Béni Ksila : il offrira 720 postes d’emploi : Le port de pêche et de plaisance livré en 2015
La wilaya de Béjaïa s’offre un deuxième port de pêche et de plaisance, après la réalisation d’un projet de même type dans la localité de Tala Guilef, non loin de Boulimat. Cette nouvelle infrastructure portuaire, dédiée à l’activité halieutique et touristique, prend forme à Béni Ksila, une station balnéaire située à une cinquantaine de Kms à l’Ouest du chef-lieu de wilaya. Lancé depuis le denier trimestre de l’année 2011, les travaux de ce projet structurant avancent à cadence soutenue, nous apprend un responsable de la direction des travaux publics (DTP), l’organisme en charge de son management. «En dépit de quelques anicroches, nous sommes bien partis pour livrer l’infrastructure dans les délais impartis», assure un représentant du maître d’œuvre. Une société mixte, composée de deux entreprises spécialisées, à savoir Meditram et Sotramest, est engagée dans la réalisation de ce projet. «Une autorisation de programme de l’ordre de 3 milliards de dinars a été dégagée dans le cadre du programme de soutien à la relance économique, pour prendre en charge le coût des travaux», nous confie une source proche du maître de l’ouvrage. La maîtrise d’œuvre relative à l’étude de ce projet est, quant à elle, confiée au laboratoire d’études maritimes, basé à Alger, nous indique-t-on. Un responsable de la DTP nous informera, par ailleurs, que les entreprises réalisatrices disposent d’un délai de 3 années pour livrer le projet. Ce nouveau port disposera d’un terre-plein étalé sur une superficie de 4,8 hectares. On y projette l’édification d’un ensemble super structurel, comprenant notamment des chambres froides, des cases pêcheurs et une cale de halage. Pour protéger les installations de la houle, deux jetées seront érigées sur les deux flancs du port. Le mouillage de la flottille se fera au moyen de deux appontements munis de 80 postes d’accostages, dont 60 petits métiers et 20 sardiniers, nous apprend-on encore. L’impact économique et social de ce projet est loin d’être négligeable, à se fier aux responsables du secteur. Ces derniers tablent sur la création de 240 emplois directs et 480 postes de travail indirects. Mais ce n’est pas tout, puisqu’on compte, à travers l’exploitation de ce port, redynamiser le secteur touristique et booster la production halieutique qui oscille, bon an, mal an, autour de 3000 tonnes.
N. Maouche
PROJET DE RECONSTRUCTION DU CHEBEC, NAVIRE DES RAÏS ALGERIENS
Un modèle du navire utilisé par les corsaires
Algériens, jusqu’au début de la colonisation de l’Algérie, va être reconstruit
à l’identique, a annoncé l’architecte et chef du département des collections au
musée national de la Marine.
Le « Chebec Boubrek », l'un des voiliers
à bord duquel le raïs Hamidou, en particulier, sillonna la Méditerranée
pour faire la chasse aux flottes occidentales, « représente un patrimoine
marin prestigieux denotant l'originalité de notre passé » a déclaré,
à Mostaganem, Tiar Manel Djazia, lors d'un Colloque organisé à
Mostaganem sur le patrimoine culturel marin de l'Algérie.
Elle a indiqué que ce projet sera concrétisé par le
ministère de la Culture en collaboration avec le ministère de la Pêche et des
ressources halieutiques.
Ce navire, long de 17 mètres et doté de huit canons,
dont il ne subsiste plus qu'un modèle exposé dans un musée océanographique du
Maryland, aux Etats-Unis, va, une fois reconstruit, se rendre dans plusieurs
ports du pays pour y faire connaitre aux visiteurs sa contribution dans les
batailles menées par les marins Algériens durant la présence Ottomane au nord
de l'Algérie.
Lors du colloque, Mme Cherkaoui Radia, du même musée
national, a appelé à réhabiliter certains sites et vestiges marins
témoins de la grande histoire de la marine Algérienne, parmi lesquels figurent
notamment Bab el Bahr, Bordj Ettork et le port de la ville de Mostaganem.
Attaché au musée national, Talis Fatima a de son coté
mis l'accent sur l'importance du patrimoine marin dans l'écriture de
l'histoire en s'appuyant sur des qacidate relatant « La bataille
de Mazagran » et et « l'histoire de Cherchell » de
Sidi Lakhdar Benkhelouf, décrivant avec minutie ces deux batailles livrées par
les marins Algériens aux Espagnols.
سيكون الجمهور العريض على موعد بمدينة بومرداس مع أكبر تمرين استعراضي للقوات البحرية الجزائرية التابعة للجيش الوطني الشعبي، المتمثل في تمرين انقاذ سفينة تعرضت لخطر بعرض البحر، وذلك بتسخير كافة الوسائل المتاحة للقوات البحرية من وحدات عائمة وطائرات مروحية (حوّامات) التي تأتي بالموازاة مع احتفالية الذكرى الـستون لإندلاع الثورة التحريرية المجيدة، والذي يؤكد جاهزية وحدات القوات البحرية للتدخل في كافة الظروف.
وذلك يوم الأربعاء 29 أكتوبر 2014 في حدود الساعة العاشرة صباحا (10:00سا) بالواجهة البحرية المقايلة لحديقة النصر بحي 800 مسكن ببومرداس
وذلك يوم الأربعاء 29 أكتوبر 2014 في حدود الساعة العاشرة صباحا (10:00سا) بالواجهة البحرية المقايلة لحديقة النصر بحي 800 مسكن ببومرداس
Association PECHE Sportive Tlemcen : concours peche sportive Eau-Douce 17.10.2014.
à l'occasion de la journée nationale sur l'émigration du 17.10.2014 qui a coïncider avec la journée mondiale de la nutrition qu'on a l'habitude de célébré parte...naires D.J.S./O.D.E.J./A.N.B.T /Direction Barrage BENI-BAHDAL/ A.P.C.BENI-BAHDAL /Maison de jeune BENI-BAHDAL . Équipe (TLEMCEN CENTRE/ COMMUNE SIDI M'DJAHED / COMMUNE BENI-BAHDAL.
NOS REMERCIEMENTS A TOUS NOS PARTENAIRES AUSSI A LA BRIGADE DE LA GENDARMERIE DE BENI-BAHDAL POUR SA COOPÉRATION AMICALEMENT (A.P.S.T.) .Y.T
NOS REMERCIEMENTS A TOUS NOS PARTENAIRES AUSSI A LA BRIGADE DE LA GENDARMERIE DE BENI-BAHDAL POUR SA COOPÉRATION AMICALEMENT (A.P.S.T.) .Y.T
Abdelouahab Rahim à la pose de la première pierre du projet Marina Bay
L’Algérie participe à l’industrie de la plaisance et du tourisme
C’est en présence de M. Abdelkader Zoukh, wali d’Alger, et M. Abdelouahab Rahim, président de Dahli et de l’Union nationale des investisseurs, qu’a été posée, hier, la première pierre de la Marina Bay d’Alger
Par Badiâa Amarni
C’est en présence de M. Abdelkader Zoukh, wali d’Alger, et M. Abdelouahab Rahim,
président de Dahli et de l’Union nationale des investisseurs, qu’a été posée, hier, la première pierre de la Marina Bay d’Alger, l’une des pièces maîtresses qui couronnent la première phase d’Alger Medina.
«Cette Marina apportera une ouverture et marquera la participation d’Alger à l’industrie florissante de la plaisance et du tourisme maritime en Méditerranée», explique
M. Abdelouahab Rahim, Président-directeur général de Dahli, ajoutant que Marina Bay d’Alger permettra, à terme, la création de
400 emplois directs et plusieurs centaines d’emplois indirects en favorisant l’émergence de nouveaux métiers et de nouvelles disciplines sportives et culturelles.
D’un montant de 7 milliards de dinars, ce projet d’une capacité d’accueil de 700 bateaux de 12 à 180 mètres, se composera d’une gare maritime qui desservira Alger, la Grande Mosquée d’Alger et la Foire, d’un atelier de maintenance, d’un bâtiment de services (magasins, restaurants…) d’une surface de 36 000 mètres carrés et d’un yacht Club. Il est également prévu l’aménagement d’une plage pour pouvoir se prélasser au soleil et profiter de la grande bleue, été comme hiver.
La durée de réalisation de ce projet, tant attendu, est de 36 mois. Il permettra ainsi aux familles de la capitale et de tout le pays de profiter de très bons moments de détente et de loisirs.
À l’issue de la visite guidée à travers le projet Marina, Ardis, l’Aquaparc et, plus tard, au chantier des travaux d’aménagement de la rive droite de l’embouchure de Oued El Harrach pris en charge par la wilaya d’Alger, le P-dg de Dahli nous a déclaré que c’est là «le couronnement de la première phase d’Alger Medina composée du centre commercial, de la Marina en plus des deux tours de bureaux, du flat hôtel et de l’ensemble qui reste». Selon lui, «les choses sont en train de se mettre en place et on voit le projet avancer. Ce qui était une théorie à la base est devenu une réalité aujourd’hui». Il nous confie même : «Nous avons mis beaucoup de temps c’est vrai car ce n’est pas facile de réaliser un tel projet, et les difficultés ce n’est pas ce qui manque.» Mais ajoutera-t-il, «quand on s’attache viscéralement à quelque chose on arrive à le faire parce qu’en fait ce n’est pas des projets qu’on fait pour nous, mais pour les populations, c’est la responsabilité vis-à-vis des autres qui nous pousse à poursuivre. Notre plaisir c’est de voir la satisfaction des gens qui sont contents, et le sourire des uns et des autres».
Interrogé sur les difficultés qui accompagnent la réalisation d’un tel projet, M. Rahim Abdelouahab dira que la plus grosse contrainte rencontrée c’est au niveau de l’administration. Il citera pour exemple ce projet de la Marina, pour lequel il a attendu 12 ans pour avoir le permis de construction. Qu’à cela ne tienne, les travaux sont lancés depuis hier, jour de la pose de la première pierre. Le P-dg de Dahli explique que ce projet «se complète avec le merveilleux travail qui se fait sur la baie d’Alger».
Aujourd’hui, Alger Medina n’est plus un rêve puisque l’hypermarché Ardis est déjà fonctionnel, de même que l’Aquaparc. Le tour est aujourd’hui venu de réaliser cet autre important projet la Marina Bay d’Alger, en plus des deux tours business et du flat hôtel dont la réception se fera au premier trimestre 2016. Un projet qui va doucement, mais sûrement.
C’est en présence de M. Abdelkader Zoukh, wali d’Alger, et M. Abdelouahab Rahim,
président de Dahli et de l’Union nationale des investisseurs, qu’a été posée, hier, la première pierre de la Marina Bay d’Alger, l’une des pièces maîtresses qui couronnent la première phase d’Alger Medina.
«Cette Marina apportera une ouverture et marquera la participation d’Alger à l’industrie florissante de la plaisance et du tourisme maritime en Méditerranée», explique
M. Abdelouahab Rahim, Président-directeur général de Dahli, ajoutant que Marina Bay d’Alger permettra, à terme, la création de
400 emplois directs et plusieurs centaines d’emplois indirects en favorisant l’émergence de nouveaux métiers et de nouvelles disciplines sportives et culturelles.
D’un montant de 7 milliards de dinars, ce projet d’une capacité d’accueil de 700 bateaux de 12 à 180 mètres, se composera d’une gare maritime qui desservira Alger, la Grande Mosquée d’Alger et la Foire, d’un atelier de maintenance, d’un bâtiment de services (magasins, restaurants…) d’une surface de 36 000 mètres carrés et d’un yacht Club. Il est également prévu l’aménagement d’une plage pour pouvoir se prélasser au soleil et profiter de la grande bleue, été comme hiver.
La durée de réalisation de ce projet, tant attendu, est de 36 mois. Il permettra ainsi aux familles de la capitale et de tout le pays de profiter de très bons moments de détente et de loisirs.
À l’issue de la visite guidée à travers le projet Marina, Ardis, l’Aquaparc et, plus tard, au chantier des travaux d’aménagement de la rive droite de l’embouchure de Oued El Harrach pris en charge par la wilaya d’Alger, le P-dg de Dahli nous a déclaré que c’est là «le couronnement de la première phase d’Alger Medina composée du centre commercial, de la Marina en plus des deux tours de bureaux, du flat hôtel et de l’ensemble qui reste». Selon lui, «les choses sont en train de se mettre en place et on voit le projet avancer. Ce qui était une théorie à la base est devenu une réalité aujourd’hui». Il nous confie même : «Nous avons mis beaucoup de temps c’est vrai car ce n’est pas facile de réaliser un tel projet, et les difficultés ce n’est pas ce qui manque.» Mais ajoutera-t-il, «quand on s’attache viscéralement à quelque chose on arrive à le faire parce qu’en fait ce n’est pas des projets qu’on fait pour nous, mais pour les populations, c’est la responsabilité vis-à-vis des autres qui nous pousse à poursuivre. Notre plaisir c’est de voir la satisfaction des gens qui sont contents, et le sourire des uns et des autres».
Interrogé sur les difficultés qui accompagnent la réalisation d’un tel projet, M. Rahim Abdelouahab dira que la plus grosse contrainte rencontrée c’est au niveau de l’administration. Il citera pour exemple ce projet de la Marina, pour lequel il a attendu 12 ans pour avoir le permis de construction. Qu’à cela ne tienne, les travaux sont lancés depuis hier, jour de la pose de la première pierre. Le P-dg de Dahli explique que ce projet «se complète avec le merveilleux travail qui se fait sur la baie d’Alger».
Aujourd’hui, Alger Medina n’est plus un rêve puisque l’hypermarché Ardis est déjà fonctionnel, de même que l’Aquaparc. Le tour est aujourd’hui venu de réaliser cet autre important projet la Marina Bay d’Alger, en plus des deux tours business et du flat hôtel dont la réception se fera au premier trimestre 2016. Un projet qui va doucement, mais sûrement.
Sources :
Association Ecologique Marine Barbarous :
Comptage du 10 et 11 octobre derniers à l'ile plane effectuée par l'association Barbarous. Ce comptage a pour but l'évaluation... en bio-masse de cette dernière pour un éventuel classement. Soulignons que cette opération est une première à l'échelle nationale.
Tara Expéditions.
J-1 avant le départ de Tara en direction d'#Alger pour continuer
les #études #scientifiques sur la #pollution #plastique en #mer.
Ne manquez aucun #évènement : http://oceans.taraexpeditions.org/m/agenda/evenements-a-venir/
Ne manquez aucun #évènement : http://oceans.taraexpeditions.org/m/agenda/evenements-a-venir/
Alerte aux requins dites-vous!
Lors
de cet été 2014 plusieurs squales ont été aperçus sur les côtes
algériennes. Relayées par les facebookeurs algériens, les images ont
fait le tour du web suscitant curiosité et interrogations. Pour en
savoir plus sur plus
sur ce phénomène, la Rédaction Web de Liberté a contacté le docteur
Emir Berkane, responsable du pôle aquatique du laboratoire de recherche
de l’EcoSTAQ spécialisé en écologie des systèmes terrestres et
aquatiques. « Je citerai le petit requin griset d’Alger, en août, le
requin mako, à Oran, en Juillet, le requin pèlerin de 08 mètres à
Ghazaouet au printemps, un second Pèlerin en mars et un le plus
sensationnel d’entre tous, la vidéo d’un « probable » requin blanc
d’environs 06 mètres à Ghazaouet, dont la vidéo circule sur YouTube », a-t-il indiqué a propos des espèces qui rodent sur nos côtes.
Reste à savoir pourquoi ces squales ont été aperçus à proximité des côtes ? Notre spécialiste affirme que toutes
ces espèces sont endémiques à l’Algérie, soit qu’elles vivent sur les
côtes algériennes toute l’année et de façon naturelle. Il n’y a donc pas
invasion !
Ces
requins sont-ils dangereux ? Le responsable du pôle aquatique est
catégorique « Non, aucune attaque de requin n’a été rapportée en Algérie
à ma connaissance. Evidemment vous me direz et le requin blanc ?
D’abord le blanc a été observé très rarement en Algérie contrairement à
la Tunisie où il possède l’un de ses sites de reproduction entre le Cap
Bon (nord- est de la Tunisie, ndlr)
et la Sardaigne ainsi qu’entre les iles Kerkennah (archipel tunisien
situé à une vingtaine de kilmètres de la ville de Sfax, ndlr) et l’ile
de Lampeduse (Italie). Reste que c’est un animal qui jouit d’une
mauvaise réputation, surfaite, notamment à cause du film de Speilberg
« Les dents de la mer » ».
Pour
soutenir ses affirmations, le Dr Emir Berkane s’est appuyé sur la thèse
du Dr Hmida de l’université d’Alger « la plupart des requins sont
représentés en méditerranée, nous citerons pour l’Algérie , du plus
petit au plus grand : la
petite et la grande roussette, l’aiguillat, le chien de mer, la mako,
le renard, le requin gris, le griset, le requin taupe, le requin bleu,
le requin marteau, le requin blanc et le requin pèlerin, ajoutez à cela
bien évidemment toutes les espèces de raies qui appartiennent à la
même famille de cartilagineux, de la torpille à la manta en passant par
la pastenague ».
Les
eaux algériennes abritent donc plusieurs espèces de requins vivant en
profondeur et chassant au coucher du soleil et à l’aube. « Le fait que
certains spécimens s’échouent ou se retrouvent dans les filets est
simplement dû à l’impact humain sur la faune marine : la diminution du
poisson pélagique, les filets de pêche, la pollution, ingestion de sacs
plastiques…etc », affirme le docteur. Et d’ajouter que les nouvelles
technologies ont contribué à faire circuler l’information, et ce grâce à
internet et surtout à Facebook, "il y a toujours eu des échouages mais
l’information n’arrivait pas aussi vite qu’aujourd’hui où tout le monde,
ou presque, est muni d’un téléphone portable et d’une connexion 3G ou
EDGE ».
Toutefois,
on en sait peu sur la vie des requins en mers algériennes. C’est
pourquoi, le laboratoire EcoSTAq de Annaba, dont Emir Berkane est
responsable du pôle aquatique, a invité Francois Sarano, ancien plongeur
en chef de l’équipe Cousteau, et auteur du documentaire « les blancs de
méditerranée » en février 2015, pour animer une conférence, en plus de
la projection de son film. Une
série de plongées est au programme également, pour marquer le lancement
du projet de recherche sur les squales de la cote de Annaba à Skikda,
que le Dr Emir Berkane va piloter.
Sources : http://www.liberte-algerie.com/actualite/alerte-aux-requins-dites-vous-227863
Mission SOMBA
Dans le cadre d’une collaboration
scientifique entre l’Ecole Nationale Supérieure algérienne des Sciences
de la Mer et de l’Aménagement du Littoral (ENSSMAL), les organismes du
Réseau Algérien des Sciences de la Mer et le Centre National français de
la Recherche Scientifique (CNRS) a été lancée une campagne de travaux
de recherches scientifiques marines à bord du navire océanographique
Téthys II, pour l’étude et le suivi de l’écosystème marin dans le Bassin
Algérien.
Dans le cadre du projet commun SOMBA (Système d’Observation à la Mer
du Bassin Algérien), la campagne océanographique SOMBA-GE2014, du 16
août au 9 septembre, réunit des scientifiques et des étudiants algériens
de l’ENSSMAL mais aussi des étudiants et des scientifiques français,
espagnols et italiens. Les deux laboratoires de l’ENSSMAL, le LOCEAN
(France), l’IMEDEA (Espagne) et l’OGS (Italie) assureront ensemble les
travaux, depuis l’acquisition des données jusqu’à leur exploitation par
des publications scientifiques ou en vue d’expertises pour des
organismes de gestion du milieu marin.
Ce projet, le premier de ce type depuis plusieurs décennies, répond
au besoin de développement et de coordination des observations marines
récurrentes en Méditerranée pour la recherche fondamentale sur les
écosystèmes marins mais aussi pour les acteurs économiques qui peuvent y
trouver des applications opérationnelles. Il illustre l’excellence de
la coopération franco-algérienne dans le domaine de la recherche
scientifique et le rôle moteur de nos deux pays dans le développement de
la recherche océanographique en Méditerranée.
publié le 02/09/2014
Sources : http://www.ambafrance-dz.org/Mission-SOMBA
1er festival aquatique de bejaia 22et 23 aout 2014
sous le slogan "LA MER ET NOTRE MERE protégeons la " s'est déroulé un festival qui se veut avant toute chose
écologique ,avec des jeux ,animations et beaucoup de sensibilisation sur
le danger qui guette notre chère méditerranée ,une ambiance magnifique
sous un soleil dorée et une mer bleu azur;ARDH tiens a remercié l'EGPP ,
la direction de la péche,l'EPB et la radio soummam pour leurs omni
présence pour la sensibilisation et unis pour le chagements de
comportement merci aussi à nos amis les scouts (marins) mekki bacha ,
le groupe de kung fu LES TIGRES DE SALDAE de bejaia nos amis de
BOUGIMAGE et tout ceux qui n'ont pas ménagés d'efforts pour la réussite
de ce 1er éco- festival ...sans nature pas de futur...
Sources :https://www.facebook.com/media/set/?set=a.729999470368778.1073741948.258043830897680&type=1
En apnée : Exploration du littoral algérien
Georges Pernaud a délégué son équipe pour explorer et faire
découvrir des gisements du littoral algérien à ses téléspectateurs.
L’équipe de France 3 avait débarqué le 2 juin dernier
et compte quitter notre pays à la fin du mois en cours. Journalistes,
techniciens et cameramen de cette équipe de France 3 étaient contraints
de marquer une pause durant tout le mois de Ramadhan.
Alger, Sidi Fredj, Béjaïa, Oran, Mostaganem, Annaba, Bouharoun, Tipasa, telles étaient les escales inscrites sur la feuille de route de Georges
Pernaud. L’émission «Thalassa», qui sera sans aucun doute diffusée au mois de décembre 2014, permettra d’abord aux téléspectateurs de découvrir les paysages paradisiaques de tout le littoral algérien à partir du ciel, et ensuite toutes les richesses traditionnelles, architecturales, culinaires, les loisirs des estivants algériens qui caractérisent le quotidien des Algériens durant la saison estivale.
La vie en mer et la préservation de l’environnement de la côte algérienne demeurent toujours présentes dans les sujets de «Thalassa» sur l’Algérie. Pour faciliter le travail à l’équipe et faire bénéficier les téléspectateurs des fabuleuses vues imprenables des paysages côtiers algériens, le ministère algérien de la Défense nationale avait mis à la disposition de l’équipe de Georges Pernaud un hélicoptère pour balayer ces paysages grâce à un équipement technologique sophistiqué embarqué dans l’hélicoptère.
Dès que l’équipe met les pieds à terre, l’équipe de «Thalassa» s’engage dans les «artères» pour donner son coup de projecteurs sur l’histoire, les traditions de la région, sur les efforts des marins pêcheurs algériens, y compris cette jeune femme oranaise qui avait bénéficié du soutien de l’Ansej pour acquérir une embarcation et qui continue à pêcher l’espadon, ou ce chef de Annaba, Bouteba Abdelkrim, qui avait préparé un couscous au mérou.
L’équipe de «Thalassa» a immortalisé l’arrivée des familles émigrées au port de Béjaïa. Elle a assisté à une soirée musicale populaire (châabi, ndlr) au domicile de la famille Bouhired à La Casbah d’Alger. Au port de Bouharoun (Tipasa), l’équipe a filmé l’entrée des navires de pêche et la vente aux enchères du poisson qui se déroule à quai. Chaque commerçant propose son prix en murmurant à l’oreille du mandataire. L’équipe de «Thalassa» (Alexis Marrant, Guillaume Pitron, Laurent Longlois) accompagnée du guide fixeur Bouanani Nordine, a jeté l’ancre lundi dernier au niveau du port du complexe touristique La Corne d’Or de Tipasa, pour assister à un examen de passage en plongée sous-marine de P1 à P2.
Cet examen est dirigé par la «sirène des mers», Mme Balistrou Samia. Un groupe composé de 6 filles et 6 garçons enveloppés dans leurs tenues de plongée écoutaient religieusement les dernières consignes de leur «tata», afin d’éviter les accidents au fond de l’eau. Tous les gestes et mouvements des jeunes plongeurs ainsi que l’ambiance qui régnait au sein du groupe avant de se jeter à la mer étaient enregistrés par l’équipe de «Thalassa». Ruot Gerard Aïssa, un soldat français cobaye des essais nucléaires français dans le Sud algérien encore en vie, en sa qualité de représentant de SOS- KDI en Algérie, est resté sur le qui-vive pour soutenir ses enfants.
Le centre SOS Village d’enfants de Draria (Alger) héberge dans son établissement 202 enfants et 404 autres sont pris en charge par SOS-Kinderdorf dans leurs familles biologiques. «Thalassa» offrira une mosaïque de paysages jamais vus par les Algériens, pourvue de toutes les couleurs et les diverses richesses.
Des potentialités à explorer et à exploiter à l’avenir. Ce sera le cadeau de fin d’année de «Thalassa» pour l’Algérie. Les autorités du pays, le MDN et les artistes acteurs ont contribué grandement à la réussite de ce produit de Georges Pernaud. La Méditerranée demeure le berceau des civilisations et un havre de paix qui devra inexorablement un jour réunir ses habitants.
Alger, Sidi Fredj, Béjaïa, Oran, Mostaganem, Annaba, Bouharoun, Tipasa, telles étaient les escales inscrites sur la feuille de route de Georges
Pernaud. L’émission «Thalassa», qui sera sans aucun doute diffusée au mois de décembre 2014, permettra d’abord aux téléspectateurs de découvrir les paysages paradisiaques de tout le littoral algérien à partir du ciel, et ensuite toutes les richesses traditionnelles, architecturales, culinaires, les loisirs des estivants algériens qui caractérisent le quotidien des Algériens durant la saison estivale.
La vie en mer et la préservation de l’environnement de la côte algérienne demeurent toujours présentes dans les sujets de «Thalassa» sur l’Algérie. Pour faciliter le travail à l’équipe et faire bénéficier les téléspectateurs des fabuleuses vues imprenables des paysages côtiers algériens, le ministère algérien de la Défense nationale avait mis à la disposition de l’équipe de Georges Pernaud un hélicoptère pour balayer ces paysages grâce à un équipement technologique sophistiqué embarqué dans l’hélicoptère.
Dès que l’équipe met les pieds à terre, l’équipe de «Thalassa» s’engage dans les «artères» pour donner son coup de projecteurs sur l’histoire, les traditions de la région, sur les efforts des marins pêcheurs algériens, y compris cette jeune femme oranaise qui avait bénéficié du soutien de l’Ansej pour acquérir une embarcation et qui continue à pêcher l’espadon, ou ce chef de Annaba, Bouteba Abdelkrim, qui avait préparé un couscous au mérou.
L’équipe de «Thalassa» a immortalisé l’arrivée des familles émigrées au port de Béjaïa. Elle a assisté à une soirée musicale populaire (châabi, ndlr) au domicile de la famille Bouhired à La Casbah d’Alger. Au port de Bouharoun (Tipasa), l’équipe a filmé l’entrée des navires de pêche et la vente aux enchères du poisson qui se déroule à quai. Chaque commerçant propose son prix en murmurant à l’oreille du mandataire. L’équipe de «Thalassa» (Alexis Marrant, Guillaume Pitron, Laurent Longlois) accompagnée du guide fixeur Bouanani Nordine, a jeté l’ancre lundi dernier au niveau du port du complexe touristique La Corne d’Or de Tipasa, pour assister à un examen de passage en plongée sous-marine de P1 à P2.
Cet examen est dirigé par la «sirène des mers», Mme Balistrou Samia. Un groupe composé de 6 filles et 6 garçons enveloppés dans leurs tenues de plongée écoutaient religieusement les dernières consignes de leur «tata», afin d’éviter les accidents au fond de l’eau. Tous les gestes et mouvements des jeunes plongeurs ainsi que l’ambiance qui régnait au sein du groupe avant de se jeter à la mer étaient enregistrés par l’équipe de «Thalassa». Ruot Gerard Aïssa, un soldat français cobaye des essais nucléaires français dans le Sud algérien encore en vie, en sa qualité de représentant de SOS- KDI en Algérie, est resté sur le qui-vive pour soutenir ses enfants.
Le centre SOS Village d’enfants de Draria (Alger) héberge dans son établissement 202 enfants et 404 autres sont pris en charge par SOS-Kinderdorf dans leurs familles biologiques. «Thalassa» offrira une mosaïque de paysages jamais vus par les Algériens, pourvue de toutes les couleurs et les diverses richesses.
Des potentialités à explorer et à exploiter à l’avenir. Ce sera le cadeau de fin d’année de «Thalassa» pour l’Algérie. Les autorités du pays, le MDN et les artistes acteurs ont contribué grandement à la réussite de ce produit de Georges Pernaud. La Méditerranée demeure le berceau des civilisations et un havre de paix qui devra inexorablement un jour réunir ses habitants.
Sources : https://www.facebook.com/aquaculture.dz
VOILE : La plage « Sablette » s’ouvre à la compétition
La
Fédération algérienne de voile (FAV) a choisi la plage « Sablette », à
Alger, pour organiser la Coupe d’Algérie en Série Bic Techno et Race
Bord, du 17 au 21 août prochain.
C’est
une excellente initiative pour attirer du monde sur cette plage qui se
situe pratiquement dans la ville. Les responsables concernés de la FAV
tiennent à rappeler que « cette épreuve ne sera maintenue et son
classement établi, que si trois athlètes, au minimum, appartenant à
trois structures différentes, sont inscrits ». Par ailleurs, la présence
d’un chef de délégation adulte est obligatoire pour encadrer les
participants de son club. Un chèque de cautionnement obligatoire de cinq
milles dinars (5000DA), dûment barré, portant deux signataires, est
exigé pour l’hébergement.
La
Coupe d’Algérie est ouverte à tous les athlètes de nationalité
algérienne, titulaires d’une licence fédérale en cours de validité
(inscrite dans le bordereau), et membres d’une structure (ligue ou club)
affiliée et en situation régulière vis
à vis de la Fédération. Toutefois, une dérogation pourrait être
accordée par la FAV à d’autres athlètes de nationalités étrangères.
L’engagement
est obligatoire et ne se fait que par délégation (Club), contresignée
par la Ligue territorialement compétente. Enfin, en matière de
classement, les athlètes participants sont informés que c’est le système
de point à minima qui sera appliqué.
La
Coupe d’Algérie de la Série Optimist Gold, Silver est prévue du 20 au
24 août prochain, toujours à la plage « Sablette » d’Alger.
Il
y a lieu de savoir également que le Championnat d’Algérie d’été de la
Série Laser Standard-Radial est domicilié au même lieu durant la période
allant du 18 au 24 de ce mois.
Le
temps se maintenant au beau fixe, le public, espéré nombreux par les
organisateurs de la FAV, peut s’attendre à vivre des régates
passionnantes. Ce dont personne ne devrait se plaindre, bien évidemment.
Et, comme de tradition, que le meilleur gagne !
Sources : http://planetesport.dz/omnisports/omnisports/13155-voile--la-plage-l-sablette-r-souvre-a-la-competition
Pêche : Les filets jetés à la mer, un danger pour la faune et la flore
Les filets de pêche jetés souvent par inadvertance en mer constituent un véritable danger pour la faune et la flore marine. L’association Ecologie marine Barberousse vient de lancer un appel à tous les marins pêcheurs et les patrons de pêche pour éviter de tels comportements et de signaler ces cas.
Celle-ci se porte volontaire à repêcher ces filets qui peuvent porter
atteinte à l’environnement. Les filets à crochets sont les plus
dangereux puisqu’ils causent d’énormes dégâts à la faune marine. Les
membres de l’association Barberousse mettent également l’accent sur les
effets néfastes des détritus plastiques puisqu’ils sont souvent
confondus avec des aliments. Ces substances dangereuses peuvent avoir
des conséquences sur le tissu adipeux du poisson.
L’association tire donc la sonnette d’alarme sur les effets néfastes de
tels actes et appelle à plus de civisme dans le milieu aquatique. Des
opérations quotidiennes sont menées depuis plusieurs jours par les
membres de cette association pour nettoyer les fonds marins de tous les
détritus dont les bouteilles en plastique. Ces plongées ont permis de
ramasser des quantités énormes de déchets mais l’objectif ne peut être
atteint sans l’implication de toutes les parties concernées dont les
citoyens.
En sensibilisant également les enfants sur l’importance d’une mer
propre et sur les effets et les conséquences de ces millions de détritus
sur la faune et la flore, l’association Barbarousse opte pour un
nouveau concept qui est d’associer également les jeunes et les enfants
dans ces actions de lutte contre ces transgressions de l’espace marin.
Elle compte créer un atelier pédagogique pour enfants.
Ce projet, dont l’impact sera considérable pour la sensibilisation des
jeunes sur l’entretien et la préservation de la biodiversité marine, va
permettre, selon ses initiateurs, à inculquer une nouvelle culture visant
à avoir une mer propre. A noter que l’association avait participé
également dans plusieurs opérations de recherche et d’aide en mer,
notamment à la suite d’intempéries. Celle-ci, sollicitée par la
direction de la Pêche, avait réussi en 2012 au repêchage de 26
embarcations qui avaient coulé suite aux pluies torrentielles.
Sources : http://www.elwatan.com/regions/ouest/oran/peche-les-filets-jetes-a-la-mer-un-danger-pour-la-faune-et-la-flore-13-08-2014-267808_135.php
76 décès par noyade
La Protection civile a enregistré entre le 1er juin et le 11 août 76 décès par noyade, dont 54 sur les plages non surveillées et 22 autres sur les plages surveillées.
Parmi elles, 11 estivants sont morts à des horaires où les secouristes
étaient absents, a dévoilé hier le chargé de communication de la
Protection civile, le lieutenant Nassim Bernaoui. «C’est un bilan qui
reste provisoire, d’autant que la saison estivale n’est pas encore
clôturée. L’année passée, nous avons enregistré la mort de 87 personnes
par noyade», a ajouté le même responsable.
Celui-ci profite de cette occasion pour appeler les estivants à faire
preuve de vigilance et à éviter de se baigner dans des plages rocheuses.
Il note que c’est dans ces endroits que la plupart des personnes
décédées préféraient se baigner, alors qu’elles présentent, selon lui,
«un véritable danger pour leur sécurité». Les plages algériennes ont,
depuis le début de la saison, accueilli 40 millions d’estivants. «C’est
un nombre très important qui démontre parfaitement le grand engouement
des Algériens pour les plages». Vu la grande chaleur qui s’abat ces
derniers temps, de nombreuses familles sont à la plage afin de se
rafraîchir.
Cependant, beaucoup de noyades sont enregistrées. Les éléments de la
Protection civile ont effectué depuis le 1er juin 25 663 interventions
sur les différentes plages des côtes algériennes. Grâce à eux, 15 563
personnes ont été sauvées et soignées, tandis que 1559 ont été évacuées
vers les hôpitaux, huit personnes souffrent de graves blessures, dont
une a même succombé. Concernant les décès, qui ont été pour la plupart
enregistrés sur des plages non surveillées, 16 ont été recensés dans les
plages de Mostaganem, 11 à Alger et 11 autres à Béjaïa. Par ailleurs,
22 estivants ont trouvé la mort sur les plages durant le mois de juin
passé, alors que 20 autres sont morts en juillet et, jusqu’à présent, 24
sont décédés durant le mois en cours. Le mois d’août reste la période
la plus meurtrière pour les estivants.
Sources : http://www.elwatan.com/actualite/76-deces-par-noyade-13-08-2014-267874_109.php
Lancement de la caravane de voile le 7 août
La caravane de la voile organisée par la ligue de voile d'Alger,
sous le haut patronage de la direction des sports d'Alger, propose de
nombreuses animations sur les plages du pôle d'Alger à partir du 7 août
prochain.Il y aura de l'animation kayak, initiation à la voile,
l'atelier de matelotage, du baptême de voile et plongée, sortie en mer
en bateau-école ainsi que des jeux fun-bord et autres. Elle sera
organisée sur les plages de Tamentefoust, La Sablette, El Kettani, port
El Djamila, ex-La Madrague en respectant l'environnement. L'objectif de
cette opération est de sensibiliser le public comme les habitants de la
ville à découvrir la voile dans le respect de la protection de
l'environnement à travers ces activités nautiques. La caravane d'été est
l'une des occasions de mettre en valeur les actions de la ligue de
voile d'Alger. Des ateliers seront proposés pour attirer le grand public
et donner envie aux participants de devenir bénévoles, athlètes. Le
village de la caravane aux pôles fixes a également assuré des ateliers
dédiés à la sensibilisation et à la protection de l'environnement à
travers des activités nautiques, encadrés par des animateurs. Durant les
ateliers à terre, les encadreurs montreront aux estivants les
techniques de navigation.
sources : http://www.vitaminedz.com/lancement-de-la-caravane-de-voile-le-7-aout/Articles_18300_2811988_16_1.html
L'Algérie représenté par le Cap-Mer Tigzirt en Chine.
L'équipe d'Algérie de voile participe pour la première fois
au jeux olympiques jeunes (JOJ) qui se tiendront du 16 au 28 août à Nanjing en
Chine.
L'Algérie sera représenté par deux athlètes, Amine Guedmim
de Cap-mer Tigzirt et Akil Nouha de la ligue de Bejaia, les deux athlètes et
leur staff sont déjà sur place pour se préparer.
Tigzirt Info vous souhaite bonne chance.
NB: Les résultats de cette compétition seront communiqués sur tigzirt-info.blogspot.com
Tigzirt Info vous souhaite bonne chance.
NB: Les résultats de cette compétition seront communiqués sur tigzirt-info.blogspot.com
Par / Redouane.k
Nasradine Hidra. Expert international en pêche sportive : Il y a un engouement chez les pêcheurs sportifs algériens
Originaire de Maghnia dans la wilaya de Tlemcen, Hidra Nasradine,
expert international en pêche sportive, est venu en Algérie passer
quelques jours de vacances. Il ne s’est pas fait prier pour aller
taquiner le poisson avec des collègues du côté de Honaïne. Agé de 43
ans, il pratique la pêche depuis l’âge de 10 ans
Il nous dira qu’il a débuté la pêche sportive de compétition quand il
avait 19 ans. Son palmarès est assez étoffé. Résidant à Lyon, il évolue
au Championnat de France. Hidra nous a égrené ses performances : «J’ai
été classé 1er au Championnat de France à Port-sur-Saône et 8e par
équipe en 2000. Puis, 4e au Championnat de France des sociétés à la
Marinière et 2e par équipe en 2010. Par la suite, à Randon, en 2011,
j’ai remporté
la 7e place au Championnat national et 4e par équipe.» Ainsi, chaque
année il participe à plus de 50 concours en France, toutes disciplines
confondues.
Cependant, il avouera qu’il pratique la pêche à l’anglaise et la pêche
au coup, mais qu’il excelle dans la pêche de la carpe à la canne, sa
spécialité depuis 2004. Volet
international, il nous a dit : «J’ai pris part à trois concours
internationaux en 2013. Au Milo Day à Milan, en Italie, j’ai obtenu la
2e place en individuel sur 180 pêcheurs et à Merida Master en Espagne,
je me suis positionné 6e sur 96 pêcheurs.» En tant qu’expert
international et conformément à son savoir-faire dans cette discipline,
nous lui avons demandé quelles sont ses impressions sur la pêche
sportive en Algérie.
Il nous a répondu : «J’ai découvert, grâce à des recherches
personnelles en 2008, qu’il y avait une émulation chez les pêcheurs qui
cherchaient à créer une fédération pour adhérer à la Fédération
internationale de pêche sportive (FIPS). J’ai tout de suite compris
qu’il y avait un engouement de jeunes et moins jeunes pêcheurs algériens
qui voulaient se structurer et passer de la pêche classique à la
sportive. Il faut savoir que la pêche est un art.»
Dans son analyse de la situation, il affirmera qu’il faut beaucoup de
patience dans l’entraînement et une connaissance approfondie des eaux
dans lesquelles les Algériens pratiquent ce sport. La première exigence
pour la réussite, il faut, dit-il «être capable de s’adapter ou de se
réadapter à des conditions diverses qui incitent les poissons à devenir
mordeurs». En 2012, Hidra a dirigé un séminaire de 2 jours à Tlemcen
pour dynamiser la pêche sportive en Algérie.
Patience
Cette rencontre a
été possible grâce au travail de Yazid Toufik, président de
l’Association nationale de la pêche sportive, de Aïssa Hmaïdi d’Alger
ainsi que des sponsors étrangers. Aujourd’hui, Hidra a un projet qui lui
tient à cœur, celui de regrouper 10 jeunes, de 14 à 21 ans, très
passionnés de cette discipline et qui devront être choisis suite à une
sélection nationale. Il nous a décrit les contours de ce projet : «Nous
formerons 3 catégorie de pêcheurs, à savoir ceux de la pêche en eau
douce, de la pêche au carnassier et enfin la pêche à la carpe batterie.
Puis, en mai 2015, les 10 sélectionnés participeront
à un stage dans la région lyonnaise avec les professionnel les plus
aguerris dans chaque discipline.» Hidra veut que ce projet aboutisse
pour que les 10 jeunes affûtent leur technique et leur savoir-faire
afin, qu’à leur tour, ils diffusent leurs connaissances dans les
différentes associations et écoles de pêches algériennes.
Enfin, Hidra nous dira : «Je veux sensibiliser les pêcheurs algériens à
pratiquer le ‘’no kill’’, soit pêcher et relâcher un maximum des
poissons qu’on a capturés afin de préserver l’environnement. Lors de mon
séjour en Algérie, j’étais triste de voir l’état de nos plages et ce
que la mer charriait comme déchets. Vraiment, nous ne pouvons continuer à
détruire nos richesses marines. Nous devons les préserver et les sauvegarder pour les générations à venir.»
L’expédition «Med en danger» accoste à Béjaïa : «Stop plastic in the sea !»
Le voilier Hainez, à bord duquel se trouvent les scientifiques et
chercheurs du Laboratoire citoyen des sciences participatives de
l’Expédition «MED en danger» a accosté enfin au port de Béjaïa, vendredi
dernier, après son escale à Alger.
Le bateau sillonne les deux rives du bassin méditerranéen depuis le 5
juillet dernier en provenance du sud-est de la France, de
Villefranche-sur-Mer précisément. Pour un double objectif, affirme Hamid
Yahi, président du Club spéléologie et sport de montagne de Béjaïa
(CSSM) : «La traque aux micro fragments plastiques en vue d’établir une
cartographie des déchets plastiques et la sensibilisation des
populations des pays du contour du bassin méditerranéen des dangers de
cette matière sur les océans et la santé humaine.» Au final, les
chercheurs, à l’ombre des prélèvements, établiront un bilan avant de préconiser des solutions pour le traitement de ces rejets, précise-t-il encore.
Pendant que l’équipage du voilier règle les dernières formalités
administratives au niveau du port, Hamid et les autres partenaires du programme
«MED en danger», à savoir Atlantide subaquatique de Béjaïa, Ecostaq, la
ligue de sauvetage et de secourisme de la même ville, et l’association
Ardh préparent les activités annexes (culturelles, sportives et enfin
une conférence) sur la plage de Boulimat, à une dizaine de kilomètres à
l’ouest de l’ex-capitale des Hammadites.
Au menu, balade en mer à bord du zodiac de l’Atlantide au le large de
Béjaïa, course de kayak et exposition. Une quarantaine d’enfants
transportés par bus ont participé
à cette expérience qu’ils disent toute nouvelle pour eux. Dans une
ambiance bon enfant, les petits ont distribué des dépliants et autres
prospectus pour les familles. «Tenez madame et monsieur, ceci c’est pour
sensibiliser sur les dangers des déchets plastiques jetés en mer…»,
lance en boucle, toute souriante, une adolescente. Sous les parasols et
tentes familiales, les estivants, de quelques gestes approbatifs,
saluent l’initiative.
250 milliards de micro plastiques
«Stop plastic in the sea !» C’est le slogan qui a été choisi pour cette
cinquième année d’expédition en mer méditerranéenne par un groupe de
scientifiques et d’éco-volontaires, amoureux de la nature et surtout
soucieux pour son état. «Des îlots de plastiques qui flottent en mer !»
commente un journaliste de la radio locale qui interrogeait Karim Khima,
représentant de l’association Ardh. «Oui, rétorque Karim, la situation
est préoccupante, c’est pour cette raison que ce programme se poursuivra
jusqu’en 2020 afin de cerner ce problème et de trouver des solutions
pour limiter la nuisance des déchets qui menacent l’environnement marin
et ses créatures.»
Rencontrée
sous un chapiteau, la chercheuse Aïda Benhamida a expliqué qu’«après
l’utilisation de ces matières plastiques, les citoyens et les
industriels les jettent souvent à la mer, dans des décharges
incontrôlées ou ailleurs dans la nature», mais, ajoute-t-elle,
«contrairement aux autres matières, le plastique se transforme en ce
qu’on appelle des micro plastiques qui sont pris pour de la nourriture
par les poissons et aux autres animaux marins.»
Ce qui n’est pas sans danger sur les humains, car à ce stade c’est toute la chaîne alimentaire qui sera atteinte.
En effet, depuis 2009, les recherches et les prélèvements effectués par l’équipe du Laboratoire citoyen des sciences participatives ainsi que leurs collaborateurs ont révélé cette pollution invisible par une première estimation de 250 milliards de micro plastiques flottant sur l’ensemble de la Méditerranée, dispatchés par les courants.
Sources : http://www.elwatan.com/culture/stop-plastic-in-the-sea-13-08-2014-267854_113.php
Les débuts de la navette maritime Alger-La Madrague: désordre, bousculade et déception
Ce reportage de notre confrère le Huffington Post Algérie
décrit le premier jour de la navette maritime entre le Port d’Alger et
le Port de la Madrague. Il faudra visiblement un peu de temps pour que
les Algérois s’habituent à ce moyen de transport maritime à l’intérieur
des limites de la capitale.
"Et si on allait à la Madrague par mer?". De
nombreux algérois ont eu la même idée, mardi, au lendemain de
l'inauguration en grande pompe, en présence du ministre du Transport,
Amar Ghoul, et du wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, de la navette maritime
"Capitan Morgane" reliant le centre d'Alger à El Djamila, à l'ouest.
Une balade censée se faire en trente minutes mais qui a tourné à la foire d'empoignes et à l'anarchie.
Cinq traversées quotidiennes (trois dans la
matinée, deux le soir), six jours sur sept - l'équipage italien se
reposant le dimanche- : tel est le programme prévu pour le bateau affrété par l'Entreprise nationale de transport maritime des voyageurs (Algerie Ferries).
Le programme, valable du 5 août au 7 septembre
2014, peut, dit-on, être perturbé en cas de mauvaises conditions
météorologiques. Mardi 5 août, il était bien perturbé et pour bien
d'autres raisons que les conditions météo trop "idéales", avec une
chaleur écrasante sous un ciel bleu, sans nuages.
Premier jour, des retards
"Capitan Morgan", ligne pilote de transport
urbain maritime de voyageurs, a été assailli par de nombreux algérois
qui voulaient être les "premiers" à s'offrir une balade maritime, cette
"nouveauté" tant annoncée par le passé. A 11 heures, le bateau n'est pas
encore à quai !
Premier constat, à l'entrée de Tahtahet El Fenanine (Esplanade des artistes), aucune indication signalant la gare de transport maritime urbain.
Au guichet, la file est moyenne et on
s'acquitte paisiblement des 50 dinars pour l'achat du billet. De
nombreux "curieux" avaient attendu l'arrivée du bateau en se baladant au
niveau du port, devenu accessible. On regarde les pêcheurs s'affairer
autour de leur filets sous "l’œil" de plusieurs caméras des chaînes
algériennes "off-shore", venues immortaliser l’événement.
A midi, le "Capitan Morgan" n'est toujours pas à
quai. Invisible à l'horizon aussi. Un guichetier annonce que les
tickets manquent.
Près d'une trentaine de minute plus tard, le
bateau se pointe au large. Frémissement dans la foule, on se bouscule
pour se positionner à l'endroit réservé entre chalutiers et sardiniers
en rade. "Mwalfine b'les bus, (ils sont habitués aux bus)", commente méchamment un jeune homme.
12h30 : le bateau baisse le pont pour permettre
le débarquement des passagers arrivés de la Madrague. Premier couac,
une dizaine de ces passagers refusent de descendre et veulent revenir à
leur point de départ.
Longues discussions. L'équipage, à majorité
italien, parvient à les convaincre de descendre et d'aller acheter un
autre ticket pour le "retour".
Mohamed, agent de sécurité, sent que les choses
se compliquent. Et pourtant, dit-il, la "navette de 8h00 s'est très
bien déroulée. On n'a eu aucun incident. il n'y avait que 87 personnes à
bord".
Mais midi n'a rien à voir avec le matin. Il
sent le débordement dans l'air. "Nous ne sommes que cinq, on a demandé
du renfort pour mieux faire notre travail. Il n'y a même pas de couloir
pour que la file soit mieux organisée".
Fawdha
De fait, une fois les passagers débarqués, les
membres de l'équipage tentent de retirer la passerelle en attendant
qu'une file d'attente, une "chaîne", s'organise pour avoir un
embarquement dans le calme.
"Ça ne marche pas", crie un membre de
l'équipage. Après 30 minutes et plusieurs tentatives manuelles et
automatiques, le problème est finalement résolu. Mais l'idée d'un
embarquement dans le "calme" est déjà enterrée.
C'est la "fawdha", l'anarchie, chez les
candidats à la balade. Des femmes qui crient, des enfants qui pleurent,
des personnes âgées qui gémissent. Le spectacle ressemble bien aux
fameuses bousculades pour l'accès au bus, par la "force des bras" et "en
hurlant".
Deux agents de sécurité épaulés par deux
policiers tentent, sans grande réussite, de contrôler le flux humain qui
force le passage. Des voix s'élèvent et réclament le droit de passer :
"Nous attendons depuis deux heures. Nous avons nos tickets, faites
nous-monter!"
Le commandant de bord voulait que les passagers
montent par groupe de cinq. Personne n'a prêté attention à ce qu'il
disait tantôt en italien tantôt en anglais. La gestion du flux, ou de la
"foule", relève du Port d'Alger.
A l'abordage!
Les passagers s'impatientent et tentent de
forcer le passage. Ils sont manifestement plus nombreux que les 344
places du "Capitan Morgan".
Des "insurgés" sautent par dessus la barrière
de la passerelle. On "desserre" le passage pour en finir avec ce
déchaînement. En quelques minutes, le nombre maximum de voyageurs requis
est atteint.
"Vous prenez la prochaine navette!", tente
d'expliquer l'un des deux policiers présents. Des hommes s'insurgent en
jurant, des vielles femmes "maudissent" les employés et l'organisation.
"On a cru bien faire de se ranger à côté pour
respecter l'ordre mais apparemment c'est la jungle", se désole Rabah,
père de deux enfants, venu en famille pour profiter de la baie d'Alger.
L'accès à bord est censé être interdit pour des
raisons sécuritaires aux enfants non accompagnés de moins de 16 ans. On
pouvait, cependant, voir des gosses de 10 à 14 ans se faufiler au
milieu de la foule pour être aussi de la partie.
Souad, une petite fille de 13 ans pleure et
cherche son "grand frère", Saleh, 14 ans, disparu parmi les centaines de
personnes "déterminées" à prendre une place à ce voyage.
Saleh est finalement bien monté à bord. On a pu le voir plus tard, en
larmes, chercher sa sœur restée à quai. Des familles et groupes d'amis
séparés entre le quai et le bateau tentaient de se rassembler en montant
ou en descendant.
À quatorze heures, nous avons quitté le gare, laissant derrière nous un "Capitan Morgan" toujours immobile.
Le guichet avait rouvert pour rembourser les tickets des "malheureux" qui n'avaient pas eu la chance de trouver une place pour la traversée vers El Djamila.
Sources : http://www.maghrebemergent.com/actualite/maghrebine/item/39732-les-debuts-de-la-navette-maritime-alger-la-madrague-desordre-bousculade-et-deception.html
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