour mettre le wali devant le fait accompli, en autorisant, comme l’année passée, l’exploitation des campings de l’APC de Tipasa par des personnes qui encaissent de l’argent sans payer aucun sou.

L’inspection du département ministériel de Nourredine Bedoui avait en effet confirmé le scandale, mais aucune suite n’a été donnée à la défaillance. La directrice du tourisme, en poste depuis plus de 16 années, fait fi de toutes les réglementations au détriment de l’intérêt public. Les exploitants des campings de l’APC de Tipasa, bénéficiant du parrainage de certains responsables de la wilaya, gardent l’espoir d’encaisser encore des sous, bien que leur contrat de location ait expiré depuis des mois.

L’impuissance de l’administration est qualifiée de «très grave». Le diktat de l’argent continue à imposer sa loi dans ce territoire très convoité. La touche de l’ex-wali de Tipasa et ex-ministre des Travaux publics, pourtant déchu de ses fonctions par le président de la République en 2016, fait toujours son effet à Tipasa, grâce à la présence de ses «sbires» incrustés dans les rouages de l’administration de la wilaya, ce qui explique la difficulté d’exécuter les directives du wali dans le cadre des lois de la République.

Sources : http://www.elwatan.com/regions/centre/tipaza/les-directives-du-wali-de-tipasa-ignorees-10-05-2017-344897_149.php

LE FORT DE CHERCHELL : 5 SIECLES D(HISTOIRE


2 morts à l’unité ERENAV de Bejaia suite à un feu accidentel

Deux travailleurs de l’Entreprise de réparation  navale de Bejaia ont trouvé la mort, mercredi en fin de matinée, après avoir été grièvement brûlés dans un incendie survenu sur un bateau admis en réparation dans le dock de l’entreprise, à l’intérieur du port, apprend-on auprès de la direction générale de l’EPB.

Les deux victimes, âgées respectivement de 29 et 30 ans, cousins de leur  état et originaires de la localité d’Ilamatene, s’affairaient à faire de la  peinture dans un ballast, du navire Soummam, relevant de la marine  nationale. Elles ont été surprises par le déclenchement d’un feu  conséquemment à un cours circuit survenu dans la structure, alors occupée par cinq ouvriers. 

L’accident a été précipité, a-t-on précisé, lors d’un contact d’une  baladeuse électrique, utilisée pour l’éclairage des lieux, avec l’eau.

La première victime est décédée sur place, la seconde, a rendu l’âme, pour sa part, lors de son transfert à l’hôpital. Quant aux autres ouvriers, ils s’en sont sortis indemnes, a-t-on précisé.

Le navire Soummam était en arrêt technique annuel pour y subir un toilettage général, a-t-on indiqué.  

Sources : http://www.radioalgerie.dz/news/fr/article/20170510/111673.html 


Erenav : le plan de développement impacté par la crise


La crise financière que subit le pays, a affecté directement le plan de développement de l'Entreprise de réparation maritime (ERENAV) qui a vu le montant réservé à son équipement divisé par deux. 

L'État qui a consacré plus de 2 milliards de dollars en 2012 pour le développement de l'Erenav a été contraint de diviser ce montant par deux, après la crise économique que subit le pays ces dernières années. Toutefois, les autorités sont de revoir leurs copies et commencent à débloquer les fonds nécessaires pour la réalisation d'un ambitieux plan qui permet à la société de répondre à une demande du parc naval national. Selon les explications qui nous ont été fournies par le sous-directeur du commercial et marketing de cette entreprise, Mohamed Salah Tabti, la société est en phase de réaliser des études pour la lancé de ce plan.

En effet, selon notre interlocuteur le blocage de de ce montant a commencé depuis la grève de 2013, à Bejaia et qui a induit la baisse de l'activité de l'entreprise, voire même accuser un déficit à cette époque. Juste, après, le pays est confronté à des difficultés financières, ce qui a impliqué la revue à la baisse de l’enveloppe financière réservé à son développement. Mais vu que plusieurs navires sont contraints de faire appel à des chantiers étrangers pour leur maintenance, induisant ainsi des sorties de devises conséquentes, les autorités ont décidé de débloquer les montants nécessaires pour réaliser ce plan de développement et permettre à l'Enerav d'arracher sa part du marché qui ne dépasse pas actuellement les 20%.

De ce fait, la société a repris son activité et instauré une stratégie pour la réalisation de son plan de développement. Un plan qui se focalise sur l'acquisition d'un dock flottant de 8000 tonnes pour le chantier d'Alger et un autre de 2000 tonnes pour le chantier d'Oran, ajoutant à cela la modernisation de ses cales de halage.  Erenav s'est penchée aussi sur la construction navale en procédant l'année dernière à la signature d'un partenariat avec le groupe portugais West Sea pour la réalisation d'un chantier naval de construction de différents types de bateaux de 25 à 180 mètres.

En effet, avec l'élargissement que connait la flotte nationale le besoin de maintenance et réparation augmentera sûrement, d'où l'importance du développement de cette entreprise afin de prendre en charge une demande ascendante venant des clients nationaux ou internationaux. Car avec tout le potentiel existant actuellement, il est de l'intérêt des responsables de ce secteur de s'occuper de cette entreprise unique en Algérie qui a non seulement la possibilité d'éviter une saignée de la devise mais de décrocher des marchés extérieurs. D'ailleurs, rien qu'avec les moyens actuels l'Erenav est arrivée à réaliser un chiffre d'affaires "de plus de 2 milliards de dinars en 2016, avec une augmentation de 8% par rapport à 2015", souligne M. Tabti.

Sources :  http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/transport/erenav-le-plan-de-developpement-impacte-par-la-crise-09-05-2017-180735_294.php

Mostaganem reliée à Barcelone à partir de juin


La ligne maritime reliant Mostaganem à Barcelone sera officiellement opérationnelle au mois de juin prochain selon des sources de l’entreprise nationale de transport maritime des voyageurs (ENTMV). 

En effet, trois rotations en partance du port de Mostaganem sont programmées. Additivement à la ligne Mostaganem - Valence, opérationnelle depuis la dernière saison estivale,  au cours du mois de juin prochain, Alicante sera également relié à Mostaganem à travers une traversée durant le mois de juin qui évoluera, nous fait-on savoir, en une navette hebdomadaire au cours du mois de juillet.

Ce programme a été concocté, selon nos sources, pour atténuer la charge sur les ports d’Oran et de Ghazaouet qui enregistrent des pics de fréquentations insupportables.

La ligne Mostaganem - Barcelone sera maintenue en activité durant toute la saison estivale jusqu’au 10 septembre prochain, ajoutera notre interlocuteur, pour justement permettre à nos compatriotes émigrés de regagner leurs pays d’accueil dans les meilleures conditions possibles.

Sources : http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/transport/mostaganem-reliee-a-barcelone-a-partir-de-juin-09-05-2017-180732_294.php

25 millions DA pour les plages d'Oran


La direction du tourisme d’Oran a lancé, en prévision de la saison estivale, un programme d’aménagement de 22 plages de la corniche Ouest. 

Il s'agit notamment les plages de Cap Falcon, Bouiseville, El Mordjane et Bomo. Pour la corniche Est, sont concernée le Cap Carbon (Arzew), La Marina  et El Mactâa (Mers El Hadjadj).

Une enveloppe financière de 25 millions de dinars a été débloquée pour aménager les plages à soumettre à l’exploitation dans le cadre de la concession par voie d’adjudication.  Pour rappel, neuf espace ont été cédés au cours de la saison estivale passée dans le cadre de la concession pour des périodes allant jusqu’à cinq ans et d’autres plages pour des périodes d’une année d’exploitation seulement. Dans le même contexte, l’on saura que le parc hôtelier de la wilaya d’Oran sera renforcé par la réception de pas moins de 79 établissements totalisant 7 000 lits à l’horizon 2018. Au cours de l’année 2016, le même parc s’est renforcé de 10 projets touristiques d’une capacité d’accueil de 791 lits susceptibles, nous fait-on savoir, de créer 563 emplois.

Il est utile de rappeler à ce propos que les Jeux Méditerranéens de 2021 accaparent l’attention des autorités locales particulièrement pour booster la concrétisation des projets du village et du Complexe Olympique, du secteur du transport et celui des travaux publics dont le lancement de plusieurs projets à l’instar de l’autoroute portuaire, les projets d’échangeurs, la route maritime Oran - Ain El Türck, le projet de modernisation du téléphérique et les extensions des lignes du tramway au niveau de Hai Yasmine vers le pôle universitaire de Belgaid et l’aéroport international Ahmed Ben Bella…

REGATE INTERNATIONALE AGADIR


Membres