في اطار التعاون الجزائري الصربي

في اطار التعاون الجزائري الصربي زيارة وفد من اصحاب ورشات بناء واصلاح السفن الى صربيا


Meeting International de Dubaï

1ère Place pour notre Championne Nesrine MEDJAHED au 50m NL (28''15) au meeting international de Dubaï


Riva del Garda Italie 03 Evènements Optimist / Bic Techno / Byte CII

Participation de la selection nationale Bic Techno au Championnat d’Europe                                                  
qualificatif au JO Jeunes pour les filles -17ans à Riva del Garda du 20 au 27 Avril 2014

Athlètes
ADJALIA HAMZA
HADDADI SAID

BRIGUET IMAD
HAMAOUI SARAH
REZOUANI MERIEM (-17ans)
ABID IKRAM  (-17ans)
Participation de la selection nationale Byte CII au Championnat du Monde qualificatif au JO Jeunes   à Riva del Garda du 22 au 28 Avril 2014

Athlètes

GUEDMIM AMINE

HORCH ISMAHANE


Le soir d'Algérie : le 21/04/2014



lien vers la revue : http://www.favoile.dz/Files/Other/INFOFAVN-21-pd%20f.pdf

Les marins pêcheurs de Stora Les petites gens et la mer

Ce village, jadis célèbre pour son magnifique site naturel, tombe aujourd’hui en ruine, et la pêche, un métier pratiqué de père en fils, ne fait plus vivre ses centaines de familles.

Depuis la nuit des temps, le destin de Stora est lié à son port et à ses pêcheurs. Historiquement, socialement ou même affectivement, le village ne pouvait se soustraire à son port, encore moins à ses «Storasiens».  Une belle histoire d’amour continue à ce jour d’unir les deux, en dépit de la ruine qui ronge le village et de la précarité qui mine ses pêcheurs. Stora, indissociable de son port reste, qu’on le veuille ou non, l’éternelle émule de Skikda. Administrativement, Stora est une cité de la commune de Skikda, mais administrativement seulement, car ce village de pêcheur s’est toujours distingué par une âme propre à lui. Ici, on ressent que les gens ont une autre manière de voir les choses,  une autre manière de penser et de vivre aussi. «Normal, Stora a de tout temps bénéficié du statut de commune à part entière, de 1870 à 1986. C’est après cette dernière date que notre région a enclenché sa descente aux enfers, qui continue à ce jour», explique-t-on.
Ici, donc, on n’est plus à Skikda mais à Stora même si la distance séparant l’une de l’autre ne dépasse pas les 4 km. N’est pas «Storasien» qui veut, il faut le savoir, et les habitants des lieux continuent, à ce jour, à vivre dans une incroyable solidarité, acquise certainement de leur proximité avec la grande bleue. Mais le port n’est plus ce qu’il était. Aujourd’hui, c’est un semblant de Marina. Le projet d’élargissement réalisé par les Croates, il y a quelques années déjà, a considérablement agrandi l’assise de l’enceinte portuaire, même si entre la maquette initiale présentée par les Croates et la réalité finale du projet, il y a comme une dissimilitude.
Au port, le soleil hivernal encourage, en ce mois de mars, les pêcheurs à descendre de leurs vieilles maisons du village et aller se pavaner le long des quais pour s’enquérir de leurs biens. Certains d’entre eux n’ont pas «pris la mer» depuis plus de 5 mois déjà. «Oui, c’est trop facile de nous accuser de tous les maux et de nous rendre responsables de la cherté du poisson. Les gens ne savent rien de la réalité de notre métier, ni de ses difficultés. Moi je peux vous dire, et vous devez l’écrire, que le prix du poisson double parfois lors du simple trajet qu’il parcourt de nos embarcations aux étalages des poissonniers. Les gens ne savent pas ça !  Les gens ignorent que nous vendons, au gros, le merlan à 700 DA/kg, mais son prix affiché sur les étals n’est jamais en dessous de 1400 DA. Je peux vous citer d’autres exemples, comme le rouget que nous cédons à 600 DA et que le consommateur paye 1300 DA. Même les pièces connaissent le même sort puisque le pagre, vendu ici à 900 DA est revendu ailleurs à 1500 DA. Voilà la vérité et il faut la dire aux gens», s’emporte le patron d’un petit métier en apprenant notre identité. Ici, les gens appréhendent beaucoup les médias. «On ne les voit que l’été. Ils viennent presque en touristes et repartent avec leurs cartes postales sans prendre le temps de nous parler, ni de faire une virée au cœur du village qui tombe en ruine»,  enchaîne un autre en refusant de faire d’autres commentaires. D’autres pêcheurs, beaucoup même, acceptent de prendre part à un tour de table improvisé autour d’un amas de filets. «Vous voulez qu’on parle de notre métier et de nos difficultés ? Ok, allons-y !»

Plaisance VS pêche

Quand ils s’y mettent, nos interlocuteurs donnent l’impression de ne plus savoir s’arrêter, tellement leurs problèmes sont réels et si pesants. Ils parlent de leurs dettes, de la cherté de leurs équipements, des contraintes qu’on leur impose au port, des manques qui y règnent…un véritable magma qui contraste, étrangement, avec l’agréable panorama du port et de ses panoplies. Ici, la mer est l’unique «entreprise» pourvoyeuse de postes d’emploi.
A elle seule, elle fait vivre plus de 1500 familles de marins pêcheurs sur une population estimée à 6000 habitants. «On a le sang salé à Stora. On est marin de père en fils. La pêche est une tradition ancestrale chez nous», répètent nos interlocuteurs avec un brin de fierté bien méditerranéen. Seulement, c’est cette mer et ce même métier qui sont aujourd’hui la cause du marasme d’une bonne partie des pêcheurs locaux. «Savez-vous, nous dit encore un pêcheur, que ce filet jonché sur le quai m’a coûté la somme de 100 millions de centimes ? Regardez, il est là, presque jeté par terre et il suffit d’un simple mégot de cigarette pour qu’il s’enflamme. Regardez tout autour de vous et vous ne verrez que des filets, des dizaines de filets qui restent là à l’air libre sans aucune norme de sécurité.
On nous a construit une marina, c’est bien, mais on n’a même pas été capables de nous construire des cabanes pour préserver nos équipements, comme cela devait se faire». Ses compagnons acquiescent. Ils partagent tous le même souci. Les pêcheurs de Stora continuent de soutenir qu’en aménageant le port, les pouvoirs publics ont beaucoup plus pensé aux plaisanciers qu’aux pêcheurs. «Et ça continue, car on paye les mêmes taxes et le même prix du litre de gasoil, alors que les plaisanciers prennent la mer pour le plaisir tandis que pour nous, c’est notre métier. Un gagnepain !». Poursuivant leurs «attaques» contre «les anomalies» relevées dans le projet d’élargissement du port, ils expliquent qu’avant, les marins pêcheurs disposaient de quatre quais.
Aujourd’hui, les travaux entrepris ne leur ont laissé qu’un seul, les obligeant à recourir à toute une gymnastique pour faire accoster leurs embarcations.

Des pêcheurs meurent endettés

«Moi je suis à l’arrêt depuis six mois déjà. Je n’ai plus les moyens pour naviguer. Je passe mon temps à payer les factures au lieu d’aller pêcher. J’ai un petit métier que j’ai eu dans le cadre du dispositif d’aide de l’Etat en contractant un crédit de 126 millions de centimes que je dois rembourser. En plus, je dois aussi m’acquitter de plusieurs charges comme le plan d’eau à raison de 4 000 DA par trimestre. Si je demande à bénéficier d’un terre-plein pour la maintenance d’usage, je dois verser 5 000 DA pour dix jours, en plus des charges de la grue qui sont de deux millions de centimes, plus 6000 DA pour les frais de la calle sèche et près de deux autres millions pour les impôts, sans compter le gasoil et les frais de marins, qui doivent m’accompagner et les cotisations sociales. Pour les impôts, je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi doit-on payer même lorsqu’on ne travaille pas. On est des saisonniers et notre métier est lié aux caprices de la météo», s’offusque un des pêcheurs, patron d’un petit métier. Il est vite relayé par les autres : «On est vraiment acculés par les charges.
On paye alors que nous ne pouvons même pas disposer du courant électrique ni de la cale sèche.  Moi j’ai dû louer un groupe électrogène pour pouvoir faire quelques travaux de maintenance sur mon embarcation.» D’autres évoquent d’autres soucis. «L’équipement du marin pêcheur coûte très cher, c’est ce que les gens ne savent pas. On achète un équipement de qualité médiocre, car nous ne pouvons pas payer la qualité. L’Etat nous a laissés depuis la dissolution de l’Ecorep qui nous apportait son soutien en nous vendant du matériel fiable. Aujourd’hui, on est obligés d’acheter nos filets d’Indonésie.
Ils sont moins performants mais a-t-on le choix ?» s’interroge un autre. «Nous exerçons un métier très éreintant, usant même», ne cessent de répéter nos interlocuteurs. Et ils n’ont pas tort. Car, entre-temps, la mer a fini par emporter plusieurs d’entre eux. A ce jour, et depuis 1962, on a comptabilisé 312 marins pêcheurs endettés auprès de la caisse d’assurance sociale. Le plus triste dans cette histoire, c’est que 50 d’entre eux sont morts depuis sans avoir eu le temps, ni les moyens d’ailleurs, de payer leurs dettes. Fin de l’histoire.    

Sources : http://www.elwatan.com/regions/est/skikda/les-petites-gens-et-la-mer-18-03-2014-249572_128.php

Traversée à la nage de la baie des Aiguades (Béjaïa) : le bon plan…d’eau

9h, les officiels descendent vers la petite plage de galets. Quelques baigneurs, ils ne sont pas encore nombreux à cette heure-ci, font courtoisement place nette.

La majestueuse anse des Aiguades a vécu, dimanche dernier, sa deuxième traversée à la nage. Aux premières heures du matin, les 90 athlètes inscrits s’échauffent au bord du plan d’eau. Le plus jeune d’entre eux a 12 ans. Le vétéran, Kamel Boulimat, en a 57. Pour tout le monde, ce ne sera que du plaisir. Parce que d’abord, c’est une mer d’huile qui accueille la compétition. La température est clémente, pas plus de 26-27 ° C.
Le soleil est au beau fixe. Puis, pas de place pour le stress, cette crique agreste pour l’éternité vous dispose à un mental de totale décontraction.Comme en juillet 2011, tous les clubs affiliés à la Ligue de natation de Béjaïa sont représentés.
On a compté, également, trois nageurs inscrits individuellement, ils sont venus de Jijel, spécialement pour la course. Alors que la participation de six nageurs de l’équipe nationale de la police n’a fait que donner davantage de niveau technique à la compétition.Ces derniers récupéraient à peine de la traversée avec palmes, qui s’est déroulée la semaine dernière sur le parcours Boulimat-Saket.
Le petit Acapulco de la crique
Le matin, du moins les premières heures, c’est connu ici, c’est réservé aux sexagénaires et septuagénaires, anciens habitués des lieux. Il faut les laisser tranquilles, épancher leurs relents de nostalgie. Ici, tout leur parle, et cela revient dans leurs discussions, chaque rocher, le Septième (le petit Acapulco de la crique) le départ des fameux plongeons, le darbouze pour l’initiation aux premiers plongeons, la piscine à l’abri des éléments lorsque ceux-ci sont déchaînés, le muretin pour rester à l’ombre, les douches à l’eau glacée provenant des entrailles de Gouraya…. Que de souvenirs et d’anecdotes ! Le public, lui, préfère suivre des rambardes surplombant la plage. Il y a là les organisateurs, l’association culturelle et éco-touristique Les Aiguades, d’anciens nageurs des clubs des années 60, des élus locaux, des artistes, les autorités sportives, du beau monde.
Le départ est donné à 9h30. La boucle est de 1500 mètres. Bien que le balisage de la traversée aie fait défaut, la sécurité était parfaite.
Un zodiac et un hors-bord de sauvetage étaient mobilisés. Etait même de la partie la barque d’un ancien membre de l’association, Mahmoud Dalibey, décédé il y a peu. Une façon de lui rendre hommage, dira Abdelmalek Djellouli, président de l’association. La course a consacré, dans la catégorie filles, à la première place, Khoufache Fahima, c’est elle qui a aussi remporté l’édition de 2011. Elle est suivie de Ouali Amina et de Ladaycia Alia. Toutes les trois sont sociétaires de l’OCB. Dans la catégorie garçons, la première tête à sortir de l’eau est celle de Makhloufi Amine du NCB. Il sera accroché en ex aequo par Achour Rayane de l’OCB alors que la troisième place est arrachée par Chalal Cherif du NCB.
Il s’agit au final, expliquera Djellouli, de faire rencontrer les générations «dans l’objectif de la préservation de l’environnement» et de motiver, «preuve en est la réussite de la course organisée», auprès des autorités sportives que l’organisation «d’une compétition nationale, voire internationale, est possible». Une telle compétition participera à plus de publicité pour l’endroit, défend Djellouli.
Réhabilitation de cette côte
De l’eau est apportée à son moulin par Samy Bahri, président de l’association Sahel Nautique de la Sûreté nationale, qui estime également que le plan d’eau de la baie des Aiguades peut se prêter à une compétition d’envergure. A condition d’un réaménagement répondant aux normes en vigueur et d’instituer un parcours de 6-7 km. Cette dernière exigence est possible si le départ de la traversée est donné des Aiguades et que l’arrivée soit située sur la jetée ou le rivage du côté de Capritour. Djelloul Achour, PDG de l’EPB, présent à la cérémonie récompensant les nageurs gagnants, appuie pour sa part cette idée, se déclarant prêt à fournir la logistique nécessaire. Bon vent au projet.

Sources : http://www.elwatan.com/archives/article.php?id_sans_version=220642

La Fédération de voile veut promouvoir la pratique

La Fédération algérienne de voile semble se lancer, selon sa revue, dans un vaste programme de développement des infrastructures nautiques au niveau national.

Ainsi, opérant dans quatorze wilayas côtières, l’ambition de la FAV est de toucher l’ensemble du territoire. L’idée est d’exploiter l’existence de plusieurs plans d’eau à l’intérieur du pays, tels que les barrages et lacs, afin de promouvoir la pratique de la voile. A cet effet, la fédération a procédé à l’établissement d’une carte nationale des lieux susceptibles de permettre aux jeunes de s’adonner à ce sport nautique et a également élaboré un document qui a été soumis au MJS. Cette action devrait sans  aucun recevoir un écho favorable.
Sources :  http://www.elwatan.com/sports/la-federation-de-voile-veut-promouvoir-la-pratique-04-04-2014-251861_110.php

Sellai Omar. Président de la chambre de la pêche et de l’aquaculture « Un nouveau port de pêche à Stora, oui c’est possible »

Pour Sellai Omar, président de la chambre locale de la pêche et de l’aquaculture (CPA), il est impératif de penser déjà à désengorger le port de plaisance qu’est devenu l’ancien port de pêche de Stora, en optant pour la construction d’un nouveau port.

«Nous avons étudié la possibilité d’ériger un nouveau port à Stora. La passe sera édifiée à partir du phare de Stora (Phare du restaurant de Louiza, ndlr) et le plan d’eau sera inclus dans l’espace allant jusqu’à la plage Mollo. Techniquement c’est faisable, et ce, pour deux raisons majeures. D’abord, les eaux sont peu profondes dans ces lieux ce qui amoindrirait les coûts et les délais de réalisation, et ensuite cette aire sied parfaitement à un port car elle est déjà naturellement protégée des vents et des courants», explique notre interlocuteur. Il juge que ce port allègera beaucoup la Marina de Stora qui sera exclusivement dédiée aux plaisanciers. «En disposant d’un port à eux seuls, les marins pêcheurs se retrouveront plus à l’aise. Cette proposition a d’ailleurs été faite au wali lors d’une réunion qui a regroupé, la semaine dernière,  les différents intervenants du secteur de la pêche dans notre wilaya», ajoute-il.
«Il ne faut pas oublier que le port de pêche de Stora a une vocation régionale. Que ce soit pour la plaisance ou pour la pêche ; et on ne peut pas dans l’état actuel des choses, satisfaire les uns et les autres d’où la nécessité d’anticiper dès à présent pour solutionner le problème de cette cohabitation. En plus, il faut relever que l’actuel port de pêche de Stora ne remplit pas techniquement toutes les conditions nécessaires pour ce genre d’enceinte.
On n’y trouve malheureusement aucun atelier en relation avec la profession. Il n’y a ni atelier de charpente, ni de mécanique, ni  de soudure. On n’y trouve qu’une seule chambre froide qui ne peut satisfaire les besoins de l’ensemble des marins pêcheurs. C’est pour ces raisons essentielles que nous appuyons l’idée de doter Stora, ce village de pêcheurs, par un véritable port de pêche», conclut-il.    

Sources : http://www.elwatan.com/regions/est/skikda/un-nouveau-port-de-peche-a-stora-oui-c-est-possible-18-03-2014-249573_128.php

Tipasa : Sauvetage au large de la Corniche du Chenoua

Alertés par le Centre National des Opérations de Surveillance et de Sauvetage (CNOSS), le Commandant de la vedette des gardes cotes VGC 338 a immédiatement dirigé son vaisseau vers la direction où se trouve le Rocher Barbare (Berenchel, ndlr), afin de procéder au sauvetage de 3 citoyens pêcheurs de la wilaya de Blida, agés entre 25 et 35 ans. L’opération s’est déroulée dans l’après-midi du 02 avril entre 16h30 et 17h00. 

Les victimes se trouvaient sur le petit îlot au large de la Corniche du Chenoua depuis déjà le 1er avril. Durant la nuit, la corde avait cédé aux coups des vagues, l’embarcation de 4,80 m demeure à ce jour introuvable. Selon le Commandant du VGC 338, les citoyens étaient dépourvus des outils primaires et indispensables pour leur sécurité, même pas un gilet de sauvetage.
Les 3 citoyens avaient utilisé leurs téléphones portables pour donner l’alerte. Ils se sont embarqués dans leur véhicule pour regagner leurs domiciles en ce début de soirée du 02 avril. Un sauvetage de 03 autres citoyens de la wilaya de Blida avait eu lieu le 18 février 2014. Les gardes cotes algériennes avaient fait appel à un hélicoptère de la marine nationale pour mener cette opération au niveau d’un site qui se trouve au niveau de la Corniche du Chenoua.

Sources :  http://www.elwatan.com/actualite/tipasa-sauvetage-au-large-de-la-corniche-du-chenoua-02-04-2014-251784_109.php

El kala (El Tarf) : 5 pêcheurs de corail arrêtés au large de Cap Rosa

Cinq personnes, dont quatre plongeurs, alors qu’elles s’adonnaient à la pêche au corail au large du littoral d’El Kala (El Tarf), ont été arrêtées, hier vers 10h, par les gardes-côtes en patrouille, a déclaré hier un officier des garde-côtes de la façade maritime de Annaba.

Lors d’un point de presse tenu au siège du commandement des garde-côtes de Annaba, relevant de la 5e Région militaire, le même officier a précisé : «Parmi ces mis en cause à bord d’une embarcation artisanale, un plongeur de 42 ans a été victime d’un accident de santé après être remonté brusquement à la surface, sans respecter les paliers de décompression. Ce qui a nécessité son transfert à bord de l’hélicoptère Merlin des forces navales sur la plateforme de l’aéroport Rabah Bitat de Annaba pour le secourir.» Originaire de Annaba, la victime a été placée immédiatement, enchaîne la même source, dans une chambre de dépression durant une heure et demie. «Actuellement, l’état de santé du plongeur est stationnaire», affirme le patron des garde-côtes.
Force est de souligner que ni la Protection civile, appelée à la rescousse, ni le CHU de Annaba, encore moins les garde-côtes ne disposent d’une chambre de dépression nécessaire, pour secourir des plongeurs victimes de ce type d’accident. Et celle utilisée pour la victime a été empruntée à un formateur privé en plongée sous-marine à Annaba. Les quatre personnes arrêtées seront présentées devant le procureur près le tribunal d’El Kala.
Gaidi Mohamed Faouzi
 Sources :  http://www.elwatan.com/actualite/el-kala-el-tarf-5-pecheurs-de-corail-arretes-au-large-de-cap-rosa-03-04-2014-251783_109.php

Le porte-avion Cavour pointe son étrave à Alger

 

L’ambassadeur d’Italie à Alger, Michele Giacomelli, a assuré que son pays s’emploie à pousser l’Europe à se tourner davantage vers la Méditerranée et renforcer la coopération dans le Bassin méditerranéen.

M. Giacomelli, qui animé une conférence de presse, à bord du porte-avion italien Cavour, amarré au port d’Alger depuis hier, a indiqué que le troisième sommet algéro-italien, prévu pour le deuxième semestre de l’an prochain à Rome, sera «l’occasion pour l’Italie de pousser l’Europe à regarder vers la Méditerranée». Louant les liens d’amitié entre Alger et Rome, l’ambassadeur a déclaré que les relations bilatérales sont en «nette croissance». Chiffres à l’appui,

M. Giacomelli a rappelé que son pays est le troisième fournisseur de l’Algérie après la Chine et la France, avec des exportations qui s’élèvent à 6 milliards par an, contre des importations qui avoisinent les 9 milliards de dollars. L’Italie est le deuxième client de l’Algérie. Le représentant italien a exprimé son souhait de «densifier et diversifier les échanges entre les deux pays». Pour lui, la présence du 30e groupe naval de la Marine militaire italienne à Alger est «un message politique fort, signe d’une amitié solide et d’un partage de vision commune sur la sécurité».

De son côté, le vice-amiral Paolo Treu, commandant du 30e groupe naval, a affirmé que les relations entre les deux pays «sont très solides et sont renforcées par un intérêt commun pour la stabilité et la sécurité dans la zone stratégique et tourmentée de la Méditerranée, alors que sur le plan économique, il y a de plus en plus de possibilités de croissance synergique».

Il a également déclaré que la coopération entre les deux marines militaires est «en constante augmentation, soit au niveau bilatéral soit dans le cadre de l’initiative 5+5, tout comme dans l’initiative italienne (Centre virtuel du trafic maritime régional) pour le partage des informations relatives au trafic marchand». Des liens renforcés grâce à «l’acquisition du bâtiment de débarquement et de soutien logistique Kaalat Beni Abbas», ajoute-t-il.Pour rappel, Alger est la dernière escale du porte-aéronefs Cavour – le deuxième en Europe après le Charles-de-Gaulle – avant de regagner son port d’attache, Taranto, après une campagne qui a démarré le 13 novembre 2013.      

Sources : http://www.elwatan.com/actualite/le-porte-avion-cavour-pointe-son-etrave-a-alger-01-04-2014-251482_109.php

Les forces navales algériennes se dotent d’un porte-avion Fincantieri

Le porte-avion commandé en 2011 aux chantiers navals de la société italienne Orizzonte Sistemi Navali, filiale de Fincantieri, battra pavillon algérien dès le 4 septembre prochain, dans les délais contractuels,  selon Angelos Fusco, un représentant du constructeur, présent  ce lundi sur le Cavour, porte-avion du même type qui sera livré aux forces navales algériennes, en rade depuis dimanche  au port d’Alger.  

Le Bâtiment de débarquement et de soutien logistique (BDSL) baptisé Kalaat Beni Abbes ressemble au porte avion Cavour mais, un peu plus sophistiqué. En plus d'embarquer  des hélicoptères et autres chasseurs bombardiers à décollage vertical, il permet des opérations d’amphibies et le débarquement de troupes terrestres dans zones dépourvues de ports. Kalaat Beni Abbes est soumis actuellement aux essais d’usage et devrait rallier la base navale de Mers El Kebir début septembre.   Le montant du contrat de ce bâtiment de guerre reste la grande inconnue. « C’est une information qui est classifiée », a déclaré Angelos Fusco, un représentant du constructeur italien. Cependant,  il a révélé qu’un bâtiment pareil coûte entre 300 et 500 millions d’euros. « Cela dépend des équipements qu’on met à bord, systèmes de missiles, de radars, etc. », a-t-il précisé. Le contrat inclut par ailleurs des clauses sur la formation des marins algériens et le montage d’une unité de montage de chalands à Mers El Kebir.

Missions humanitaires
De nombreux représentants des fleurons de l’industrie italienne d’armement (Electronica, Beretta, Finmeccanica et Fincantieri) étaient présents à l’exposition du « made in Italy » organisée sur le porte-avion Cavour qui compose avec la frégate Bergamini, le navire ravitailleur Etna et le patrouilleur de haute mer Borsini , le 30e groupe naval  de la Marine militaire  italienne. Alger, 20e et dernière escale de la mission du groupe naval, était l’occasion pour les industriels italiens de faire la promotion du « made in Italy ». L’accès à l’exposition est ouvert au grand public moyennant une inscription sur le site Internet de l’ambassade d’Italie à Alger. L’escale algérienne va durer jusqu’au 03 avril et verra, en plus de l’exposition, des chirurgiens en pédiatrie, algériens et italiens, réaliser des opérations chirurgicales au profit de 14 enfants algériens souffrant de malformations faciales dans les blocs opératoires de l’hôpital de ce porte-avion. Dans une conférence de presse organisée en marge de cette mission, le vice-amiral Paolo Treu, commandant du 30e groupe naval, a indiqué que l’hôpital a accueilli des interventions chirurgicales similaires à Mombassa, Antseranana, Maputo, le Cap et Tema. Partie le 13 novembre 2013 de Civitavecchia en Italie, elle est passée par le canal Suez pour traverser la mer rouge, le golfe d’Aden, l’océan indien, le golfe persique et faire le tour de l’Afrique  avant de regagner l’Italie en passant d’Alger.

Opération « sourire »
« Ces interventions chirurgicales s’inscrivent dans le cadre d’une opération baptisée ‘‘Sourire’’. Notre flotte accomplit des missions humanitaires en collaboration avec des organisations comme la croix rouge et la fondation Rava qui lutte contre la cécité des enfants. Les navires italiens fonctionnent ainsi suivant le principe de dual-use qui permet d’utiliser des équipements militaires dans des domaines civils, notamment le secours aux populations en danger comme c’était le cas, par exemple, lors du tremblement de terre de Haïti », a-t-il déclaré. « Le message politique de cette escale algéroise signifie que les rapports entre les gouvernements algérien et italien sont nourris par les rapports sympathiques entre nos deux populations. Ainsi, la mission est d’une portée aussi bien militaire qu’humanitaire et commerciale », a souligné, de son côté, l’ambassadeur d’Italie à Alger, M. Michele Giacomelli.  

Sources : http://www.maghrebemergent.com/actualite/maghrebine/item/36175-les-forces-navales-algeriennes-se-dotent-d-un-porte-avion-fincantieri.html

ASSAYED : LE MAGAZINE DE PECHE 100% TUNISIEN


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