La capacité d’accueil du port de Béni-Saf va être de nouveau augmentée en vue d’abriter un plus grand nombre d’embarcations.
Si lors de la première opération, il s’est agi d’un aménagement du plan
d’eau par la création à l’intérieur de celui-ci de nouveaux
appontements, cette fois-ci, il est question d’une extension par le
prolongement de la jetée nord du port d’environ 470 m. La passe d’entrée
va être en conséquence déportée d’autant vers l’est, ce qui permettra
la création d’un deuxième bassin de 3 ha, le premier étant de 4 ha. Dans
le second bassin, il est prévu d’ériger une estacade ainsi et des
cormores pour l’amarrrage. Ainsi, la capacité du port va être portée de
270 à 370 embarcations selon le directeur de wilaya de la pêche. Quant
au terre-plein, il va être agrandi de 7 ha.
Par ailleurs, pour empêcher l’ensablement de la future passe, l’étude de réalisation prévoit la création d’un épi de 45 m de long. Ce dernier érigé perpendiculairement à la jetée bloquerait le sable venant d’ouest, charrié par la houle depuis l’embouchure de la Tafna à quelques kilomètres de là. Cependant, en 2007, après la réception des travaux, et bien que la longueur des quais avait été triplée, passant de 489 m/l à 1 483 m/l, ce qui a porté la capacité d’accueil du port de 60 à 270 unités, le port s’était rapidement trouvé saturé. Ce constat avait été établi en 2012 alors que le nombre des embarcations était inférieur à la capacité théorique d’accueil, cela, en raison de l’anarchie en matière d’accostage et d’amarrage.
Une première analyse de l’état des lieux avait également mis en évidence que nombre d’embarcations qui occupaient le plan d’eau étaient des …épaves ! Cela expliquait après coup pourquoi, malgré le nombre important de bateaux recensés, les quantités pêchées diminuaient. L’assainissement de la situation avait sensiblement amélioré la gestion du plan d’eau. Néanmoins, ce qui faisait aussi défaut consistait dans l’absence d’un plan d’accostage et d’amarrage, ce qui est en cours d’être résolu, un bureau d’étude spécialisé ayant été engagé pour en établir un.
Par ailleurs, pour empêcher l’ensablement de la future passe, l’étude de réalisation prévoit la création d’un épi de 45 m de long. Ce dernier érigé perpendiculairement à la jetée bloquerait le sable venant d’ouest, charrié par la houle depuis l’embouchure de la Tafna à quelques kilomètres de là. Cependant, en 2007, après la réception des travaux, et bien que la longueur des quais avait été triplée, passant de 489 m/l à 1 483 m/l, ce qui a porté la capacité d’accueil du port de 60 à 270 unités, le port s’était rapidement trouvé saturé. Ce constat avait été établi en 2012 alors que le nombre des embarcations était inférieur à la capacité théorique d’accueil, cela, en raison de l’anarchie en matière d’accostage et d’amarrage.
Une première analyse de l’état des lieux avait également mis en évidence que nombre d’embarcations qui occupaient le plan d’eau étaient des …épaves ! Cela expliquait après coup pourquoi, malgré le nombre important de bateaux recensés, les quantités pêchées diminuaient. L’assainissement de la situation avait sensiblement amélioré la gestion du plan d’eau. Néanmoins, ce qui faisait aussi défaut consistait dans l’absence d’un plan d’accostage et d’amarrage, ce qui est en cours d’être résolu, un bureau d’étude spécialisé ayant été engagé pour en établir un.